27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 16:25

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : LA FILLE DE L’OUVRE BOITE

 


C'est de qui : Rob Davis

 

 

Une Couv':

 

Filles Perdues   /   La fille de l'ouvre boite  Vs.  Little Girl Lost

 

Déjà croisé sur le site? Oui.

 

 

C’est édité chez qui ? Warum

 

 

Une planche:

 

Filles Perdues   /   La fille de l'ouvre boite  Vs.  Little Girl Lost

 

Ca donne Quoi ? Vous vous souvenez peut être de cet intriguant album, l’Heure des Lames, chroniqué ici l’an passé ; on y découvrait un univers des plus atypique où, dans une Angleterre alternative et orwellienne, des ados fabriquaient leurs parents, où chacun connaissait la date de sa mort, ou encore, où la police n’est composée que de personnes du troisième âge.

 

La Fille de l’ouvre boîte nous y replonge de plein pied en nous narrant la jeunesse de Vera, l’héroïne du tome précédent, qui a décidé de sauver Scarper de son inéluctable décès.

 

Si la première partie de l’album s’inscrit sans la lignée de ces récits initiatiques de collège, de Courtney Crumrin à Gotham Academy en passant par Harry Potter, ce n’est que pour mieux en dynamiter les codes. Vera est une freak même dans ce monde surréaliste et ne rentrera clairement pas dans le moule, même si sa mère tyrannique en a décidé ainsi.

 

A la moitié du tome on commence à rattacher les wagons du premier, retrouvant la cavale de nos deux héros restants (Vera, donc, et Castro) et l’histoire s’emballe bien comme il faut.

 

L’univers de la série de Rob Davis, métaphore surréaliste et décalée de l’adolescence et de sa rébellion, portée par un beau graphisme en noir et blanc, plus délié que sur le précédent,  pourra surprendre certains lecteurs néophytes, les autres, plus exigeants et peut être plus ouverts, y trouveront à n’en pas douter leur compte.

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

C'est Quoi ? LITTLE GIRL LOST

 

 

C'est de Qui ? B. Herrmann

 

 

La couv'

 

Filles Perdues   /   La fille de l'ouvre boite  Vs.  Little Girl Lost

 

Déjà croisé sur B.O BD?  Plein de fois oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne quoi? La série Twilight Zone a été pour Bernard Herrmann une véritable aubaine. Bac à sable musical aux possibilités très étendues, elle lui a permis, au gré des scénarios et épisodes de s’adonner à une pratique qu’il affectionnait dans la composition de B.O : l’expérimentation.

 

Ainsi sur ce Little Girl Lost, il marie des cordes assez surprenantes dans le genre : la harpe (quatre !), une viole d’amour (violon à double cordes dont un set résonnant par sympathie), et leur ajoute des vents, des percussions diverses et pour parfaire le tableau iconoclaste, un vibraphone.

 

Le résultat est tout bonnement excellent. Herrmann arrive à mettre tout ce petit ensemble au diapason (dans les deux sens du terme) et propose une musique qui passe de la douceur hypnotique à la répétition stressante en faisant un détour par la mélodie éthérée quasiment surréaliste.

 

Si manquant peut être un peu d’action pour certaines scènes de la fin de la Fille de l’Ouvre Boite, le score de Little Girl Lost éclaire avec réussite l’atmosphère décalée de la BD.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 08:24

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : CUL DE SAC. TOME 2.

 


C'est de qui : R. Thompson

 

 

La Couv' :

 

Tiercé gagnant!  /  Cul de Sac 2  Vs.  It Was A Short Summer - Charlie Brown

 

Déjà lu chez B.O BD? Non

 

 

C’est édité par qui ? Urban Comics

 

 

Une planche:

 

Tiercé gagnant!  /  Cul de Sac 2  Vs.  It Was A Short Summer - Charlie Brown

 

Ca donne Quoi ? Quand on parle de comics strips d’humour, il y en a deux en particulier que, très probablement comme pléthore d’amateurs, j’adule : les Peanuts et Calvin et Hobbes.

 

Le premier a bercé ma jeunesse à l’époque où Gallimard la publiait sous le titre Snoopy, probablement plus vendeur que l’original; le second a été une révélation quand je l’ai découvert en V.O, au tout début du collège, et c’est avec le blondinet et son tigre imaginaire que j’ai appris l’anglais (ou presque).

 

Ce doublé vient de se transformer en tiercé –gagnant !-  avec la série du récemment disparu Richard Thompson, Cul de sac, qu’Urban édite en intégrales classes dont vient de sortir le tome 2.

