4 octobre 2017 3 04 /10 /octobre /2017 13:16

 

 

 

 

Deux chroniques jeunesse, mais pas que puisque on est clairement dans de l’intergénérationnel sur les deux albums proposés aujourd’hui, la preuve :

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : LES FOLLES AVENTURES DE SPIROU.

 

 

C'est de qui ? Yoann & Vehlmann

 

 

La Couv':

 

Aventureuse Jeunesse  /  Les folles aventures de spirou  /  Witchazel et la menace d'Anankor

 

Déjà croisés chez nous? Oui

 

 

 

C’est édité chez qui ? Dupuis.

 

 

 

Une planche:

 

 

Aventureuse Jeunesse  /  Les folles aventures de spirou  /  Witchazel et la menace d'Anankor

 

 

Ca donne Quoi ? Pour avoir feuilleté le magazine Spirou durant les quelques mois où j’avais abonné ma fille, j’ai pu découvrir pas mal de petites choses parfois fort sympathiques, crées pour l’occasion, dont le caractère éphémère était parfois regrettable.

 

Les histoires courtes du célèbre groom (et de son fidèle ami) receuillies ici ont toutes été publiées dans le dit-magazine et, au vu de la qualité de certaines, il aurait été dommage que les fans de la série, pas forcéméent tous abonné au journal, ne puissent les découvrir aussi.

 

Certaines sont des récréations pleines de clins d’œil et plutôt fun ( Back to the Redac’, Groom Toujours,…), d’autres portent en elles au contraire les prémisses de ce qui aurait pu donner d’intéressants albums (La Chevauchée temporelle) et, d’autres enfin sont des parodies réussies (Batguy).

 

Le métier de Yoann et- surtout-le trait de Vehlmann sont très raccord et bien adaptés à l’univers de Spirou et Fantasio.

 

 

 

 

 

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LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : WITCHAZEL ET LA MENACE D’ANANKOR

 

 

C'est de qui ? Dufau et Darnaudet

 

 

La Couv':

 

 

Aventureuse Jeunesse  /  Les folles aventures de spirou  /  Witchazel et la menace d'Anankor

 

Déjà lus chez nous? Oui pour les tomes précédents.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Kramiek

 

 

 

Une planche:

 

 

Aventureuse Jeunesse  /  Les folles aventures de spirou  /  Witchazel et la menace d'Anankor

 

 

 

Ca donne Quoi ? On retrouve avec grand plaisir –partagé et différent qu’ils s’agissent de ma fille ou de moi- notre intrépide mulote sorcière qui reçoit la visite d’un condor dont le pays est dirigé d’une patte de fer par un cerf avide de pouvoir, qui a fait enfermé son frère le roi.

Anankor, le despote, compte envahir la lagune et c’est sur les frêles épaules de Witchazel, accompagnée de son soupirant Pristi, que repose l’avenir de la Lagune.

De faction de résistants minée de luttes intestines en armée d’invasions, l’affaire s’annonce mal mais notre sorcière n’a pas dit son dernier mot.

 

Avec toujours ce dessin animalier cartoony hérité des plus grands, ce nouveau tome de Witchazel conforte les bonnes impressions des précédents et le mélange de sujets graves (ici forcément on pense, entre autre, à la dictature nazie) et d’humour bon enfant (Darnaudet se lâche ici pas mal sur les jeux de mots et autres noms à tiroirs référentiels) fonctionnent fort bien et, une fois encore, permettent à la série d’être appréciée autant par les jeunes lecteurs que par leurs parents, preuve fait en tout cas chez B.O BD !

 

 

 

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Des Chroniques de Fab

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3 octobre 2017 2 03 /10 /octobre /2017 13:18

 

 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : UN AUSTRALIEN A GALLIPOLI

 

 

C'est de qui ? Starke & Holfeld

 

 

La Couv':

 

 

Kangourou en guerre  /  Un Australien à Gallipoli  Vs.  Uomo Contro

 

Déjà lus sur B.O BD? Non

 

 

 

C’est édité chez qui ? Kramiek

 

 

 

Une planche:

 

 

Kangourou en guerre  /  Un Australien à Gallipoli  Vs.  Uomo Contro

 

 

Ca donne Quoi ? En fait d’un, ce sont plus de 2000 australiens qui vont se retrouver face aux soldats de l’Empire ottoman, alliés de la Triplice, dans le détroit des Dardanelles, à des milliers de kilomètres de chez eux et tout ça pour servir la « Mère Patrie », la Grande Bretagne.

