17 mai 2023 3 17 /05 /mai /2023 07:38

 

 

LA BD:





 

C'est quoi ? RED CREEK SHUFFLE



 

C'est de qui ? Corbeyran & Pacheco



 

La Couv':

 


 

C’est édité chez qui ? L’Aqueduc Bleu

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.



 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Une bourgade paumée de Californie, au milieu des années 50.

Alors que de mystérieuses disparitions frappent les minorités raciales de la région depuis quelques mois, un cadavre d’indien est découvert, horriblement massacré.

 

Alors que le sheriff, individu fumiste et raciste, veut classer l’affaire, il a la désagréable surprise de voir qu’une journaliste sexy au tempérament bien trempé et un privé coriace, s’intéressent à tout ça.

 

La présence d’une base militaire bien gardée et d’une casse auto suspecte, éveillent encore plus les soupçons de nos deux curieux qui vont découvrir que les faits dépassent leurs attentes, voire l’entendement!



 

Corbeyran est un scénariste qui aime à la fois changer de genre comme de chemise mais ausi, se faisant, surprendre son lectorat.

 

Preuve en est ce début d’année qui le voit sortir pêle mêle une biographie historique, un récit de SF, une enquête médiévale ou encore ce one-shot aux tons pulp récréatif au possible.



 

Mélange de genre parcourus de références et clins d’oeil, dessiné par un Chico Pacheco dont le style très sympathique navigue entre celui d’un Darwyn Cooke et d’un Brüno, Red Creek Shuffle est un récit de (multi)genre un brin WTF qui se pose bien là comme lecture qui ne se prend pas la tête.







 

LA MUSIQUE:





 

C'est quoi :THE COSMIC MAN



 

C'est de qui ? Sawtell et Shefter



 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui



 

On peut écouter ?

 


 

Ca donne Quoi ? Sentant que la série Z - heureusement courte- fauchée et très oubliable (probablement déjà à l’époque) The Cosmic Man avait besoin d’une B.O qui allait la sortir de sa médiocrité, le duo Sawtell et Shefter - stakhanovistes de la musique de film durant deux décennies Outre Atlantique- fait preuve d’une belle ingéniosité en allant rajouter à leur orchestre minimaliste (au sens propre !) toutes sortes de sonorités étranges via des instruments inhabituels comme le thérémine, le violon électrique, une orgue ou encore diverses percussions.

 

 

Atmosphère effrayante à souhait, entre film d’horreur cheap et science fiction old school, mais bien plus originale que la quasi-majorité de ce qui est sorti à cette époque (et même après) dans le genre, cette galette où figure foison de pistes dont pas mal contiennent également des bruitages du film, fait une bande-son tout à fait honorable à ce one-shot délirant dont l’action se déroule quasiment à la même époque.






 

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25 septembre 2020 5 25 /09 /septembre /2020 06:58
 

 

 

 

Le western a donc le vent en poupe en cette rentrée, et notamment chez soleil où une série sur les légendes de l’Ouest vient de débuter et où l’on trouve également une série sur une autre figure du genre : Jeremiah Johnson.

Alors, à l'Ouest enfin du nouveau? Voyons cela:

 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  JEREMIAH JOHNSON

 

 

C'est de qui ? Duval, Pecau & Jadson

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

Déjà croisés sur le site? Les scénaristes oui.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? J’ai quasiment appris l’anglais grâce aux westerns hollywoodiens. Ceux qui passaient à le Dernière Séance ou au Cinéma de Minuit, que mon père nous enregistrait sur K7 Vidéo et que, pour certains, j’ai visionné des dizaines e fois.

Le Jeremiah Johnson de Pollack avec Redford fait partie de mes westerns de chevet même si je le considère comme à part dans le sens où le héros n’est pas un personnage manichéen à la Eastwood ou à la John Wayne et que les indiens y sont traités de manière réaliste, loin de toute image d’Epinal biaisée.

 

J’étais donc curieux de voir le traitement que Duval & Pecau ont réservé au personnage. Il faut annoncer d’emblée qu’ils se sont plus penchés sur sa version historique, dont la biographie est probablement très exagérée cependant, et ils livrent dans ce premier tome une histoire âpre, aux (anti) héros bruts de décoffrage dans un environnement hostile et réaliste.

