28 octobre 2017 6 28 /10 /octobre /2017 17:07

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : LA NINA BRONCA

 

 

C'est de qui ? Brecht & Nihoul

 

 

La Couv':

 

Panorama du western  /  La Nina Bronca  Vs.  100 000 Dollars pour Ringo

 

 

 

Déjà lus sur B.O BD? Oui pour le dessinateur.

 

 

 

Une Planche :

 

 

Panorama du western  /  La Nina Bronca  Vs.  100 000 Dollars pour Ringo

 

 

Ca donne Quoi ? Rescapé de la Grande Guerre, Moroni Fenn se voit, à cause de son penchant pour la bouteille, envoyé par son église mormone dans une colonie qu’il est supposé défendre de nombreux dangers.

 

Le destin va en décider autrement et placer sur la route de notre anti-héros une fillette indienne enlevée, un vieux solitaire fondu du bocal, une charmante tenancière de cantina et une bande d’apaches irréductibles.

 

Louons sans retenue l’originalité de ce western qui aligne un héros mormon alcolo, une époque peu utilisée dans le genre (les années 20), qui alterne le drame, le suspense et un humour noir léger mais bien présent et toute une galerie de seconds rôles bien écrits et consistants.

 

Coté graphismes, si j’aime beaucoup les paysages, l’ambiance et le rendu de la colo de Brecht, je suis un peu moins fan de ses visages que j’aurais préféré un brin plus réalistes peut être, mais sans pour autant que cela ne gâche quoi que ce soit à ce premier tome très réussi.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? 100 000 DOLLARS FOR RINGO

 

 

C'est de Qui ? B. Nicolai

 

 

La couv' 

 

 

Panorama du western  /  La Nina Bronca  Vs.  100 000 Dollars pour Ringo

 

 

Déjà entendu sur le site? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Passé l’incontournable générique chanté très en vogue à l’époque, on reconnaîtra à Bruno Nicolai, contemporain et néanmoins souvent considéré comme suiveur d’Ennio Morricone (probablement car il sera chef d’orchestre de pas mal de ses compositions), d’avoir su, sur un projet pourtant noyé dans la masse des productions similaires foisonnantes du western spaghetti, aussi bien s’éloigner des canons de son imposant comparse que de proposer une musique de qualité.

 

On note ici surtout les cuivres très à la fête, galopant comme des mustangs dans la prairie (hum !), qui peuplent des morceaux de bravoure rares dans le genre.

 

L’absence de guitare et d’harmonica, les cordes qui savent se faire oublier malgré quelques passages un rien mélo, tout fait de 100 000 Dollars For Ringo (titre d’autant plus surréaliste que personne ne s’appelle clairement Ringo dans le film, mais passons) une B.O atypique et intéressante que les amateurs du genre, et les lecteurs de la Nina Bronca, apprécieront à sa juste valeur.

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

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28 octobre 2017 6 28 /10 /octobre /2017 13:04

 

 

Un classique de retour chez B.O BD, le cycle western pour le week-end :

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : MARSHALL BASS. MEURTRES EN FAMILLE

 

 

C'est de qui ? Macan, Kordey & Vitkovic

 

 

La Couv':

 

Panorama du Western / Marshal Bass 2  Vs.  Sierra Torride

 

Déjà croisés sur le site? Oui, ne serait-ce que sur le tome 1.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt.

 

 

 

Une planche:

 

 

Panorama du Western / Marshal Bass 2  Vs.  Sierra Torride

 

 

Ca donne Quoi ? Notre marshall hors du commun traque un assassin de femmes enceintes, malheureusement ce dernier a eu la mauvaise idée (quoique) de s’arrêter chez une famille hollandaise pas très catholique dont la principale activité est de tuer les visiteurs pour revendre leurs effets. Entre échanges approximatifs de coups de feu, lynchage, course poursuite (pieds-nus !), inceste et autres violences sexuelles, River Bass va vivre une aventure des lus surréalistes !

 

Ce second tome réjouissant de Marshall Bass mélange avec bonheur l’excès du Bouncer de Jodo à l’humour noir décalé du film Vorace, le tout fort bien emballé par le dessin de Kordey qui, comme le whisky, se bonifie avec l’âge. Comme aime à le rappeler Gen, le travail du coloriste est notable également, Vitkovic fait en effet honneur au coup de crayon du dessinateur.

 

Au rayon des bémols on regrettera la présence de moins de ces doubles pages qui impressionnaient dans le volume précédent et l’expédition un brin rapide de certains passages du scénar (le déménagement de la famille de tordus, le coup de foudre éphémère de Bass) mais rien qui ne vienne entacher le plaisir de cette lecture !