 

Roy et Wally, deux jeunes hommes idéalistes pleins de rêves de gloire et d’ailleurs, prèts à en découdre avec les « Huns » comme ils les surnomment, vont s’engager dans cette bataille qui n’est pas la leur et, pendant plus d’un an, vivre l’enfer des tranchées dans un environnement hostile pour une campagne perdue d’avance qui se soldera par une retraite en catimini et, surtout, d’innombrables victimes des deux cotés.

 

La scénariste Ruth Starke a une relation particulière avec cette période de l’Histoire puisque elle a des ancêtres qui y ont participé ; son récit n’est jamais mièvre ni didactique, rythmé par le quotidien de ses soldats de fortune et leurs multiples affrontements avec l’opposant, il se lit d’une traite, et est autant un plaidoyer contre la guerre qu’un vibrant hommage aux soldats australiens.

 

Coté graphisme, le canadien Greg Holfeld a fait le choix de l’anthropomorphisme, avec des animaux représentant au mieux leurs pays –les australiens sont donc par exemple des kangourous- et son trait semi réaliste rehaussé informatiquement de tons allant des pastels aux plus vifs pour les scènes de bataille, est un atout supplémentaire à ce témoignage d’une page de la Première Guerre Mondiale relativement peu connue.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? UOMINI CONTRO

 

 

C'est de Qui ?  P. Piccioni

 

 

La couv' 

 

Kangourou en guerre  /  Un Australien à Gallipoli  Vs.  Uomo Contro

 

 

Déjà entendu chez nous? Très probablement.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? J’aurais pu la jouer facile et choisir la musique de Gallipoli par Brian May (film qui, selon les auteurs, serait peut être à l’origine d’une recrudescence d’élan patriotique de la part de la génération de l’époque pour les commémorations de la bataille), mais outre un ou deux morceaux émouvants joués par des instruments classiques, le reste est bourré d’affreux synthétiseurs des années 80 absolument inécoutables aujourd’hui (voir qui décourageraient une quelconque motivation de revisionnage du long métrage).

 

C’est donc vers la B.O d’un film de la décennie précédente que j’ai arrêté mon choix, sorti en France sous le titre Les Hommes Contre, ce long métrage italien de Fransesco Rosi évoque la mutinerie de soldats transalpins contre leur chaine de commandement qui les envoie sans sourciller à la boucherie face à l’armée austro-hongroise. Si on pense parfois aux Sentiers de la Gloire de Kubrick, coté musique on est à l’autre extrémité du prisme.

 

Piccioni, homme à tout faire du 7° Art en son pays, avec des douzaines de scores à son actif, prouve ici que, employé sur un film aux images aussi dures que son scénario et son propos sont forts, est capable du meilleur.

 

Mettant l’accent sur les scènes choc de combat, n’hésitant pas à pousser loin dans la noirceur sa musique où cuivres et percussions redoublent d’efforts, le compositeur italien livre une B.O sans concessions, aussi tragique que possible.

 

Une sacrée ambiance du coup avec ce couple BD et B.O, qui met idéalement en exergue l’aspect antimilitariste du sujet.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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2 octobre 2017 1 02 /10 /octobre /2017 16:01

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : L’EXPEDITION 3

 

 

C'est de qui ? Marazano & Frusin

 

 

La Couv':

 

Toute une expédition!  /  L'Expédition tome 3  Vs.  Noah

 

Déjà lu chez nous? Oui

 

 

 

C’est édité chez qui ? Dargaud

 

 

 

Une planche:

 

 

Toute une expédition!  /  L'Expédition tome 3  Vs.  Noah

 

 

Ca donne Quoi ? Alors que nous ne l’attendions plus, la suite de la série dont les 2 premiers volets nous avaient emballés pointe enfin le bout de sa couv’.

 

Tout comme son héros, Marcus Livius, resté endormi plus de deux ans, nous n’avions plus de nouvelles  de L’Expédition depuis 2014, c’est donc avec une certaine émotion que l’on retrouve notre équipe de soldats romains, enfin parvenus non sans peine au royaume fabuleux qu’ils étaient partis découvrir. Deux d’entre eux sont emprisonnés, un troisième et marié et père et leur leader donc, le Lion de Lybie, vient d’émerger d’un coma bien longuet.

 

Et le réveil ne va pas être de tout repos car le voilà promis au règne aux cotés de la superbe souveraine noire mais il lui faudra d’abord passer une épreuve terrible, vaincre un lion à mains nues.

