9 septembre 2021 4 09 /09 /septembre /2021 14:45

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  CEMETERY BEACH

 

 

C'est de qui ? Ellis et Howard

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans un futur proche (ou pas, il est vaguement question de voyage dans le temps à un moment), un homme est envoyé de la Terre en mission d’espionnage vers une planète où a été établie une colonie qui fonctionne en autarcie. Fait prisonnier il va s’évader avec l’aide d’une autre détenue, sorte de femme bionique ; pourchassés par tout un escadron de soldats divers et variés nos deux fugitifs cherchent à atteindre la plage d’où le « héros » pourra retourner sur la Terre.

 

Voilà. Le pitch de la nouvelle série de Warren Ellis tient en deux phrases sur un bout de feuille et vous n’aurez rien de plus sur les 160 pages de Cemetery Beach, sorte de course poursuite pyrotechnique harassante qui ressemble à un jeu vidéo et où le scénariste nous balance deux ou trois éléments de background de ci de là entre deux tueries sauvages et cascades improbables.

 

Le dessin est assez original, avec ses personnages anguleux et ses décors futuristes destroy mais, assez redondant eu final, fatiguant le lecteur presque aussi rapidement que l’absence de véritable intrigue.

 

Il semblerait que Cemetery Beach s’arrête là, peut être qu’une suite dédiée au pourquoi du comment de toute cette énergie dépensée à mauvais escient aurait été bienvenu pour apprécier le comics, mais bon…

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :SUICIDE SQUAD 2

 

 

C'est de qui ? J. Murphy

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Probable

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? On peine tout de même à trouver quelque chose à sauver dans la filmo de Murphy. Responsable de scores inoubliables comme celui de Basic Instinct 2 ou du remake de la Dernière maison sur la gauche, il avait pourtant bien commencé en écrivant pour Guy Ritchie (à l’époque où ce dernier était encore original) ou Stephen Frears, mais après ça s’est gâté.

 

Nous voilà donc avec la B.O de la suite du désastreux Suicide Squad, un peu plus amusante et qui a au moins le mérite de ne pas réduire le personnage de Margot Robbie à une jolie aire de fesses dans un mini short moulant.

 

Dans l’esprit d’un Tyler Bates, Murphy envoie du gros rock saturé dans une partition déjà bien chargée en moments de bravoure à base de cuivres zimmerien et d’effets électros rentre dedans.

 

Si rapidement lassante, la B.O de ce Suicide Squad deuxième du nom est par contre en parfaite harmonie avec le feu d’artifice ininterrompu de Cemetery Gates.

 

 

 

 

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24 juillet 2021 6 24 /07 /juillet /2021 16:23
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LE MONDE DE FLASHPOINT. BATMAN.

 

 

C'est de qui ? Azzarello et Risso pour Batman et d’autres pour le retse.

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Déjà croisés sur le site? Certains oui, dont le duo cité ci-dessus.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Si je me suis lancé dans la lecture du premier tome de cette anthologie DC chez Urban c’est surtout pour le récit de Batman signé par le duo culte du comics noir, j’ai nommé Brian Azzarello et Eduardo Risso.

 

Ce n’est en effet pas la première fois que les deux artistes se frottent au Dark Knight et je garde un fort bon souvenir de Broken City entre autres.

 

Un mot sur le concept Flashpoint, vite fait tout de même : Barry Allen, alias Flash, a opéré un retour dans le passé et du coup les réalités des super héros tels que nous les connaissions sont différentes des canons habituels.

 

(Mais en même temps parler de « canon » pour des univers qui ont déjà connu une bonne poignée de reboots sur les dernières décennies est un peu cavalier, disons que c’est une énième remise à plat d’une ribambelle de séries histoire de tenter d’accrocher un nouveau public ou de divertir les fans).

 

N’étant pas un fan et du coup encore moins un grand connaisseur de la galaxie DC, je me suis surtout délecté du récit sur Batman et n’ai fait que survolé le reste ; notez que cette série a déjà 10 ans et qu’il est probable (les spécialistes confirmeront) que les univers DC aient encore subi un remix depuis.