 

On y suit le quotidien de la famille Otterloop : le père et la mère, gentils « beaufs » déconnectés, Petey, pré-ado complexé à l’ami imaginaire encombrant qui se découvre un nouvel  et, surtout, la désopilante Alice, qui ne s’en laisse pas compter, qui dance sur une plaque d’égout ou encore qui n’hésite pas à remettre en question l’enseignement de son instit’.

 

Décalé parfois jusqu’au loufoque, plein d’un humour aussi subtil qu’il est parfois profond (pas mal de sujets sont abordés au fur et à mesure des strips), Cul de Sac, si pas révolutionnaire dans ses graphismes, est une perle dans son genre qui, comme ses prestigieux ainés, allie avec talent le  fond et la forme.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? IT WAS A SHORT SUMMER, CHARLIE BROWN

 

 

C'est de Qui ? Vince Guaraldi

 

 

La couv'

 

Tiercé gagnant!  /  Cul de Sac 2  Vs.  It Was A Short Summer - Charlie Brown

 

Déjà croisé ici? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Moyen Métrage adapté des Peanuts de Schultz, sorti dans les années 60, It was a short summer, Charlie Brown voit notre petite équipe enrolé de force par Lucy dans un camp de vacances.

 

Vince Guaraldi, compositeur attitré de versions animées de la série, jazzman de métier, fait osciller ses thèmes entre ritournelles bucoliques et fantaisies pop enjouées, le tout dans un état d’esprit groovy old school très agréable.

 

Musique essentiellement d’accompagnement plus qu’illustrative, où piano et cuivres sont les principaux instruments entendus (agréablement complétés par un vibraphone de temps à autre), cette B.O apporte une ambiance easy-listening aux mésaventures des Otterloop qui n’en ressortent que plus décalées et fun.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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14 février 2017 2 14 /02 /février /2017 08:29

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : GONZO

 


C'est de qui : Will Bingley et Anthony Hope-Smith

 

 

La Couv':

 

BD Parano  /  Gonzo  Vs.  Birdman

 

Déjà croisé sur le site? Non.

 

 

C’est édité chez qui ? Nada.

 

 

Une planche:

 

BD Parano  /  Gonzo  Vs.  Birdman

 

Ca donne Quoi ? Enfin ! Une BD sur l’inventeur du Gonzo journalisme, ce fan de la Beat Génération qui allait mettre en pratique le Sur La Route de Kerouac, sur les traces de ses prédécesseurs. Entre le reportage sur les Hell’s Angels qui tournera plus que mal, la course à Vegas qui finira en « parano », son impossibilité à assumer  paternité et ou vie de couple, sa tentative de se faire élire shériff ou encore ses renvois successifs de rédaction de journaux et magazines, la vie dissolue et surréaliste de Thompson méritait bien un album à part entière (oui, ok, y a bien Spider Jerusalem mais quand même).

 

Assez loin de l’image donnée par l’interprétation outrancière et cabotine de Jack Sparrow, Thompson est présenté ici comme le junkie et l’alcoolo qu’il était certes mais, avant tout, comme un artiste avide d’écriture, d’expériences nouvelles, de filiation avec ses illustres modèles.

 

L’autre grand atout de ce généreux one shot est son dessin accrocheur, trait charbonneux et nerveux, digne héritage d’une certaine école américaine old school dont les références aujourd’hui seraient à mi chemin du regretté Darwyn Cooke (période Catwoman)  et de Michael Lark, artiste croisé entre autre sur Gotham Central.

 

Des titres à des années lumières du genre de la bio de Thompson donc et justement c’est là qu’est l’originalité, plutôt que de choisir quelque chose d’attendu et de passe-partout (comprenez « réaliste ») le scénariste (ou peut être plus probablement l’éditeur d’origine) a su opté pour une option gagnante.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? BIRDMAN

 

 

C'est de Qui ? Antonio Sanchez

 

 

La couv'

 

BD Parano  /  Gonzo  Vs.  Birdman

 

Déjà entendu sur B.O BD? Yep

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Attention : concept ! Pour la B.O de ce film surprenant (et un brin maniéré d’accord,  moins que le suivant cela dit mais ne nous égarons pas) avec un Michael Keaton (qui aurait d’ailleurs pu faire un meilleur Hunter S. Thompson de cinéma que Johnny le Cabot) ressuscité, Innaritu fait appel au batteur Antonio Sanchez, ex sideman de Chick Corea et actuellement derrière les fûts pour Pat Metheny (excusez du peu !).

 

Le résultat est tout bonnement hallucinant, avec son seul instrument rythmique Sanchez dynamite les codes du score et produit un ovni avant-gardiste qui s’avère même particulièrement mélodique, contre toute attente.