Sera-t-il à la hauteur de sa légende, et si oui, le pouvoir ne vas t-il pas lui monter à la tête !?

 

Un tome qui, coté scénario tient donc toutes ses promesses mais qui surprend un peu pour la partie dessin, plus rugueuse que sur les précédents avec une colo moins léchée. Cependant Frusin est toujours aussi doué pour rendre la dynamique des corps (on pense parfois à Corben), la sauvagerie d’une créature ou la magnificence des décors.

 

Au final le plaisir est toujours là, et cette suite ne déçoit pas…et maintenant par contre, comme disait Jon Snow (mais c’est connu , « He knows nothing » !) « Our watch begin » dans l’attente du quatrième et ultime volet.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? NOAH

 

 

C'est de Qui ?  C. Mansell

 

 

La couv' 

 

Toute une expédition!  /  L'Expédition tome 3  Vs.  Noah

 

 

Déjà entendu sur le site? Oui pas mal.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ?  J’ai toujours dit que l’Ancien Testament, qu’en athée convaincu je n’ai lu qu’à l’adolescence, était un vivier d’histoires épiques dignes des grandes sagas de fantasy, du Seigneur des Anneaux à Conan le Barbare.

Daren Aronofsky ne s’y est pas trompé puisqu’il s’est emparé du passage sur le déluge et en a fait un film violent dans son propos, hors norme dans ses images et, cerise sur le gâteau, une B.O grandiose (n’ayons pas peur des mots !).

 

Compositeur au parcours aussi iconoclaste qu’intéressant, Clint Mansell (qui vient du rock), qui a débuté au cinéma avec Aronofsky (Requiem for a dream)  et l’accompagne depuis, met ici à profit autant l’efficacité dont il a pu faire preuve sur des réalisations burnées comme Doom que l’intelligence et la subtilité de The Fountain par exemple.

 

A l’opposé de la partition bourrine qu’aurait probablement produit l’un des faiseurs de Remote Control, Mansell évite le trop synthétique et construit lentement mais surement des ambiances structurées où l’orchestre est utilisé à la pleine mesure de ses moyens, à l’image d’un Rosza du nouveau millénaire.

Il laisse ses atmosphères pleines d’une tension lourde évoluer au fil des pistes ; sans s’embarrasser d’une quelconque caution historico-folklorique il opte pour la magnificence sombre, sans oublier une vraie émotion tout au long du score.

 

Tout ce qu’il fallait de puissance évocatrice et de richesse musicale pour ce nouveau tome de l’Expédition.

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 13:48

 

 

 

C'est de saison ! (et d'actualité!)

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

C'est quoi : OCTOBRE 17

 

 

C'est de qui ? Rotman et Blary

 

 

La Couv':

 

Révolution ! /  Octobre 17  Vs.  The Enemy

 

 

Déjà croisés sur B.O BD? Oui pour Blary.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt/Seuil

 

 

 

Une planche:

 

 

Révolution ! /  Octobre 17  Vs.  The Enemy

 

 

Ca donne Quoi ? Tout autant que celle de 1789, la Révolution de 1917 (dont on fête le centenaire cette année donc) fut un changement sans précédents dans l’Histoire d’un pays voire dans l’Histoire tout court.

 

Scénarisé par Patrick Rotman, spécialiste entre autre du documentaire historique, Octobre 17 revient sur près de 100 pages sur les quelques mois qui virent la Russie basculer du tsarisme séculaire au communisme hélas bien éphémère fomenté par Lénine et, surtout, Trotsky.

En effet si il y a bien un aspect que je trouve marquant dans l’album c’est une certaine réhabilitation de celui qui deviendra l’ennemi juré de Staline et de son rôle prépondérant dans la préparation et la mise en œuvre des actions politiques et armées qui mèneront le parti de Lénine (alors quasi continuellement en exil) à la victoire.

 

L’album foisonne de renseignements, à l’image de ces Jours qui ébranlèrent le monde (comme les nommera John Reed témoin privilégié événements radicaux que l’on croise d’ailleurs dans la BD), s’il est souvent assez didactique, il reste prenant à lire de par l’unité entre les textes et les dessins habités d’un Benoit Blary que nous avions quitté dans la moiteur des marais de Louisiane et que nous retrouvons avec plaisir dans Petrograd à l’aube d’une révolution historique.