 

 

Dans cette variation inspirée ce n’est pas Bruce Wayne qui incarne l’Homme Chauve Souris –et pour cause, il est mort dans une allée derrière un cinéma (oui, oui !) – mais son paternel.

 

Outre les bad boys de Gotham le père Wayne, dont la violence n’est pas sans rappeler la version Frank Miller du Dark Knight,  doit aussi gérer son épouse qui a pêté un câble et qui est devenue… le Joker et a enlevé les enfants d’Harvey Dent (qui n’est pas –encore ?- défiguré).

 

Pour l’aider il peut compter sur James Gordon et Selina Kyle, devenue Oracle (sur 4 roues donc) ou encore Cyborg, mais tout bascule quand Barry vient tenter de le raisonner en l’appelant Bruce et en lui parlant de réalités parallèles.

 

 

Oui, c’est un peu surréaliste tout ça je vous l’accorde volontiers,  mais traité par les papas de 100 Bullets ça se lit fort bien, comme une récréation noir d’un univers de super héros qui s’y prête si bien.

 

Pour la suite, si j’ai la foi de lire le reste des histoires contenues dans ce tome 1 je reviendrais vous en dire un mot mais je pense qu’il vaut mieux que vous alliez chercher des infos chez des gens plus érudits/fans que votre serviteur (pour cette fois et cette fois uniquement hein !)

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : WHEN ANIMALS DREAM

 

 

C'est de qui ? Mikkel Hess

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Nope

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Depuis le succès de la saga Millénium en librairie comme sur grand écran, le monde semble s’être pris de passion pour tout ce qui est polar nordique et glauque.

 

Je prends à témoin la poignée de séries Netflix venues du froid apparues ces dernières années, aux décors plus blafards les uns que les autres et aux acteurs aussi loin de l’Actors Studio que ce que l’est crème solaire des plages de Finlande.

 

Au rayon des longs métrages, ce When Animals Dream, s’il joue plutôt la carte du film d’horreur, ne coche pas moins toutes les cases des productions scandinaves. Mais en voulant jouer sur plusieurs tableaux rate, à mon sens un peu le coche. Dans le même esprit, on préfèrera revoir le Trouble Everyday de Claire Denis avec Béatrice Dalle et Vincent Gallo, sur une B.O transcendée des Tindersticks.

 

 

Néanmoins penchons-nous sur la B.O du film du jour, signée par le danois Mikkel Hess, touche à tout versatile aux projets tentaculaires divers et variés et qui compose également extensivement pour la scène.

 

When Animals Dream est son premier boulot pour le cinéma et le bonhomme s’en sort plutôt bien avec une partition loin des clichés du genre qui elle aussi joue sur la mxité des thématiques et des ambiances, à grand coups de plages instrumentales inquiétantes, où instruments live et électronique s’entrechoquent pour créer des atmosphères dérangeantes pleines de tensions.

 

 

Une musique hybride et assez décalée pour faire du Batman Flashpoint une lecture prenante.

 

 

 

 

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21 juin 2021 1 21 /06 /juin /2021 06:47
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  GOTHAM HIGH

 

 

C'est de qui ?  De La Cruz & Pitilli

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Déjà croisés sur le site? Non

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Ejecté manu militari de son lycée pour petits bourgeois, Bruce Wayne se retrouve à Gotham High, avec le reste de la plèbe.

 

Là il va retrouver son amie d’enfance, Sélina Kyle qui a perdu sa mère et galère à assumer son père malade et faire la rencontre d’un écorché vif, le jeune Jack Napier, hâbleur, joueur et arnaqueur à la petite semaine.

 

Ce triangle (qui, oui, va devenir amoureux) va devoir faire face à une série d’enlèvements d’étudiants que les ravisseurs relâchent contre rançon. Quand Sélina est kidnappée à son tour Bruce, réalisant qu’il est probablement la cible des malfrats, mène son enquête, assisté de son oncle Alfred.

 

 

Nouveau titre de la collection Link chez Urban qui s’inscrit tout à fait dans l’esprit recherché, à savoir des récits en direction d’un public ado et « young adults » où l’on croise des personnages emblématiques de la galaxie DC version teenagers en proie aux problèmes de leur âge.