 

 

 

 

LA MUSIQUE :

 

 

 

 

 

C'est quoi : SIERRA TORRIDE

 

 

C'est de qui ? E. Morricone

 

 

La Couv':

 

Panorama du Western / Marshal Bass 2  Vs.  Sierra Torride

 

Déjà entendu chez nous? A bien des reprises.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Après une année 69 plus chargée qu’érotique pour le maestro hyperactif, voici que Morricone attaque la nouvelle décennie avec l’un de ses scores les plus marquants à mon sens car c’est probablement celui qui conjugue le plus son sens de la mélodie imparable, qui a fait son succès sur la Trilogie des Dollars notamment, et cette passion pour l’expérimentation qu’il consacrait d’habitude aux séries B italiennes obscures mais qu’il n’hésites pas à appliquer ici sur une grosse production américaine.

 

Si nous avons donc des passages obligés à la guitare solo et à la trompette aux accents hispanisants très mélancoliques, renforcés par quelques chœurs féminins éthérés, le leitmotiv le plus marquant de Sierra Torride est bien sur ce braiement de la mule rendu par les instruments, aussi fun que rythmique (l’ensemble de la B.O l’est d’ailleurs beaucoup plus que ce que le compositeur a pu produire avant).

 

Avec ses crescendos successifs fort bien amenés, et son alternance entre gravité (relative) et délire musical, Two Mules for Sister Sarah est sans conteste un choix judicieux et amusant pour cette seconde aventure de notre héros atypique s’il en est !

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

 

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27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 15:16

 

 

Après Jet, c’est Lio qui nous fait le plaisir de nous gratifier d’une chronique musicale des plus originale :

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

C'est quoi : UN MONDE FLOTTANT

 

 

C'est de qui ? De Crécy

 

 

La Couv':

 

Haïkus en apesanteur  /  Un Monde Flottant Vs.  The Garden Of Words

 

 

Déjà croisés sur B.O BD? Oui

 

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

 

Une planche:

 

 

Haïkus en apesanteur  /  Un Monde Flottant Vs.  The Garden Of Words

 

Ca donne Quoi ? En 2008, à l’occasion d’une résidence d’artiste au Japon, Nicolas de Crécy découvre le travail de Kawanabé Kyosai, peintre et caricaturiste de la fin de l’ère Edo (première moitié du 19e siècle), célèbre notamment pour ses illustrations de Yokaï, ces créatures surnaturelles issues du folklore japonais, remises au goût du jour en 2001 par le Voyage de Chihiro.

 

Impressionné par le travail de Kyosai et stimulé par le principe des ekami, ces « rouleaux peints », sortes d’ancêtres de la bande dessinée, sur lesquels des artistes « déroulaient » leurs histoires à travers une succession d’estampes, de Crécy décide de rendre hommage à tout ce pan de la culture nippone que son voyage lui a permis de connaître et d’apprécier. Huit ans plus tard, voici donc Un monde flottant, somptueux album à mi-chemin entre le livre-objet et le haiga, un style de peinture mêlant illustration et calligraphie, auquel se sont prêtés en leur temps des haïkistes [1] aussi renommés que Matsuo Basho et Yosa Buson.

 

Adaptant son style aux exigences graphiques des estampes (une démarche entreprise également par Hergé pour Le Lotus bleu), de Crécy lève un coin de voile sur un monde dans lequel se mêlent beauté, mystère et nostalgie, ce concept esthétique que les Japonais appellent le yugen (« beauté profonde »). S’il laisse à chacun le soin d’imaginer la trame qui pourrait unir ses dessins et les poèmes qui les accompagnent, on peut toutefois regretter l’absence d’un glossaire en fin de volume (ou au début, tout dépend par quel bout on le prend) qui aurait permis de mieux appréhender la nature des Yokaïs et de leur univers. Absence d'autant plus étrange que l'auteur a par la suite largement "commenté" son travail dans un article du site de BFMtv...          

 

 

[1] Pour les néophytes, les haïku sont des poèmes d’un seul vers, découpé en 5, 7 et 5 syllabes. Le genre, qui s’est développé au Japon à partir du 17e siècle (et se porte toujours bien aujourd’hui !), devait originellement évoquer une saison et "célébrer l'évanescence des choses". 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? THE GARDEN OF WORDS

 

 

C'est de Qui ?  K. Daisuke

 

 

La couv' 

 

Haïkus en apesanteur  /  Un Monde Flottant Vs.  The Garden Of Words

 

 

Déjà entendu chez nous? Non

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Sorti trois ans avant Your Name (2016), énorme carton mérité au box office nippon, le 4e film de Makoto Shinkai est un moyen-métrage dont la sophistication formelle dépasse celle, déjà très aboutie, du reste de son œuvre.

