23 mai 2019 4 23 /05 /mai /2019 09:41

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  RAHAN. INTEGRALE.

 

 

C'est de qui ? Cheret & Lecureux

 

 

La Couv':

 

Madeleine des âges farouches  /  Rahan  Intégrale  Vs.  Tarzan and the Leopard Woman

 

Déjà lu sur B.O BD? Non.

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil.

 

 

Une planche:

 

Madeleine des âges farouches  /  Rahan  Intégrale  Vs.  Tarzan and the Leopard Woman

 

Ca donne Quoi ? Ah Rahan ! Le Fils des Ages Farouches avec son coutelas d'ivoire et son collier de dents. Double orphelin -de ses parents naturels, tués par des « goraks », puis de Crao tué par l'éruption d'un volcan- qui, tout au long de ses aventures cherche à se lier d'amitiés avec « Ceux qui marchent debout » qui, pour la majorité le rejettent.

 

S'il y a bien une BD qui a marqué mon enfance, en marge des périodiques de super héros, c'est celle d'André Chérèt et Roger Lécureux.

Remplie de bons sentiments sans pour autant avoir la candeur de ses illustres prédécesseurs, pleine de scènes marquantes, de suspense, d'aventure et d'action, Rahan est, dans le paysage de la Bande dessinée Franco Belge un peu l'équivalent du Silver Surfer en comics. Un héros puissant et courageux, au cœur pur, prêt à s'impliquer pour les autres sans pour autant se sacrifier (et qui sait être violent si nécessaire), qui réfléchit à haute voix sur les mystères de l'existence et sur la philosophie de la vie et puis, surtout, qui doute.

 

Pour les 50 ans de Rahan, Soleil réédite en versions intégrales couleur l'intégrale de la saga (le 9° tome vient de paraître), donnant aux anciens lecteurs comme votre serviteur l'occasion de partager tout un pan de sa culture bédéphilique avec ses enfants (et ça, ça n'a pas de prix). De leur raconter qu'à l'époque, Pif Gadget avait même proposé un numéro avec une réplique en plastique du coutelas d'ivoire que j'a vais chéri des années durant !

 

Alors certes on trouvera les couleurs parfois psychédéliques (mais à l'époque c'était de rigueur) et le scénario souvent un brin bavard et/ou redondant (là aussi, question d'époque) mais si Rahan a encore du succès aujourd'hui, non démenti au fil des décennies, ce n'est pas pour rien, et cette nouvelle collection en est la preuve.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :TARZAN AND THE LEOPARD WOMAN

 

 

C'est de qui ? Paul Sawtell

 

 

La Couv':

 

Madeleine des âges farouches  /  Rahan  Intégrale  Vs.  Tarzan and the Leopard Woman

 

Déjà croisé par ici? Il y a peu encore.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Sur douze films où il incarnera la création de Edgar Rice Burroughs, la qualité va vite décliner, surtout au changement de studios de production.

 

Dixième de la série ce Tarzan et la femme Léopard est une aventure assez mineure, loin des premiers longs aux scénarios plus ou moins adaptés des écrits de Burroughs, où l'Homme Singe n'a plus grand chose de sauvage et enquête sur des morts suspectes.

 

La B.O est signée d'un stakhanoviste d'Hollywood (durant trois décennies), qui alors à ses débuts enchaîne néanmoins déjà les scores (six sur cette seule année 1946).

 

Thème catchy d'aventure à l'ancienne, tams tams tribaux et autres cuivres exotiques sont le lot de ce score dépaysant qui, au moins sur une poignée d'aventures du fils de Crao, est très en phase (après, sur la longueur, mieux vaut varier un peu).

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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6 juillet 2018 5 06 /07 /juillet /2018 08:18

 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  ŒUVRES COMPLETES

 

 

C'est de qui ? Fletcher Hanks

 

 

La Couv':

 

Je détruirais tous les comics civilisés!  /  Fletcher Hanks Oeuvres Complètes  Vs.  Fire Maidens Of Outer Space

 

Déjà lu sur B.O BD? Non

 

 

 

C’est édité chez qui ? Actes Sud/ l’An 2

 

 

 

Une planche:

 

 

Je détruirais tous les comics civilisés!  /  Fletcher Hanks Oeuvres Complètes  Vs.  Fire Maidens Of Outer Space

 

Ca donne Quoi ? Pendant trois courtes années, entre 39 et 41, sous différents pseudos, Fletcher Hanks, énigme du comics US s’il en est, met un grand coup de pied dans la fourmilière en publiant des séries surréalistes avec des  héros aux noms plus délirants les uns que les autres, brocardant une poignée de genres avant même leur apogée.

