30 mars 2019 6 30 /03 /mars /2019 14:12

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  PEAU DE MILLE BETES

 

 

C'est de qui ? S. Fert

 

 

La Couv':

 

La Belle et les bêtes  /  Peau de Mille Bêtes  Vs.  Grendel & Beowulf

 

Déjà croisé sur le site? Oui

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt

 

 

Une planche:

 

La Belle et les bêtes  /  Peau de Mille Bêtes  Vs.  Grendel & Beowulf

 

Ca donne Quoi ? Pour échapper à la concupiscence des hommes, une jeune fille d’une grande beauté s’enfuit dans une mystérieuse forêt où elle va rencontrer un roi mi-homme mi- insecte dont elle va devenir l’épouse.

Ensemble ils auront une belle enfant qui, à la mort de sa mère se voit chassée par son père pour, bien des années plus tard, être convoité par ce dernier.

 

Refusant cette union contre nature, Ronce est maudite par son géniteur est devient la reine de bêtes. Seul son prince pourra la sauver, mais ce dernier n’a pas vraiment le profil habituel !

 

Dire que j’attendais cet album avec impatience, voire fébrilité, est un doux euphémisme ! En effet il y a une paire d’années je suis littéralement tombé sous le charme de Morgane, la relecture brillante du mythe arthurien au féminin que Stéphane Fert et Simon Kansara nous avaient proposé et, dans la foulée, du style graphique ô combien original du dessinateur.

 

Je ne chercherais cependant pas à comparer les deux œuvres, ne pouvant être objectif à bien des niveaux (les sujets, l’attente,…), Morgane étant devenu l’un de mes cinq albums de BD préférés tout genres confondus.

 

Peau de Mille Bêtes est également une relecture mais d’un conte antédiluvien, estampillé un peu à tort « jeunesse » (mais comme la plupart des contes, surtout ceux passés à la moulinette Disney) et dont la variation la plus connue chez nous reste Peau D’Âne.

 

La Belle et les bêtes  /  Peau de Mille Bêtes  Vs.  Grendel & Beowulf

 

Riche en thématiques propres aux genre, fourmillant de références à d’autre choses (pèle mêle : La Belle au Bois Dormant et quelques autres contes, le féminisme, la psychanalyse, Mike Mignola, Arthur Rackham, l’Art Nouveau,…) la nouvelle BD de Stéphane Fert, ici auteur complet, est un festin pour les yeux, avec des compositions très travaillées, des mises en page inventives, une narration soignée.

 

Le tout dans ce style graphique à la fois référencé mais très personnel, aux couleurs parfaitement choisies selon les ambiances recherchées et n’hésitant pas à faire fi des proportions anatomiques au profit d’effets jamais clinquants.

 

L’artiste a su capter l’universalité de son modèle, se l’appropriant avec talent et réalisant une œuvre unique et intergénérationnelle (ma fille s’est d’ailleurs approprié l’album).

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

C'est quoi :BEOWULF & GRENDEL

 

 

C'est de qui ? Hilmar Örn Hilmarsson

 

 

La Couv':

 

La Belle et les bêtes  /  Peau de Mille Bêtes  Vs.  Grendel & Beowulf

 

Déjà entendu chez B.O BD?

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Dans une carrière alors hésitante, avant d'exhiber une musculature de chippendale dans l'ampoulé 300 de Zack Snyder, Gerard Butler avait tourné dans cette coproduction internationale, jouant le rôle de Beowulf pour un résultat mitigé.

 

La musique est signée Hilmar Örn Hilmarsson, pionnier de la musique électronique et expérimentale dans son pays (l'Islande) mais également féru de traditions, de paganisme et de ...magie !

 

Compositeur touche à tout, il a, au sein d'une discographie aussi variée qu'étonnante, mis en musique une trentaine de longs métrages dont celui retenu aujourd'hui est probablement le plus connu (le seul?) hors des contrées enneigées qui ont vu naître notre bonhomme.