 

Son trait anguleux et ses couleurs directes rendent à merveille l’ambiance de cette période enfiévrée, dont la situation actuelle n'est finalement hélas pas si éloignée : dirigeants dont les richesses et les avantages se soucient si peu d'un peuple de plus en plus pauvre et exploité, sauf qu'aujourd'hui le dit-peuple est endormi, son attention détourné par les médias via les multitudes d'écrans qui contrôlent leur existence (désolé c'était ma minute révolte!)

 

Pour leur premier album, la collaboration entre les éditions du Seuil et Delcourt commence plutôt bien !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? THE ENEMY BELOW

 

 

C'est de Qui ?  Leigh Harline

 

 

La couv' 

 

Révolution ! /  Octobre 17  Vs.  The Enemy

 

Déjà entendu sur B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Certes c’est une B.O de film de guerre que j’ai écoutée pour accompagne Octobre 17, mais pour ce duel hors norme entre deux navires, un américain et un nazi, Leigh Harline a su autant jouer sur la corde patriotique (quelques passages, je vous l’accorde, ne vont d’ailleurs pas des masses avec la BD) que sur la tension psychologique et le suspense du métrage.

 

Tout comme le scénario qui évite un certain manichéisme en prêtant des cotés très humains aux soldats allemands, la partition  sait se faire ambivalente en utilisant notamment des dissonances peu habituelles sur le genre.

 

Un score aux  qui emporte tout sur son passage, l’adhésion y compris, tout comme la révolution d’Octobre l’a fait, il y a maintenant un siècle !

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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bobd - dans Franco Belge Historique
30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 12:31

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : FANFULLA

 


C'est de qui : Milani et Pratt

 

 

La Couv':

 

Le premier gentilhomme de fortune  /  Fanfulla  Vs.  Capitain From Castille

 

Déjà croisé sur le site? Oui pour Pratt

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres

 

 

Une planche:

 

Le premier gentilhomme de fortune  /  Fanfulla  Vs.  Capitain From Castille

 

Ca donne Quoi ? Entre la fin de l'année 67 et le début de 68, alors qu'il fait ses derniers mois au sein du Corriere dei Piccoli, Pratt, après avoir déjà livré de forts bonnes choses en pâture à ses lecteurs ( l'Ombre, Sandokan ou encore deux adaptations de Stevenson), termine en apothéose en mettant en image ce scénario de Mino Milani où l'on retrouve déjà comme protagoniste principal un gentilhomme de fortune, anti héros soiffard, bagarreur et bon vivant en la personne de Fanfulla.


L'intrigue se déroule dans l'Italie de la Renaissance, alors que les Plantagenets, après avoir mis à sac Rome, assiègent Florence, débarrassée des Médicis.


De la grande aventure à l'ancienne, avec une histoire solide, pleine de rebondissements faits de batailles' trahisons et autres émotions.


Longtemps restée inédite en tant que telle, cette œuvre de Pratt porte en elle pas mal des prémisses de celles à venir, l'artiste italien aura bien appris de ses sçenaristes avant de sauter le pas de l'écriture.


Le seul reproche que l'on pourrait faire à cette belle édition à l'italienne parue il y a une paire d'années chez Rue de Sèvres c'est, en gardant le découpage en strips horizontaux, d'avoir également conservé quelques problèmes de lectures dus à une narration parfois incongrue dans là disposition de ses cases.
Mais rien qui ne vienne gâcher le plaisir de cette redécouverte.

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? CAPITAIN FROM CASTILLE

 

 

 

C'est de Qui ? Alfred Newman

 

 

La couv'

 

Le premier gentilhomme de fortune  /  Fanfulla  Vs.  Capitain From Castille

 

Déjà entendu chez nous? Oui

 

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Connu pour ses scores d’envergure sur de grosses productions, Alfred Newman est mandaté pour celui de cette adaptation du roman éponyme qui se déroule dans l’Espagne du XVI° siècle.

 

Outre les passages obligés d’emploi de musique traditionnelle, où la guitare soliste est fort bien représentée d’ailleurs, Newman s’attache surtout à utiliser au maximum, comme il en a l’habitude, les différentes tessitures de l’orchestre.

 

Balançant entre romantisme luxueux et épique bon ton, la longue B.O de Capitain from Castille (plus d’une heure trente de matériel tout de même), comporte pas mal de pistes qui se marient fort bien avec la bande dessinée de Milani et Pratt (certaines vu la différence « géographique » étant peut être moins adaptées).

 

 

 

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Une chronique de Fab

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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