 

Si je conçois qu’à l’écoute seule ça puisse vite devenir fatiguant, malgré la virtuosité du musicien, c’est assez surprenant à la lecture d’une BD, surtout quand celle-ci évoque le « pape du Gonzo » !

 

 

 

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Une chronique de Fab

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13 février 2017 1 13 /02 /février /2017 08:16

 

 

A l'occasion des 80 ans de Prince Valiant ce mois ci, j'ai eu l'occasion de traduire (à la demande de son auteur) un texte célébrant la série de Hal Foster écrit par Brian Kane, l'homme derrière les ré-impressions classes de Prince Valiant chez Fantagraphics, et véritable passionné de l'oeuvre de Foster.

Anniversaire Princier!

 

Le Roman Graphique épique Prince Valiant a 80 ans

Par Brian M. Kane


Traduction française par Fabien Guigue



Avant la télévision, quand la plupart des films étaient en noir et blanc, les Comics du Dimanche étaient une oasis de couleur dans l’ère grisâtre de la Dépression. Des comics strips très populaires dictaient les ventes des journaux au début du vingtième siècle il ne faut donc pas s’étonner si leurs créateurs étaient perçus comme des stars. Le récit épique Prince Valiant à la cour du Roi Arthur par Harold Rudolf “Hal” Foster débuta dans la section des comics en couleur, le 13 février 1937. Avant Prince Valiant, Foster fut à l’origine des strips d’aventures incluant des protagonists adultes en adaptant Tarzan dans un strip journalier en noir et blanc, en 1928, qui fut suivi par le Tarzan en couleur du dimanche, de 1931 à 1937. Confronté à de sévères restrictions financières et créatives en tant qu’artiste employé, Foster concentra ses grandes qualités d’illustrateur sur son propre strip. Cet effort extraordinaire apporta une renommée internationale à Prince Valiant et à son créateur. Aujourd’hui, après 80 ans, « Val » reste l’un des seuls strip d’aventure encore en publication.



Il est difficile d’imaginer l’impact que le Prince Valiant de Foster a eu sur la culture populaire des années 30 et 40. Quand Prince Valiant est apparu, les débuts de Superman dans Action Comics avaient déjà plus d’un an. Enormément des créateurs de comics des deux premières générations doivent beaucoup à Foster. Les jeunes artistes de comics étudiaient la technique de Foster, copiant parfois des cases de ses bandes. Des « traces » de l’art de Foster peuvent être retrouvées dans l’origine de Batman et des comics dessinés par Jack Kirby, co-créateur de la plupart des héros de cinéma d’aujourd’hui, dont Captain America, Les Avengers, les X-Men ou Thor. Plus important encore, Val incarnait un code morale chevaleresque, créant une éthique de conduite dont les standards étaient la vérité, la justice et ce que ça signifiait d’être un héros.



Des oeuvre novatrices comme le Hobbit, L’épée dans le roc et les Chroniques de Narnia n’existaient pas en 1937. Quand le révolutionnaire Le Héros aux Milles Visages de Joseph Campbell fut publié, Prince Valiant avait déjà vécu douze années de son propre périple héroïque. Pourtant, contrairement à Campbell, les aventures de Val contenaient des personnages féminins forts et confiants, attestant de l’influence de l’épouse de Hal Foster sur son écriture. Pour les néophytes, Valiant, petit prince du royaume de Thulé, tombe amoureux et finit par épouser Aleta, reine des Iles Brumeuses. Grace à Hal et Hélène, Aleta devint un modèle pour des millions de femmes obligées de « gérer » l’Amérique durant la Seconde Guerre Mondiale, combattant l’oppresseur grâce à leur esprit, leur charme et leur intelligence ; et, l’on retiendra que, un poignard dissimulé à sa taille, Aleta défaisait les ennemis bien avant la Princesse Leia, Katniss Everdeen, ou la plupart des princesses Disney.



Bien que se déroulant à l’époque du Roi Arthur, le Prince Valiant de Foster était foncièrement actuel. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, Val combattait les Huns, ce qui eut pour consequence l’interdiction du strip dans les journaux allemands. En 1943, Val se lia d’amitié avec un garçon à la jambe atrophiée qui ne pouvait pas « jouer au soldat » avec les autres enfants. Néanmoins le garçon fut encouragé à affuter ses capacités afin qu’un jour il puisse devenir fabriquant de flèches pour le Roi Arthur. L’histoire parut l’année où une épidémie de polio frappait l’Amérique, et 16 mois après Pearl Harbor, et fut un véritable appel aux armes à tous ceux qui ne pouvaient pas rejoindre les rangs. Après la Guerre, alors que les troupes américaines rentraient au pays, Val et Aleta naviguaient vers le « Nouveau Monde » et eurent un fils, annonçant le Baby Boom. Ainsi, alors que la démographie des années 50 changeait, les couples multiraciaux dans Prince Valiant se mariaient et avaient des enfants, tout comme dans la sitcom populaire « I Love Lucy ».