Je vous avoue que je ne suis pas fan du point de vue, ni de la narration qui fait un brin énumération chronologique via le récitatif. Les scènes sanglantes sont nombreuses, peut être un peu trop, surtout que le style graphique réaliste de Jadson, artiste œuvrant habituellement sur du comics US notamment pour Marvel,  s’il livre de forts beaux paysages, n’est pas ma tasse de thé, pas plus que la colo dans l’esprit Digikore, qui est un canon chez Soleil.

 

Je ne saurais que trop conseiller à ceux qui ne le connaissent pas de découvrir le film de Sydney Pollack.

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  WEST LEGENDS. SITTING BULL.

 

 

C'est de qui ? Peru & Merli

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

Déjà croisés sur le site? Peru je dirais que oui.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? En six one shot cette collection présente autant de figures marquantes du far West, avec pour chaque album un duo d’artistes différents. Pour évoquer l’un des plus célèbres chefs indiens, emblème de la révolte de son peuple face à l’envahisseur blanc, Olivier Peru a choisi de le confronter à une troupe violant le traité passé avec le gouvernement et censé protéger les Black Hills de toute intrusion.

Hélas ce territoire recèle une énorme mine d’or qui va signer la fin de l’accord et le massacre de milliers d’indiens.

 

Raconter la grande histoire par le prisme de la petite fonctionne en général pas trop mal et Peru, en scénariste chevronné, ficelle bien son intrigue pourtant on a parfois un peu l’impression d’être « trompé sur la marchandise » du fait que le personnage principal prend un peu trop le pas sur Sitting Bull lui même qui aurait pu limite être n’importe quel indien revanchard.

La figure historique du chef indien aurait probablement mérité un traitement plus épique même si en soi l’album reste un western nerveux, plutôt pas mal mis en image, dans un style semi réaliste aux couleurs ocres et sombres, par Luca Merli qui, après des tomes d’Elfes et de la Quête du Graal, est bien rentré dans le moule des illustrateurs Soleil. Après on aime ou pas.

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :THE DEERSLAYER

 

 

C'est de qui ? P. Sawtell & B Shefter

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Pas mal de fois oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Après une décennie chez Universal, Paul Sawtell retourne dans le giron de RKO où il s’associe à un autre stakhanoviste de la discipline, Bert Shefter, avec qui il va écrire des pelletées de scores pendant plus de 20 ans.

Si le duo a beaucoup fait dans la série B voire carrément la série Z avec pas mal de films fantastiques ou de SF dedans, on compte assez peu de westerns à leur actif.

 

C’est finalement assez dommage à l’écoute de la B.O de ce Deerslayer, adaptation d’un roman de Fenimore Cooper (où ‘on retrouve des personnages communs au Dernier des Mohicans).

Les deux compositeurs s’appuient franchement sur la rythmique pour écrire leur partition, avec des passages tribaux –censé figurer les peaux –rouges sur le sentier de la guerre- très réussis, qui accompagnent des mélodies simples mais accrocheuses essentiellement dans le registre du suspense avec quelques incursions dans l’aventure sauvage.

 

Si l’ensemble sonne parfois très rétro, surtout sur deux BD de 2020, l’atmosphère générale très axée sur ce qu’Hollywood pensait être la musique des amérindiens, est tout à fait de circonstance pour l‘un comme pour l’autre.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

 

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16 janvier 2018 2 16 /01 /janvier /2018 08:46

 

 

 

Retrouvez en fin de chronique musicale, l'interview "Musique et BD" de Franck Biancarelli.

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : INFINTY 8. CONNAISSANCE ULTIME.

 

 

C'est de qui ? Guibert, Biancarelli et Trondheim.

 

 

La Couv':

 

6 degrés d'Infinity  /  Infinty 8. Connaissance Ultimme Vs.  The Black Scorpion

 

 

Déjà lu chez nous? non.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres.

 

 

 

Une planche:

 

 

6 degrés d'Infinity  /  Infinty 8. Connaissance Ultimme Vs.  The Black Scorpion

 

 

Ca donne Quoi ? Nouveau tome, nouvel agent, nouveau reboot en perspective. Cette fois c’est Leila Sherad qui s’y colle ; chargée de récupérer des réponses auprès d’un vaisseau de la Mausolée géante, elle embarque bien contre son gré un E.T spécialiste de l’archéologie.

Ensemble ils vont dialoguer avec des morts et découvrir un menaçant organisme vivant qui s’étend exponentiellement, absorbant toute vie qu’il rencontre !

 

Avec cet avant-avant dernier volet, on a quasi complètement perdu le coté humoristique de la série (qui s’était assez vite délité cela dit) et on commence à entre-apercevoir les réponses aux questions soulevées par la nécropole au fil des tomes.