 

Curieux de voir que la censure de l’époque ait laissé passer certains strips même si aux canons d’aujourd’hui tout ceci doit être lu avec un recul certain voire un second degré (minimum !) appuyé, et passe plus pour du burlesque délirant qu’autre chose.

Entre Tabu le sorcier de la jungle, Big Red Mc Lane, Stardust et, last but not least, Fantomah, le panel complet des genres de l’époque passe à la moulinette dans les aventures décalées de ces grands frères et sœurs abâtardis des Tarzan, Wonder Woman et autre Superman. Si les scénarios sont assez basiques ils ont le mérite d'être variés et de ne reculer devant aucune invraissemblance.

 

Je détruirais tous les comics civilisés!  /  Fletcher Hanks Oeuvres Complètes  Vs.  Fire Maidens Of Outer Space

 

Coté graphismes également on oscille entre le minimalisme suranné et l’extravagance colorée, avec des choses assez marquantes sur la narration visuelle parfois noyées dans un chaos brut et outrancier.

 

Bref ces histoires d’un autre âge, encensées peut être un peu vite Outre Atlantique depuis quelques décennies, mais très fun à (re)découvrir, ont le mérite, dans cette version richement éditée par L’An 2 de ramener sur le devant de la scène undreground un artiste qui n’aurait pas usurpé ce qualificatif.

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :FIRE MAIDENS OF OUTER SPACE

 

 

C'est de qui ? R. Stein

 

 

La Couv':

 

Je détruirais tous les comics civilisés!  /  Fletcher Hanks Oeuvres Complètes  Vs.  Fire Maidens Of Outer Space

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Parmi la ribambelle de navets série Z que Stein a mis en musique, seul ou accompagné,  voire sans y participer !(pas mal de ses compositions ont été récupérées et/ou mélangées pour illustrer une flopée de films de cette époque) Fire maidens from outer space figure probablement dans le top 10 des plus cheap et bâclés.

 

Ce voyage sur la 13°lune de Jupiter (si, si !) avec ses effets spéciaux réalisés par un enfant de 9 ans et son  numéro de de dance ridicule tient plus de la parodie que de la SF dont il se réclamait probablement à l’époque avec déjà beaucoup de présomption !

 

Seul élément récupérable donc, la musique de l’infatigable compositeur au talent éprouvé par des années de partitions dédiées aux images avec un sens de l’illustration et de l’efficacité, même avec peu d’instruments, que peu de ses contemporains lui disputaient.

Des thèmes sur peu de notes, utilisant les cuivres pour les moments d’action et de tension et les cordes pour les montées en puissance et le suspense sourd, Stein fait ce qu’on attend de lui avec métier.

 

Totalement conseillée avec les œuvres d’Hanks avec qui elle partage un goût de fantastique cheap old school assez « plaisir coupable » voire même régressif !

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 15:31

 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : THE HAUNT OF FEAR 2

 

 

C'est de qui ? Divers

 

 

La Couv':

 

Frayeurs old school  /  The Haunt Of Fear 2  Vs.  The Premature Burial

 

Déjà croisés sur B.O BD? Possible

 

 

 

C’est édité chez qui ? Akiléos

 

 

 

Une planche:

 

 

Frayeurs old school  /  The Haunt Of Fear 2  Vs.  The Premature Burial

 

 

Ca donne Quoi ? La fin de l'année sera placée sous le signe de la peur chez Akiléos puisque outre une intégrale en plusieurs tomes de l'excellente série Courtney Crumrin, l'éditeur propose le second volet de la réédition de The Haunt Of Fear.

Troisième titre du tiercé gagnant de chez EC Comics avec Tales from The crypt et The Vault of Horror, The Haunt of Fear est constitué de récits courts d'épouvante à chutes dans la lignée des Creepy et autre Eery. Nous retrouvons ici 24 histoires publiées à l'époque (1951-1952) dans les numéros 8 à 14 de la série.

Les styles graphiques ont une constante de noirs et blancs expressifs et détaillés, certains se démarquent néanmoins du lot par la précision du trait (Jack Kamen) ou des encrages plus prononcés (Davis).