Le Prince Valiant de Foster n’est pas qu’un strip d’aventure, de romance ou d’humour ; bien que parsemé de tout ces éléments, Prince Valiant est un roman graphique sur la vie, où les gens tombent amoureux, où des batailles sont livrées, où des enfants naissent et grandissent, des coeurs y sont brisés, des amis disparaissent au front et où même des protagonists défigurés ou handicapés, jeunes ou vieux, hommes et femmes, ont une place et un but dans le monde que Foster a façonné. Alors que certains pourraient penser que Prince Valiant est archaïque au regard des standards d’aujourd’hui, peut être que le vigoureux message « La Force au service des Bonnes Actions » est simplement en avance sur son temps. Vive Val !

+++

Brian M. Kane, Ph.D. est l’auteur de la biographie Hal Foster: Prince of Illustrators, qui lui a valu un prix IPPY et est l’éditeur de la réimpression chez Fantagraphics de la série Prince Valiant.

 

Anniversaire Princier!
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7 février 2017 2 07 /02 /février /2017 16:37

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : LE QUATRIEME MONDE

 


C'est de qui : J. Kirby

 

 

La Couv':

 

King of the (4th) World  /  Le Quatrième Monde  Vs.  Terrore Nello Spazio

 

Déjà croisé sur le site? Oui

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Une planche:

 

King of the (4th) World  /  Le Quatrième Monde  Vs.  Terrore Nello Spazio

 

Ca donne Quoi ? Dés l’entrée en matière de ce troisième (et avant-dernier) recueil du Quatrième Monde de Kirby, on sent que l’on est de plein pied dans la liberté artistique créative voire surréaliste.

 

Après avoir été bridé par Marvel (où il retournera cependant quelques années plus tard), et avant de se lancer dans d’autres sagas toutes aussi réjouissantes,  Kamandi , The Demon ou encore O.M.A.C, le King Kirby mène de front plusieurs aventures.

 

Tandis que les Immortels sont  en plein remake de la Machine à voyager dans le temps version roulette russe, disséminés qui dans l’antiquité Romaine, qui aux Etats Unis naissants alors que Lincoln va être assassiné, Superman a fort à faire avec Jimmy Olsen, ce dernier étant devenu une espèce de créature difforme et ingérable. Les Nouveaux Dieux et Mister Miracle, chacun dans une partie différente de l’univers ont un problème commun : Darkseid en bad guy de l’ensemble.

 

Graphiquement c’est uber coloré, ça foisonne de détails et les protagonistes sont toujours aussi anatomiquement dynamiques et  parfois volontairement disproportionnés. Les non-habitués trouveront peut être cette série (méta série dirait-on aujourd’hui) too much mais force est de reconnaître l’imagination créative débordante de Kirby, au sommet de son art.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? TERRORE NELLO SPAZIO

 

 

C'est de Qui ? G. Marinuzzi

 

 

La couv'

 

King of the (4th) World  /  Le Quatrième Monde  Vs.  Terrore Nello Spazio

 

Déjà entendu sur B.O BD? Je ne pense pas.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Pour son seul film résolument SF, Mario Bava plus connu pour ses films d’horreur aux budgets réduits, réalise ce que beaucoup considèrent comme l’œuvre annonciatrice du Alien de Scott, voire donc de tout un pan du film de « monstre dans l’espace ».

 

Si nous nous garderons bien de confirmer telle filiation, surtout au vu du long métrage en question kitch à souhait aujourd’hui, on s’arrêtera volontiers sur sa B.O que l’on doit au compositeur italo-américain Gino Marinuzzi qui, outre être un pionner de la musique électronique, a également eu une carrière intéressante dans le cinéma (il a entre autre écrit pour Jean Renoir, les amateurs apprécieront).

 

Pour le long de Bava il décline les codes du genre via une partition orchestrale qui, à plus d’une reprise, sauve le film d’une distribution calamiteuse et d’effets de mise en scène grandiloquents.

 

Jouant sur la tension sourde violemment délivrée via des explosions de cuivres et des déchaînements de cordes, sa musique bénéficie de son bagage classique et reste un très bon exemple de B.O de l’époque.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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