 

Histoire simple d’un lycéen se rêvant un jour cordonnier (ahhh, le Japon !) dont la route croise par hasard celle d’une jeune femme solitaire assise sous le kiosque d’un parc verdoyant, The Garden of Words reprend les thématiques chères à son réalisateur : une histoire d’amour a priori compliquée, l’opposition entre nature et urbanisme moderne des cités nippones, l’importance du train comme moyen de jonction entre ces deux univers…

 

La crédibilité de cette relation naissante entre les deux héros, qui prennent l’habitude de se retrouver sous leur kiosque chaque jour de pluie, tient moins aux rebondissements de l’intrigue qu’à un souci quasi-maniaque des détails (on peut même parler ici de fétichisme…) dont fait preuve le réalisateur.

Captant avec une égale attention la chute d’une goutte de pluie, le lent mouvement des branches au-dessus d’un étange et le moindre geste de ces personnages, Shinkai nous fait lui aussi toucher le yugen du monde, que nous évoquions plus haut, du bout de la rétine.

 

Pour accompagner cette romance douce-amère, Kashiwa Daisuke, artiste issu de la scène ambient, livre une musique au piano - sorte de mix réussi entre les Gymnopédies de Satie et le Joe Hisaishi de Kitano (moins orchestral que celui de Miyazaki) – dont la douceur souligne avec justesse la dimension contemplative du manga et qui accompagnera parfaitement les déambulations des Yokaï imaginées par de Crécy dans son monde flottant.                     

 

 

 

 

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Une Chronique de Lio

  

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27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 06:05

 

 

Pour sa sortie en intégrale, Jet revient sur The Grocery, série de Singelin et Ducoudray parue  chez Ankama et Fab propose l'accompagnement musical:

 

 

 

LA BD:

 

 

 

C'est quoi : THE GROCERY

 

 

C'est de qui : Ducoudray & Singelin

 

 

La Couv':

L'épicerie du coin  /  The Grocery  Vs.  Traffic

Déjà croisé sur le site? Oui

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Ouvrir The Grocery est un risque à prendre, celui de l'addiction. On entre dans cette histoire au prix de quelques efforts sur une liste considérable de personnages principaux et secondaires dans une banlieue de Baltimore de nos jours.

La petite épicerie tenue par Elliott et son père fait office de repère à des quartiers grouillant d'une vie parfois pas si paisible où les rivalités sociales et ethniques vont finalement finir par éclater.

 

En écrivant les premières pages de cette histoire fleuve d'abord prévue en 3 tomes mais complétée en 4 plus un hors série indispensable sur les origines des personnages, Aurélien Ducoudray ne s'attendait surement pas à dépeindre un récit aussi touchant et violent dont les mécanismes narratifs s'apparentent à une série tv américaine (on pense aux gangs de The Wire, à la conclusion de Six Feet Under ou la richesse d'écriture de Breaking Bad)  influences digérées pour en faire un récit somme tout très personnel avec un découpage désarçonnant et rythmé passant d'une situation à une autre pour mieux les faire s'entrechoquer.

 

 

Les dessins de Guillaume Singelin, véritable révélation de cette série, sont de toute beauté avec des gueules humanoïdes qui possèdent un véritable cachet. Outre une large palette d'émotions, ce sont multitude de détails qui éclairent le lecteur surpris de se retrouver dans une véritable saga avec un univers plein de vie, de sang et de fureur.

 

Approfondissant sensiblement ses personnages par des flashbacks ingénieux dans Before The Grocery et osant même une métaphore des frontières assez culottée que je vous laisse soin de découvrir, The Grocery laisse un gout amer en bouche, celui d'un récit éprouvant mais dont où on aura envie de revenir à un moment ou un autre. Il s'agit clairement d'une œuvre dure et bien moins polie que ses dessins ne laissent supposer mais en tous cas d'une oeuvre culte. Assurément.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? TRAFFIC

 

 

C'est de Qui ? C. Martinez

 

 

La couv' 

 

 

Déjà entendu dans le coin?  Oui

 

 

On peut écouter?

