LA BD:
C'est quoi ? DONALD ET LA MISSION JUPITER
C'est de qui ? L. Bottaro et d’autres.
La Couv':
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C’est édité chez qui ? Glénat
Déjà croisés sur le site? Pas sur.
Une planche:
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Ca donne Quoi ? Dés les années 30 et leur arrivée en Italie, les histoires des héros de Disney, Mickey et Donald en tête, ont connues un tel succès que rapidement les éditions transalpines ont produit leurs propres aventures, écrites et dessinées sur place.
Parmi la ribambelle d’artistes, souvent tout aussi talentueux que leurs illustres modèles, Carl Barks et Godferson en tête, Luciano Bottero s’est imposé comme une des figures de proue, créant même un studio de dessinateurs pour satisfaire à la demande des lecteurs.
3 des récits proposés dans cette Mission Jupiter impliquent, face à Donald, oncle Picsou, Daisy ou encore Géo Trouvetout, des races d’extra terrstres assez cocasses, que ce soient les saturniens revanchards emmenés par leur chef imbu de sa personne ou les jupitériens friands de métaux, à comnencer par …l’or de Picsou !
Si, graphiquement, le trait est réussi, dans l’esprit des influences américaines citées plus haut, coté scénario j’ai moins accroché à des histoires où l’humour est certes le maître mot mais sans intrigue prenante dans aucun des récits.
Même l’histoire avec Dingo et la sorcière Hazel, qui aurait pu être intéressant vu qu’on y croise les personnages d’Alice au pays des merveilles, reste aussi anecdotique que les autres.
Mes deux enfants, d’habitude friands des publications estampillées Disney, n’ont d’ailleurs pas non plus beaucoup accroché à ce recueil.
LA MUSIQUE:
C'est quoi : LES INDESTRUCTIBLES.
C'est de qui ? M. Giacchino
La Couv':
Déjà entendu chez B.O BD? Oui.
On peut écouter ?
Ca donne Quoi ? Initialement proposée au grand John Barry, qui n’a pas souhaité se singer lui-même, la B.O du premier volet des Indestructibles (étrange traduction du titre américain mais passons) est confiée à Michael Giacchino qui, en accord avec les souhaits du réal, donne une couleur clairement sixties à sa partition.
Les cuivres sont donc bien entendus les stars principales de ce score endiablé qui emprunte aux meilleures musiques des James Bond, celles signées par John Barry justement, le tout saupoudré d’une bonne touche d’humour typique du film d’animation à grand spectacle.
Ajoutez à cela quelques gimmicks de B.O de super-héros, notamment sur les thèmes dédiés aux scènes d’action, et vous obtenez une musique de qualité, certes un brin pastiche par moments mais enjouée et riche, juste ce qu’il fallait pur relever la lecture de ce Disney spatial loufoque.
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