Emmanuel Guibert, assez loin de ses sujets habituels donne également à Franck Biancarelli d’évoluer dans un style sur lequel on ne le connaissait pas et dont il se sort ma foi avec les honneurs, avec un trait assez différent que celui sur lequel on a pu le croiser de par le passé.

 

Peut-on encore espérer qu’Infinty 8 révelera via ses derniers tomes un « grand tout » qui fait encore un peu défaut pour l’instant ? L’avenir nous le dira, et sinon, au pire, on effectuera un nouveau reboot !

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? THE BLACK SCORPION

 

 

C'est de Qui ?  Paul Sawtell

 

 

La couv' 

 

 

6 degrés d'Infinity  /  Infinty 8. Connaissance Ultimme Vs.  The Black Scorpion

 

Déjà entendu sur B.O BD? Oui souvent.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Film à grand spectacle (hum !) de la fin des années 50, cette coproduction mexicano-americaine recycle à qui mieux-mieux King Kong et Tarantula avec un scorpion en guise de bestiole devenue gigantesque et apportant terreur et chaos partout où elle passe (à Mexico dans le cas présent).

 

Coté musique aussi on pourrait presque parler de recyclage puisque Paul Sawtell, pilier musical de la RKO alors à l’aube d’une prolifique collaboration avec Bert Shefter (les habitués du coin savent de quoi je parle), sort les bonnes vieilles recettes de toute une décennie de cinéma bis d’épouvante, à grand renforts de cuivres et cordes souvent hystériques bien complétés par des effets stroboscopiques de réverb sans fin et autres descentes de gammes à la harpe ou au xylophone.

 

De la bonne vieille B.O de genre qui fait mouche et qui n’est pas dégeu sur ce nouvel Infinity 8.

 

 

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Bonjour Franck et merci d’avoir accepté de te prêter au jeu du questionnaire croisé B.O/BD.

 

 

 

Commençons par un classique :

 

 

 

Tes Cinq Cd de chevet ?

 

 


Ca c’ est vraiment une question à la con où on regrette les réponses à peine 5 minutes après les avoir données.
Bref.


 

Pop Rock :
Brian Eno : Another Green World.
Talking Heads : Remain in light
XTC : Black Sea..
Frank Zappa : Sheik Yerbouti.
Peter Gabriel : Security.



Jazz.
Weather Report : Black Market.
John Coltrane : Giant steps.
Miles Davis : Miles Ahead.

Bill Evans : You must believe in Spring.
Archie Shepp & Horace Parlan : Goin’ Home.

 

 

 

 

Et tes Albums de Bd ?

 


Scortchy Smith de Noel Sickles.
Charly Brown and the peanuts de Charles Schulz.
Bravo for Adventure d’ Alex Toth.
Deadman de Jose Luis Garcia Lopez et Helfer.
Batman Year One de Miller et Mazzucchelli.

 

Les plus cinéphiles d'entre vous auront reconnu le clin d'oeil à un film mythique.

Les plus cinéphiles d'entre vous auront reconnu le clin d'oeil à un film mythique.

 

 

Les influences et les goûts :

 

Une musique de film qui t’a marqué, que tu affectionnes particulièrement (indépendamment du film) ?

 

 

Aucune.

 

 

 

Qui sont tes maîtres à penser en BD, ceux qui t’ont donné envie d’en faire, quelles sont tes influences ?

 

 

Jose Luis Garcia Lopez à 9 ans avec Superman contre Wonderwoman.
Alex Toth un peu plus tard avec Bravo pour l’ aventure.
Puis Christian Rossi qui fut mon mentor.

 

 

 

6 degrés d'Infinity  /  Infinty 8. Connaissance Ultimme Vs.  The Black Scorpion

 

 

 

 

Ton travail :

 

 

 

Ecoutes tu de la musique quand tu écris/dessine, et plutôt quoi ?
Oui. Je peux écouter n’importe lequel de mes disques en travaillant et je les écoute souvent.

 

 

En ce moment j’ écoute beaucoup Frank Black aka  Black Francis. Pas les premiers solos que je trouve être du Pixies en moins bien.  Surtout Dog in the sand Honeycomb, Blue Finger, Svn Fngrs et Non stop erotik

 

 

 

 

 

Ce sur quoi tu travaille actuellement, tes prochains projets (si tu as la liberté de les évoquer bien sur) ?