Ca donne Quoi ? Si bien pensée et fort adaptée aux images de Soderbergh –dont il a composé toutes les B.O sauf une-  la musique que Cliff Martinez a écrite pour ce polar à récits croisés sur la lutte contre la drogue à la frontière mexicaine a (déjà !) assez mal vieilli.

 

Usant et abusant d’ambiances électro atmosphériques, de nappes d’effets éthérées heureusement relevées de ci de là de rythmiques un peu plus groovy (mais toujours trop peu organiques), le compositeur opère un underscoring payant mais quasiment inécoutable en tant que tel (ce qui n’est évidement pas sa fonction première me direz-vous, et vous aurez raison) et, surtout, ancrant le long métrage dans son époque l’empêchant, à l’image de certains films qui auraient pu avoir un autre avenir si leurs B.O avaient été différentes (au hasard, Le Sixième Sens de Mann ou The Keep de …Mann, damn’ le bonhomme serait-il spécialiste du genre ?).

 

 

 

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Une chronique de Jet et Fab

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26 octobre 2017 4 26 /10 /octobre /2017 07:17

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

C'est quoi : AQUARICA. 1 ROODHAVEN.

 

 

C'est de qui ? Sokal & Schuiten

 

 

La Couv':

 

La Petite Sirène Steampunk  /  Aquarica  Vs.  L'Expédition Jules Verne

 

Déjà croisés chez nous? Non

 

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres

 

 

 

Une planche:

 

 

La Petite Sirène Steampunk  /  Aquarica  Vs.  L'Expédition Jules Verne

 

 

Ca donne Quoi ? Par un froid et humide matin de décembre 1930, sur la plage de Roodhaven, patelin côtier américain, une espèce de crabe géant vient s’échouer aux pieds d’un marin aviné.

Quant la bête inanimée  laisse apparaître une partie de l’épave du Golden Licorn, un baleinier naufragé une vingtaine d’années auparavant dans une chasse à la baleine géante, tout les vieux du patelin s’échauffent.

 

Après l’intervention des forces de l’ordre locales, un jeune scientifique un peu rêveur est mandaté pour inspecter l’animal. Il va découvrir une jeune fille cachée dans l’antre du crabe qui lui révèle l’existence d’une île sur le dos d’une baleine gigantesque. L’avenir de ses habitants étant en danger elle lui demande de l’accompagner.

De leurs cotés nos anciens chasseurs de cachalots ont décidé de se venger de l’anima qui a causé leur malheur de par le passé.

 

 

Aussi étonnant que cela puisse paraître, en plus de 2500 chroniques nous n’avons jamais lu ni Schuiten ni Sokal, pourtant considérés par d’aucuns comme des pointures de la bande dessinée franco-belge, chez B.O BD. C’est donc chose faite avec cet album commun où les influences sont peut être à chercher du coté de grands classiques comme Les 1001 Nuits, La Petite Sirène ou Moby Dick, le tout mâtiné de fantastique steampunk.

 

De l’aventure avec une touche romantique assez classique (peut être un brin trop ?) mais bien écrite avec un dessin réaliste poussé sur les décors qui rendent à merveille l’atmosphère humide de ce port de pèche désolé, et plus caricatural sur les visages burinés des pêcheurs revanchards ou doux des deux héros.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ?   L’EXPEDITION JULES VERNE ET LE 3 MATS BELEM

 

 

C'est de Qui ?  J. Scott

 

 

La couv' 

 

 

La Petite Sirène Steampunk  /  Aquarica  Vs.  L'Expédition Jules Verne

 

Déjà entendu sur B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? John Scott, en marge de ses B.O pour des films de fiction, a également œuvré pour le documentaire.

Il a composé les musiques de trois longs métrages du réalisateur français J. C Jeauffre qui, avec son équipe Jules Verne Aventures, a sillonné les mers à bord du mythique Belem, navire historique à la destinée incroyable, des mers d’Amérique du Sud où il échappa à l’irruption d’un volcan au début du siècle dernier jusqu’à son retour sous le drapeau français à la fin des années 70 en passant par un tremblement de terre au japon dans les années 40.

 

Outre un vrai sens de l’illustration spécifique au documentaire (développée notamment sur des travaux pour Cousteau ) faite d’underscoring discret mais efficace, Scott se permet de belles envolées lyrico-romantiques qui ne sont pas sans faire penser à ses B.O de films d’aventures, King Of the Wind ou Rocket to the Moon en tête.

 

Une poésie musicale un rien désuète et un peu trop écrite en regard des canons actuels mais qui n’est pas dérangeante avec l’atmosphère étrange de ce premier volet d’Acquarica.

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

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  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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