Comme dans les anthologies citées plus haut on retrouve une variété dans les sujets et si la majeure partie des histoires a pour cadre l'Amérique du début du siècle dernier, ce second tome nous fait également voyager des confins de l'Egypte à l'Espagne en passant par une île déserte ou encore la toundra russe.

Un voyage dans le temps et le frisson dont se délecteront  les amateurs du genre dans une édition soignée qui pourra remplacer élégament les décorations de noël!

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? THE PREMATURE BURIAL

 

 

C'est de Qui ?  R. Stein

 

 

La couv' 

 

 

 

Frayeurs old school  /  The Haunt Of Fear 2  Vs.  The Premature Burial

 

Déjà entendu chez nous? Souvent.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Si aujourd’hui les multiples adaptations des nouvelles et romans de E . A. Poe qu’a commis Roger Corman ne sont pas toutes passées à la postérité, et pour cause, The Premature Burial (où un jeune assistant réal du nom de F.F Coppola faisait ses premières armes), troisième de la liste, fait partie des plutôt réussis.

Ronald Stein, le compositeur maison de la prod’, responsable de centaines de partitions dans des genres aussi éloignés que l’aventure romantico-exotique et l’épouvante gore, habitué aux budgets plus que serrés, ne fait pourtant pas dans le cheap sur The Premature Burial, usant de formules certes classiques mais ayant clairement fait leurs preuves.

 

Stein fait sonner un orchestre pourtant restreint comme s’il avait sous la main la totale philarmonique ; les cuivres ont certes la part belle mais le reste des instruments, les cordes en tête, n’est pas en reste et les thèmes jouent clairement la carte du macabre sans pour autant tomber dans le grotesque.

 

Une harmonie BD et B.O juste parfaite sur ce coup là !

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 07:41

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  INFINTY 8. LE JOUR DE L’APOCALYPSE.

 

 

C'est de qui ? Mourier, Trondheim et De Felici.

 

 

La Couv':

 

Infinty 8. Le Jour de l'Apocalypse  Vs.  Not of this earth

 

 

Déjà croisé dans le coin? Oui pour Trondheim

 

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres

 

 

 

Un visuel:

 

 

Infinty 8. Le Jour de l'Apocalypse  Vs.  Not of this earth

 

 

Ca donne Quoi ? Cinquième reboot pour l’Infinty 8 et voilà qu’arrivent…les zombies !

On le sait, les morts vivants ont la côte depuis quelques années, ne serait-ce que dans les succès TV actuels, de l’adaptation du comics The Walking Dead aux Marcheurs Blancs de Game Of Thrones, ou dans pléthore de publications franco-belges, difficile d’échapper à des créatures en putréfaction souvent agressives.

 

Davy Mourier trouvait que ça allait manquer à l’univers d’Infinty 8 et s’est donc dévoué pour en placer dans son scénar…et il a pas lésiné sur le nombre.

 

On sait les bestioles friandes de chair humaine (et plus si affinités !) et la nécropole qui bloque la course du vaisseau est un vivier quasi inépuisable, Ann Ninunta ne sait bientôt plus où donner de la tête entre sa fille à aller chercher à la crèche avant qu’elle ne finisse en zombie, les avances d’un beau lieutenant et, of course, les hordes de morts vivants qui pullulent dans l’Infinty 8 comme au dehors.

 

On en apprend enfin un peu plus sur la nécropole dans ce cinquième volet, plus enlevé que les précédents, avec un retour en force du fun et toujours de l’action quasi non-stop.

 

Aux crayons, l’italien Lorenzo De Felici propose un trait axé comics un rien old school qui n’est parfois pas sans faire penser au style délicieux de Stéphane Fert, qui m’a bien plus emballé que les précédents et m’a clairement réconcilié avec la série concept.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : NOT OF THIS EARTH

 

 

C'est de qui ? R.Stein

 

 

La Couv':

 

Infinty 8. Le Jour de l'Apocalypse  Vs.  Not of this earth

 

Déjà entendu chez B.O BD? Pas mal de fois oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? A l’époque bénie où Roger Corman réalisait et/ou produisait des séries B de genre, la plupart du temps complètement fauchées, qui l’obligeaient à combler le manque de moyens par un débordement d’imagination ; c’est fort souvent au stakhanoviste Ronald Stein qui, dans la lignée de ses congénères italiens de l’époque, écrivait de deux à trois B.O par an en moyenne, que revenait la tâche de mettre tout ça en musique.