 

S'il sacrifie quelque peu à l'illustration musicale typique hollywoodienne, il n'en garde pas moins sa personnalité artistique prononcée et les influences de musique traditionnelle nordiques sont savamment distillées tout au long de la galette. L'ambiance est originale, sombre mais avec des sursauts héroïques et d'autres plus léger, et fait un accompagnement aussi agréable inattendue parfois au nouvel opus de Stéphane Fert.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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29 mars 2019 5 29 /03 /mars /2019 08:48

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  SISSI UNE FEMME AU DELA DU CONTE DE FEES

 

 

C'est de qui ? Girogia Marras

 

 

La Couv':

 

La vraie vie de l'impératrice   /  Sissi : une femme au-delà du conte de fées  Vs. Overture to a symphony concert

 

Déjà lue sur le site? Non

 

 

C’est édité chez qui ? Steinkis

 

 

Une planche:

 

La vraie vie de l'impératrice   /  Sissi : une femme au-delà du conte de fées  Vs. Overture to a symphony concert

 

Ca donne Quoi ? Si mon frère aîné lisait ce site (dont je doute même qu’il connaisse l’existence) il rirait bien de moi qui me suis tant moqué de lui, lors de notre prime jeunesse, quand il se passionnait pour les films sur Sissi où Romy Schneider interprétait une héroïne romantique à souhaits.

 

Image que j’ai gardée du personnage, n’ayant jamais été au bout d’aucun des films en question. Si j’ai plongé dans la lecture de cette biographie dessinée je crois que c’est la faute de Fabien Nury et Mathieu Bonhomme dont la récente et très réussie Charlotte Impératrice m’a motivé à (re) découvrir sa rivale : Sissi.

 

Mais je parle, je parle…quid du propos me demanderez-vous ?

Et bien, contrairement à cette image d’Épinal que l’on (je ?) peut avoir d’ Elisabeth de Bavière, la jeune fille avait en réalité - comme pas mal de femmes couronnées à travers l’Histoire, mais ça les Reines de Sang ne cessent de nous le rappeler avec brio – une forte personnalité, un certain mépris pour l’étiquette et les obligations de cour et un réel intérêt dans tout ce qui touchait à la politique.

 

Cependant son empereur de mari et sa suite ne furent pas toujours disposés à faire cas de ses avis ce qui aurait peut être pû éviter, entre autre, le conflit avec la Prusse.

 

Si pas aussi prenant et virtuose que le Charlotte Impératrice mentionné plus haut, ce Sissi ne manque pas d’atouts, et ses 200 pages se lisent avec un intérêt constant, bien entretenu par le trait délicat de Girogia Marras, tout en dégradés de gris, a également été déterminant dans mon choix, vous savez en effet que j’apprécie tout particulièrement, à une époque où Photoshop et les palettes graphiques sont devenues une norme, le dessin réalisé « à l’ancienne ».

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :OVERTURE TO A SYMPHONY CONCERT

 

 

C'est de qui ? M. Rozsa

 

 

La Couv':

 

La vraie vie de l'impératrice   /  Sissi : une femme au-delà du conte de fées  Vs. Overture to a symphony concert

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Au sein d'une décennie chargée coté B.O (quoique moins que la précédente,) Miklos Rosza parvient néanmoins à dégager du temps pour ses compositions plus personnelles dans le registre classique.

 

Néanmoins cette Ouverture pour symphonie résonne de ses travaux pour le grand écran, que ce soit la fanfare de cuivres du début qui rappelle son Ben Hur ou les influences typiques hongroises du compositeur, avec force violons et reprises de thèmes par l'orchestre.

 

Des montées en puissance riches aux allures de sonate où romance et mélancolie viennent rivaliser avec les passages plus enlevés.

 

Outre une beauté formelle manifeste, les couleurs folkloriques sonnent tout à fait de circonstance avec la Sissi de Giorgia Marras.

 

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

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27 mars 2019 3 27 /03 /mars /2019 14:24
 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  AUJOURD’HUI EST UN BEAU JOUR POUR MOURIR

 

 

C'est de qui ? Colo

 

 

La Couv':

 

Ne remettez pas à demain  /  Aujourd’hui est un beau jour pour mourir  Vs.  The Cloverfield Paradox

 

Déjà lu dans le coin? Non

 

 

C’est édité chez qui ? Le Long Bec

 

 

Une planche:

 

Ne remettez pas à demain  /  Aujourd’hui est un beau jour pour mourir  Vs.  The Cloverfield Paradox

 

Ca donne Quoi ? Bien, commençons par dire que, si vous n’avez pas le moral, si vous vous sentez un peu dépressif, ce n’est peut être pas le bon jour pour entamer la lecture de cet album de Colo qui, d’une certaine façon, a crée là son From Hell à lui.

En effet si les deux œuvres ont des sujets et des portées fort éloignés, ils n’ont pourtant pas en commun que leur poids et leur généreuse pagination.

Noirceur du ton, originalité de la partie graphique, fond au service de la forme… nul doute qu’à l’instar d’un Allan Moore, Colo, auteur complet d’Aujourd’hui est un beau jour pour mourir, a crée là une œuvre qui sera marquante dans sa carrière (que l’on ne peut que lui souhaiter d’être aussi riche que celle du vieux barbu de Northampton).

