A Boire et à Manga / Crueler than Dead Vs. Trigun

On continue ce cycle Manga avec de l'horreur dans la même veine (ouverte) qu'hier:

LA BD:

C'est quoi : CRUELER THAN DEAD

C'est de qui  Takahashi et Saimura

La Couv':

Déjà vu chez nous?  Non

C’est édité chez qui ? Glénat, un lien vers le site :

http://www.glenatmanga.com/crueler-than-dead-tome-1-9782344006207.htm

Une  planche:

Ca donne Quoi ?   Une jeune fille se réveille brusquement dans un bunker dévasté et rempli de cadavres. Nue et totalement désorientée, un jeune garçon à ses cotés. Ce sont les deux uniques sujets ayant réagi positivement à un vaccin contre la zombification, qu’il faut amener en lieu sûr comme dernier recours de la survie de l’espèce humaine… Ainsi commence le périple de Maki et de son jeune compagnon dans un Japon dévasté…Les 10 dernières années auront été profitables au sous genre Survival section Zombies dans la bande dessinée. Crueler than Dead possède comme principal atout de ne pas perdre trop de temps en tergiversations. Prévu en 2 tomes, l’histoire va droit au but quitte à créer quelques ellipses et découpage surprenants mais l’histoire reste suffisamment limpide pour rattraper le lecteur qui passe d’un chapitre à un autre sans aucune forme de lassitude. Les dessins  sont réalistes, de belle tenue et les décors détaillés. Les amateurs de mangas saignants devraient pouvoir y trouver leur compte.

LA MUSIQUE

C'est Quoi ? TRIGUN

C'est de Qui ?  Tsuneo Imahori

La couv' 

Déjà entendu sur B.O BD?  Non

 On peut écouter?  

Ca donne Quoi  Le nom de Tsuneo Imahori ne devrait pas évoquer grand-chose. Pourtant ce guitariste accompli est à l’origine de B.O mémorables en termes d’anime. Pour illustrer une série aussi dynamique et tendue que Crueler than Dead l’exigerait, ses riffs enflammés composés pour la série culte Trigun semblent tout à fait désignés. D’un point de vue mélodique, ce bon vieux rock mâtiné de sax se prête bien au terme de western urbain auquel  les embardées de Crueler than Dead font également référence. Les notes sont parfois répétitives mais restent entrainantes et ses partitions instrumentales habillent à ravir un récit pessimiste mais pas dénué d’espoir.

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Une chronique par Jet