Je bosse sur un bouquin de 150 pages pour Dargaud avec au scénario Denis Robert. Beaucoup de choses à venir mais trop tôt pour en parler.

 

Et si…

 

…en lieu et place de la Bande Dessinée tu avais fait de la musique tu aurais été qui, tu aurais joué quoi ?

 


J’aurais été prof de math Sinon j’ aurais bien aimé être Adrian Belew. Guitariste de génie et grand mélodiste ou David Byrne ou bien d’ autres.

 

 

 

 

Encore un grand merci pour tes réponses, et au plaisir de te retrouver dans les pages de Bandes Originales Pour Bandes Dessinées !

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

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17 mars 2017 5 17 /03 /mars /2017 13:45

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : JOCKEY

 


C'est de qui : Calça & Aguiar

 

 

La Couv' :

 

Arnaques, sortilèges et canassons!  /  Jockey  Vs.  Monkey on my back

 

Déjà croisés chez B.O BD? Non.

 

 

C’est édité par qui ? EP

 

 

Une planche:

 

Arnaques, sortilèges et canassons!  /  Jockey  Vs.  Monkey on my back

 

Ca donne Quoi ? Ca commence sur un champ de course (de canassons) où l’on voit bien que oui, Omar Sharif et Guy Lux se sont fait des c… en or au tiercé/quarté/quinté + mais parce que tout ça c’était que arnaque et embrouilles (Longchamp/PSG même combat !).

Puis, sans crier gare, on retrouve Robinson Crusoé (non en fait c’est pas lui mais un mec qui a probablement le même coiffeur) qui s’évade d’une prison, saute dans un train de marchandises où il refroidit un mec qui le cherchait avant de se retrouver dans une vieille baraque où une tête de cheval taxidermisée (empaillée pour les plus incultes de nos lecteurs) brille d’une étrange lueur bleue et où il décroche un fer (à cheval toujours hein, il comptait pas repasser ses chemises)…et hop, sans transitions (enfin si, le fer à cheval, ...c’est fin) on se retrouve dans un haras où y a encore des embrouilles de jockeys et autres paris douteux…

bon et c’est comme ça tout le long, avec, pour faire bonne mesure, des filles peu farouches et de la magie noire incluant des transformations en équidé…ouf... soufflons un peu...

 

Qui trop embrasse... Et là effectivement, entre un mélange plus qu'hasardeux des genres, une narration compliquée inutilement, et un dessin qui, malgré certaines qualités, ne rattrape pas toujours le coup, j’ai eu bien du mal à aller au bout de ma lecture.



On se demande même si le scénariste a changé d'idée en cours de route ou si, à la manière de certaines séries Tv qui se voient rallongées, le sujet de départ n'était pas assez fourni et qu'il a eu envie/besoin afin d'atteindre une pagination conséquente, de rallonger la sauce.


Il ne faut pas confondre fourre-tout et original n'est ce pas.

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : MONKEY ON MY BACK

 


C'est de qui : Sawtell & Shefter.

 

 

La Couv':

 

Arnaques, sortilèges et canassons!  /  Jockey  Vs.  Monkey on my back

 

 

Déjà entendus sur le site? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Malgré son titre (texto : « un singe dans mon dos » mais qu’on traduirait chez nous par « une épine dans le pied », oui, c’est sur c’est moins imagé mais bon, passons) Monkey on my back n’est pas la bio de la relation tendancieuse entre Tarzan et Cheetath mais  l’histoire d’un ancien boxeur de seconde zone, devenu héros de guerre (celle de 39-45 pour être précis), qui à la suite d’un traitement pour la malaria à base de morphine devient accro.

 

Parabole ampoulée, époque et mentalité obligent, sur le fait que « la drogue c’est mal », le long métrage est mis en musique par un duo que l’on connaît bien chez nous (contrairement aux cercles de pseudos cinéphiles qui ne jure que par John Williams et Hans Zimmer),  Bert Shefter et Paul Sawtell, responsables de centaines (si, si !) de B.O allant de la plus obscure série Z d’horreur à des films romantiques pour mégères de plus de 60 ans en passant par d’édifiants messages comme ce Monkey on my back.

 

Outre un peu de musique diégétique d’époque, le répertoire du score va de la musique militaire basique à des  thèmes où le drame et la noirceur sont de mises avec une poignée de cordes pour les exprimer.

 

Simples mais inventive (faute de moyens faut bien se rattraper ailleurs) la B.O du jour réussit –presque- à faire passer l’improbable scénario de Jockey.

 

 

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Une chronique de Fab

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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