 

Mais recentrons nous un peu sur l’album. Il y est question de plus sieurs personnages, entretenant des liens plus ou moins proches, aux vies fort différentes mais toutes reliées même si les fils qui les lient sont parfois infimes ou n’apparaissent que très tard dans l’histoire.

 

Dans une Espagne d’un futur proche, un dirigeant de laboratoire pharmaceutique sans scrupules va charger un tueur redoutable de propager un virus à la propagation aussi rapide qu’exponentielle qui rend les victimes dépressives au point d’en mourir.

 

Dans le même temps un mystérieux activiste pirate les réseaux télévisuels à intervalles irréguliers afin de semer le doute dans l’esprit des gens par rapport à la société qui les entoure.

 

Ne remettez pas à demain  /  Aujourd’hui est un beau jour pour mourir  Vs.  The Cloverfield Paradox

 

Au sein d’un chaos rampant inéluctable, qui va créer une crise sanitaire et sociale sans précédent et surtout sans remèdes, le reste du casting (un groupe de potes musiciens assez disparate, un vieil écrivain à la recherche de l’inspiration, un restaurateur friand d’histoires, notre tueur en roue libre, etc…) va tenter, bien vainement pour la plupart, de survivre.

 

Aujourd’hui est un beau jour pour mourir est un livre foisonnant, qui, de l’aveu même de son auteur, a été pas mal improvisé, et si cela se ressent parfois sur des longueurs inévitables sur un tel marathon (on parle toue de même de plus de 380 pages de bande dessinée ici !), on ne peut être qu’épaté par le résultat qui invoque des scènes qui commencent à nous être désagréablement familières et aborde des sujets sociaux, moraux voire philosophiques traités avec un certain talent et abordés par le biais d’images souvent fortes dans un style graphique très actuel, aux teintes de couleurs souvent sombres, évocatrices de l’ambiance générale fort noire du scénario.

 

Un album qui fera date à n’en pas douter, et pas que dans la carrière de son auteur.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : THE CLOVERFIELD PARADOX

 

 

C'est de qui ? B McCreary

 

 

La Couv':

 

Ne remettez pas à demain  /  Aujourd’hui est un beau jour pour mourir  Vs.  The Cloverfield Paradox

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Il y a une dizaine d’années de ça je me souviens avoir vu un film de SF dont la fausse bonne idée était d’être filmé à la façon d’un caméscope (à la manière du déjà pénible Blair Witch) pour faire croire que ce qui se passait dedans (New York attaqué par une grosse bestiole qui la détruire consciencieusement) était vrai.

Le nom de JJ Abrams associé au bouzin et une promo savamment agencée firent pour beaucoup dans le succès d’un film aussi fatiguant que moyen.

 

Quelle ne fut pas ma surprise, alors que je cherchais quelques B.O intéressantes à utiliser pour mes futures lectures, de découvrir que non pas une mais bien deux « suites » avaient vu le jour depuis, dont celle abordée aujourd’hui, qui date de l’année dernière.

 

C’est Bear McCreary qui est aux commandes de la musique de ce Cloverfield Paradox et vu qu’on a croisé le bonhomme une paire de fois chez nous je ne vous referais pas la bonne blague qu’un compositeur qui se prénomme Ours ne doit pas forcément avoir la patte fine (pour les moins anglophones de nos lecteurs, ceux qui dormaient en cours d’anglais dés la 6°, Bear est donc en effet la traduction d’ours).

 

Surtout qu’en plus d’être facile la remarque serait un peu déplacée vu que son boulot sur le film est relativement inattendu dans le genre. En effet il propose une variété de thèmes assez impressionnante avec des rappels entre eux intelligents que ce soit coté rythmique ou mélodique, des atmosphères qui évoluent de l’action à la terreur, sans pour autant oublier des respirations bienvenues, qui sonnent plus romantiques.

 

Au rayon des instruments solistes on retrouve là encore des choses insolites comme la flute et le violoncelle, bien exploités.

 

Il ne fallait pas moins coté changement et variation pour un récit aussi dense que l’album du jour.

 

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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26 mars 2019 2 26 /03 /mars /2019 06:46

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  ON MARS 2

 

 

C'est de qui ? Runberg & Grun

 

 

La Couv':

 

La Planète Rouge...sang!  /  On Mars 2  Vs.  Huger Games: Catching Fire

 

Déjà lus chez B.O BD? Oui sur le précédent

 

 

C’est édité chez qui ? Daniel Maghen

 

 

Une planche:

 

La Planète Rouge...sang!  /  On Mars 2  Vs.  Huger Games: Catching Fire

 

 

Ca donne Quoi ? Pour sauver sa peau Jasmine, ex flic piégée par sa hiérarchie et déportée sur la colonie pénitentiaire de Mars, s’est convertie à la religion de l’église Syncrétique, sorte de secte ayant une influence de plus en plus importante.