 

Avertissement du coup, le canon (voire les canons parce qu’entre DC et Marvel les multiples relectures se sont accumulées au fil des années) passe largement à la trappe et on a l’impression de voir une de ces séries TV où l’on opère un casting en fonction des quotas hollywoodiens afin de toucher un public le plus large possible.

 

Sélina est donc afro américaine, Bruce a des origines orientales tout comme Alfred qui est devenu son oncle et est marié avec un homme… si dans l’absolu l’intention est louable de diversifier les représentations dans des médias mainstream, pour les lecteurs de comics classiques ça surprendra probablement.

 

Le style hybride de Pitilli est lui aussi plutôt axé jeunesse avec un choix de colo qui reste dans l'esprit du titre.

 

En tout cas ma fille, 12 ans et demi, a adoré !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : RIVERDALE

 

 

C'est de qui ? Chung & Neely

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Non

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Une autre série que ma fille adore c’est Riverdale. J’ai cru comprendre que c’était l’adaptation – très lointaine- d’un vieux comics humoristique dont CW (chaine où fleurissent les séries décérébrées) n’a gardé que peu ou prou les noms des personnages, le lieu et…c’est à peu près tout.

 

Pour illustrer les relations entre jeunes gens plus ou moins riches et rebelles de la série, le duo formé par Sherri Chung et Blake Neely, déjà responsables de scores de séries tv DC (Batwoman, Flash…) fait dans le romantico dark avec passages de cordes larmoyants, piano solo économe et mystérieux, nappes de claviers discrètes voire soporifiques parfois … heureusement que la partition réserve quelques –rares- passages où le suspense est de la partie parce que sinon on s’ennuierait ferme.

 

Aux crédits des compositeurs précisons que la série contient beaucoup de morceaux pop chantés et que le reste de la musique est censée être plus dans l’underscoring que dans l’illustration à proprement parler.

 

Si Gotham High est un jour adapté sur un écran, Chung et Neely pourraient tout à fait en écrire la B.O !

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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13 mai 2021 4 13 /05 /mai /2021 16:53
 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  BASKETFUL OF HEADS

 

 

C'est de qui ? J. Hill & Leomacs

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban Comics

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? C’est la fin de l’été pour June et Liam, deux jeunes amoureux qui comptent bien profiter un peu, surtout que Liam termine son contrat avec le sheriff du coin.

Mais voilà que des prisonniers évadés du pénitencier voisin enlève le jeune homme pour semble-t-il lui faire avouer quelque chose, avant de s’en prendre à June.

 

Piégée par l’un des malfrats, cette dernière se sert d’une hache, un vieil artefact viking, pour se défendre et décapite son agresseur…mais voilà que la tête coupée se remet à parler. Notre héroïne va passer la pire nuit de sa vie alors que son palmarès de têtes parlantes s’agrandit et qu’elle découvre qu’elle est au centre d’un coup monté.

 

Le rejeton de Stephen King, sans être aussi populaire que son géniteur, a déjà établi son nom dans le domaine du roman fantastique comme dans celui du comics puisqu’il est entre autre le scénariste de la très bonne série Locke and Key que Netflix a d’ailleurs adapté l’an passé.

 

Il joue ici sur un registre classique de l’horreur en injectant dans son scénar une bonne grosse dose de macabre et un peu de gore. Dans la lignée de classiques du genre, de Evil Dead à Beetlejuice en passant par les Contes de la Crypte, Basketfull Of Heads se lit comme un plaisir coupable vite oublié mais agréable.

 

Le trait de Leomacs manque un peu d’épaisseur à mon goût et le choix de la colo du vétéran Dave Stewart n’aide pas ici, à mon avis ; le noir et blanc de Batailles servait mieux le style de l’artiste italien.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :I KNOW WHAT YOU DID LAST SUMMER

 

 

C'est de qui ? J. Debney

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? I know what you did last summer sort sur les écrans alors que la mode des slashers /teen movies bat son plein. Au casting on retrouve le who’swho des idoles des teenagers de l’époque, de Sarah Michelle Gellar à Jennifer Love Hewitt en passant par  Freddie Prinze Jr.

 

Tout comme le film, la B.O, confiée à John Debney, ne fait pas dans l’originalité, alignant pas mal de poncifs du genre et joue essentiellement sur le principe de la surprise.