 

Là aussi le besoin d’imagination et une certaine « qualité étaient de mises vu qu’il fallait parfois pallier la pauvreté de l’image par une musique des plus suggestives.

 

Le fantastique était l’un des domaines de prédilection de Stein qui, dans la mesure des moyens financiers alloués, avait peu ou prou les mains libres et en profitait au mieux. Entre les percussions omniprésentes dont les schémas  allaient être copiées lors des trois décennies suivantes et l’incursion du clavecin, Not of this earth, avec son histoire d’extra terrestre venu chercher du sang humain pour sauver sa race, a la particularité d’avoir les sons de l’orchestre étouffés sur certaines pistes avant que les cordes se déchainent, prenant l’auditeur par surprise.

 

De la bonne petite B.O à l’ancienne bien délirante sur un tome d’Infinity 8 qui ne l’est pas moins !

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

 

 

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13 avril 2017 4 13 /04 /avril /2017 13:15

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : LE FULGUR 1

 


C'est de qui : Bec & Nenadov

 

 

La Couv':

 

Fulgur... au Point!  /  Le Fulgur  Vs.  Revenge of the Creature

 

Déjà croisé sur le site? Bec oui.

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

Une planche:

 

Fulgur... au Point!  /  Le Fulgur  Vs.  Revenge of the Creature

 

Ca donne Quoi ? Un mécène américain finance une expédition pour laquelle un submersible révolutionnaire inventé par le professeur Claudian va emmener une équipe par 4000 mètres de profondeur afin de retrouver une cargaison d’or coulée quelques années plus tôt.

 

Vous vous en doutez, rien ne vas se passer comme prévu et, à 4000 mètres de fond, personne ne vous entendra crier !

 

Les fonds marins et Bec c’est une grande histoire d’amour. En effet, depuis presque 20 piges, l’auteur de Sanctuaire et autres Carthago n’a de cesse de replonger au plus profond des abysses pour y taquiner les éventuelles grosses bébêtes qui s’y terreraient depuis la nuit des temps. En choisissant d’adapter le roman de Semant Bec innove un peu en se frottant à une aventure qui se passe au début du siècle dernier, avec le coté aventure et technologie rétro futuriste que l’on peut rencontrer dans l’œuvre de Jules Verne par exemple.

 

On sent que le scénariste connaît son affaire et sait ménager ses effets, si l’on regrettera peut être un coté assez « déjà vu », on sera consolé par le trait panaché de Nenadov, héritier d’une certaine tradition européenne aujourd’hui délicieusement surannée, qui sert bien le propos.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? REVENGE OF THE CREATURE

 

 

C'est de Qui ? H. Stein & William Lava

 

 

La couv'

 

Fulgur... au Point!  /  Le Fulgur  Vs.  Revenge of the Creature

 

Déjà entendu sur B.O BD? Plein de fois oui.

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Cherchant à surfer sur le succès de Creature from the Black Lagoon, film d’épouvante en 3D (de l’époque hein) qui avait fait grand bruit (et dont la vision à la Dernière séance d’Eddy Mitchell, avec les lunettes rouges et bleues m’avait impressionné) ; Jack Arnold et la prod sortent une (première) suite où la créature est capturée et amenée à la civilisation (oui, King Kong, tout ça…).

 

Si la musique était déjà importante dans le premier volet, ce second en est encore plus rempli. Pas moins de 73% de la pellicule contient de la bande son ! Ce phénomène s’explique notamment par l’utilisation de matériel non retenu sur la Créature du Lagon Noir. De l’underscoring soulignant un suspense lourd à de véritables moments de frénésie instrumentale, Herman Stein, grand pourvoyeur de B.O de genre et versé tout particulièrement dans le fantastique, déchaîne ses cordes et ses cuivres à la moindre scène d’action. Le thème principal est décliné à plusieurs reprises créant une unité sonore et posant l’ambiance entière du film.

 

 William Lava, homme de l’ombre sur ce long métrage comme ce fut souvent son lot, et lui aussi relativement habitué des sous genres de l’épouvante, fournit une poignée de pistes dans la même veine qui n’ont rien à envier au travail de Stein.

 

De la musique de genre solide et classique, tout juste ce qu’il fallait aux terreurs sous-marines version Bec.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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