Rapidement ses nouveaux « amis » vont la solliciter pour diriger une opération de putsch contre les dirigeants et les colons.

 

Mais sur la planète rouge, en 2132, tout est comme aujourd’hui sur Terre : trahisons, gangs rivaux, conflits d’intérêts et autres attentats meurtriers sont le lot quotidien !

 

Second volet tout en tensions et en suspense de la série futuriste de Runberg et Grun ; le premier connaissant les ficelles du métier sur le bout des doigts et les tirant à bon escient pour proposer un scénario prenant, et le second, avec son style réaliste virtuose précis et détaillé mettant tout ça en image avec réussite.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : THE HUNGER GAMES : CATCHING FIRE

 

 

C'est de qui ? J. N. Howard

 

 

La Couv':

 

La Planète Rouge...sang!  /  On Mars 2  Vs.  Huger Games: Catching Fire

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Newton Howard déjà auteur de la B.O du précédent et ayant collaboré avec le réal de cette suite sur deux longs, joue ici sur du velours ; un peu trop même.

 

En effet on ne pourra que lever -souvent!- un sourcil circonspect à l'écoute de pas mal des pistes de son score de Hunger Games: Catching Fire tant le compositeur navigue entre thématiques attendues et auto-citation appuyée.

 

Après le bonhomme sait y faire, a visiblement les grands moyens à sa disposition et, quand il varie son orchestration, ne fait pas les choses à moitié. Néanmoins le trop est souvent l'ennemi du bien et sa partition vérifie souvent l'adage.

Cela étant, émotion, grand spectacle, changements d'ambiances et de rythmes soudains et réussis, sont légions et comme B.O de SF, ce Hunger Games ne démérite pas ; on ne lui en demandait pas plus.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 13:15

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  INFINITY 8. JUSQU'AU DERNIER.

 

 

C'est de qui ? Trondheim et Killofer

 

 

La Couv':

 

Huit à l'infini  /  Infinity 8. Jusqu'au dernier.  Vs.  Rollerball.

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres.

 

 

Une planche:

 

Huit à l'infini  /  Infinity 8. Jusqu'au dernier.  Vs.  Rollerball.

 

Ca donne Quoi ? Point d'héroïne sexy pour cet ultime volet de la saga SF déconnante de Trondheim et ses compères puisque c'est le bedonnant et libidineux lieutenant Refo qui va dévoiler au grand jour le pot aux roses et tenter de sauver les meubles.

Il a découvert que le capitaine Tonn Chars - l'espèce de pieuvre géante au pouvoir de reboot- cherche en fait à se venger du reste de la galaxie pour avoir éradiquer sa race 30 ans auparavant.

 

Refo se révèle un sacré meneur d'homme, ou plutôt de femmes puisque nos agentes des précédents épisodes vont rempiler pour lui filer un coup de main salvateur.

 

Bon, voici donc la conclusion du concept Infinity 8 que d'aucuns avaient qualifié de « Donjon, mais dans l'espace ! ». Si cette série s'avère moins aboutie que cet imposant prédécesseur elle ne manque pas d'atouts comme on a pu le voir au fil des tomes précédents et comblera les amateurs du scénariste.

 

Killofer rend une copie des plus honorable, dans le top 3 de la série; avec des passages assez impressionnants de ci de là, bien mis en valeur par les couleurs de Tanja Cinna.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :ROLLERBALL

 

 

C'est de qui ? Previn et divers

 

 

La Couv':

 

Huit à l'infini  /  Infinity 8. Jusqu'au dernier.  Vs.  Rollerball.

 

Déjà entendu chez B.O BD? Certains oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Pour ajouter au décalage de cette conclusion d'Infinity 8 j'ai choisi la bande originale de Rollerball qui comporte une poignée d’œuvres classiques plus ou moins célèbres (dont certaines plus que moins, le Tocata en Ré mineur qui ouvre la galette par exemple) alternées avec des compositions d'André Previn qui va d'une musique descriptive aux accents assez baroques à un psychédélisme funky très début des années 70 ou guitares wah-wah et synthé sidéral se côtoient dans un groove des plus planant.

 

Le contraste entre des pièces de Shostakovitch, Tchaikovsky et le score à proprement, parler, contre toute attente, fonctionne plutôt pas mal, surtout avec un album comme celui du jour.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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