 

Ainsi la partition regorge de coups de tonnerre musicaux à grands renforts de cuivres et de cordes survoltés, arrivant sans crier gare sur des parties pleines de tension et de suspense où le compositeur mélange instruments à cordes et nappes électroniques sourdes.

 

Tournant essentiellement sur des variations autour d’une paire de thèmes, la musique de Debney – faiseur honnête qui n’a aucun véritable coup d’éclats dans sa filmo- fait un contrepoint idéal à un film uber calibré mais se révèle fun par son coté cliché avec le comics de Hill et Leomacs.

 

 

 

 

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1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 08:52
 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  DECORUM 1

 

 

C'est de qui ? Hickman & Huddleston

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Déjà croisés sur le site? Le scénariste oui.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans un monde futuriste organisé en planètes, castes et autres peuples d’une manière aussi tentaculaire que complexe, Neha, une jeune marginale chargée de transporter des paquets pour un type louche se retrouve au milieu d’un sanglant assassinat orchestré par Morley, une spécialiste du genre qui va, contre toute attente, prendre la jeune fille sous son aile et la former à son art.

 

Résumé comme ça Decorum pourra vous embler assez lambda comme intrigue et…c’est le cas. En effet, si Hickman installe un background très –trop ?- développé, avec historique et peuplades divers et variés, la trame de son scénario ne semble être, au bout de ce premier TPB, qu’un récit d’initiation aux protagonistes aux caractères antinomiques de plus.

Là où le titre se démarque c’est dans sa présentation, avec grands renforts de cartes, infographies, symboles, imbriqués dans les chapitres, avec une narration en parallèle entre ses héroïnes et « the big picture ». A voir si la suite va donner plus de corps à l’histoire ?

 

Urban avec cette série (et une paire d’autres) lance un format plus grand, proche de celui de l’album franco-belge qui, en dehors d’une éventuelle volonté d’expansion du lectorat- permet d’apprécier à leur juste valeur les compositions d’Huddleston, véritable intérêt au final de Decorum.

 

 

Si elles ne font peut être pas partie des influences de l’artiste, il est assez frappant de voir les réminiscences dans certaines parties de son travail de ceux de pointures comme Toppi ou Breccia, mais pas que ! Le style graphique de ce tome 1 évolue en effet sans cesse, passant d’un noir et blanc expressionniste old school à une peinture picturale aux couleurs chatoyantes ou encore au comics actuel dans la lignée d’un Jock ou d’un Sean Murphy.

 

Alors certes on pourra avancer, à raison, que c’est peut être justement un peu trop varié et que ce n’est pas la forme qui sauve le fond mais c’est néanmoins une bien belle découverte en soi.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :PREDATORS

 

 

C'est de qui ? J. Debney

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Malgré un potentiel certain quasiment aucune des suites du  Predator original, celui avec Arnold, n’a su exploiter le filon correctement, et encore moins dans les spin-off pourtant ô combien prometteurs Alien Vs Predator.

 

Ce n’est clairement pas le volet de 2010 qui infirmera cette hypothèse. Multiplier les bestioles chasseresses n’a en effet pas fait évoluer l’intérêt du scénario et l’on se retrouve avec un gros film d’action-survival classique.

Le score du film est d’ailleurs un exemple assez parlant de la volonté de la prod de ne pas –plus ?- dériver du matériau d’origine mais au contraire de rentabiliser.

 

En effet John Debney, derrière le pupitre, est expressément commissionné pour reprendre le travail d’Alan Silvestri sur le premier Predator et de broder dessus tout en restant scrupuleusement dans le même esprit.

 

En bon artisan Debney s’exécute et l’on a l’impression d’entendre des chutes de studios de la première B.O avec quelques variations de thèmes plus ou moins inspirées mais pour le reste c’est cordes sur exictées succédant à des nappes de cuivres graves, rythmiques martiales et envolées lyrico-brutales de l’orchestre dans son ensemble.

 

Rien de bien nouveau sus le soleil donc si ce n’est un pastiche bien ficelé et, donc, une musique de genre maîtrisée et qui atteint sans peine son but.

Et c’est tout ce qu’il nous fallait sur le premier volet décalé de Decorum !

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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