23 août 2020 7 23 /08 /août /2020 15:43
 
 
 
 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  WILDERNESS

 

 

C'est de qui ? Ozanam & Bandini

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

Déjà croisés sur le site? Souvent pour le scénariste, au moins une fois pour le dessinateur.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Abel, ancien soldat de la Guerre de Sécession traumatisé par l’expérience, vit en reclus avec son chien.

Lassé de son existence misérable, alors qu’il décide de partir pour un dernier voyage, il est agressé par deux hommes qui lui volent l’animal pour le faire participer à des combats. Entre souvenirs douloureux où les visages et les faits se télescopent, et désir de vengeance, le vieil homme va traquer ceux qui l’ont laissé pour mort.

 

 Wilderness s’inscrit dans la lignée de ces westerns anticonformistes qui ne cherchent pas à idéaliser une époque, un pays, les hommes qui y ont vécu et qui les ont subis. De Jeremiah Johnson à Impitoyable en passant par les deux films cités dans la partie musicale de la chronique, les héros solitaires en proie à la bassesse voire la haine de leurs congénères ont toujours été source de récits âpres et jusqu’auboutiste.

 

Celui-ci ne fait pas exception à la règle et Antoine Ozanam, pour sa seconde excursion dans le genre, s’en sort avec les honneurs, avec une adaptation au cordeau dont le rythme et la narration peuvent surprendre parfois mais tiennent le lecteur en haleine tout au long de cette vengeance quasi cathartique.

 

 

 Pour l’occasion il retrouve Bandini, avec qui il avait déjà collaboré il y a plus d’une décennie maintenant. L’artiste rend une copie d’une beauté graphique impeccable, que ce soit pour rendre la sauvagerie de la bataille de la Wilderness, comme la mélancolie  poétique des paysages  du nord-américain, conférant à Wilderness une seconde vie doté d’une personnalité visuelle qui lui rend justice.

 

La rentrée BD 2020 débute sous de forts bons auspices !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : MAN IN THE WILDERNESS

 

 

C'est de qui ? J. Harris

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? En marge d’une prolifique carrière comme songwriter et producteur musical dans le show-biz, Johnny Harris –aucun lien de parenté avec Richard, star du film du jour- a aussi un bossé pour le grand écran avec une qualité manifeste.

J’en veux pour preuve le score de ce wetsern survival, ancêtre de l’ampoulé Revenant avec Di Caprio, pour lequel le compositeur britannique écrit une partition variée où, après un générique sous forme de marche un peu trop enjouée, il privilégie l’atmosphère avec l’utilisation d’effets électroniques aussi anachroniques que percutants, dont les sonorités étranges intensifient le suspense.

 

Econome dans ses thèmes, Harris met l’accent sur l’extrême noirceur du scénario qu’il contrebalance avec le motif dédié au personnage principal, joué par…une boîte à musique !

Une petite pépite que cette B.O aux ambiances variées, aussi originale que ce qu’elle est surannée par moments, et souvent surprenante de raccord avec l’adaptation d’Ozanam et Bandini.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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22 août 2020 6 22 /08 /août /2020 15:39
 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  YAGA

 

 

C'est de qui ? Ozanam & Rodriguez.

 

 

La Couv':

 

 

Déjà croisés sur le site? Pour le scénariste comme le dessinateur, on a du couvrir la plus grosse partie de leurs carrières respectives.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ça donne Quoi ? Dans la Russie des Tzars une jeune femme malmenée par la vie va, auprès d’une ermite des bois, apprendre les secrets des plantes et des potions. Mais bientôt la méchanceté et la bêtise des hommes la rattrape, la perte de son mentor et de sa meilleure amie la mèneront à pactiser avec le diable et à devenir la terrible Baba Yaga !

 

Antoine Ozanam, scénariste touche à tout à l’aise dans tous les genres qu’il aborde -et notamment les biographies- a imaginé l’origine de cette créature issue du folklore russe et (quelque peu) popularisée par Mike Mignola il y a quelques années quand il en a fait l’une des adversaires de son personnage fétiche : Hellboy. Si ce récit initiatique est dans l’ensemble construit sur une trame classique il est narré avec talent, présentant des protagonistes travaillés et attachants et une intrigue prenante.

 

 

L’autre particularité du scénariste est de savoir s’entourer de dessinateurs aussi orignaux que talentueux, pour Yaga il a choisi le trait cartoony hybride de Pedro Rodriguez qui, après ses adaptations de nouvelles fantastiques, se frotte à nouveau au genre avec réussite. Que ce soient les paysages de toundra, le bestiaire ou la galerie de personnages, c’est un sans-faute !

 

Financée via le crowdfunding, l’édition est soignée, la taille de l’album, un peu plus grande que le classique franco-belge, permet du coup d’apprécier les planches colorées de l’artiste espagnol à leur juste valeur.

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :THE LIGHTHOUSE

 

 

C'est de qui ? M. Korven

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Une paire de fois oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Après avoir mis un bon coup de pied dans la fourmilière de la musique de film d’épouvante grâce à son travail léché sur The Witch, le canadien Mark Korven collabore à nouveau avec le réalisateur du film sus-cité pour The Lighthouse, huis clos où Robert « Twilight » Pattinson affronte le monument Willem « Dernière Tentation du Christ, mais pas que » Dafoe, au sein d’un phare.

 

Spécialiste de la word music, Korven a poussé le vice jusqu’à créer un instrument spécifique, mélange de choses diverses (orgue indien, vielle à roue, sitar, teremin, violoncelle et j’en passe) qu’il a sobrement baptisé « The Arprehension engine ». Ce redoutable hybride dont aurait rêvé des gens aussi divers –et talentueux- que Gyorgi Ligeti,  Jimmy Page ou David Gilmour, crée des sons assez ahurissants, comme tout droit sortis d’un cauchemar musical.

 

Le compositeur a mis son invention à profit donc sur la musique de The Lighthouse, tissant des thèmes aux harmoniques aussi sombres que crispants parfois, des grincements sonores personnifiant le vent, la marée, les craquements du bois. Les cuivres quant à eux, nombreux et variés semblent imiter les sirènes de bateau, les hurlements des créatures marines étranges.

B.O quasi organique aux mélodies rares et arides, jouant plus sur la tension sonore que sur la musicalité, The Lighthouse traduit par ses atmosphères plaintives et menaçantes toute la noirceur et la mélancolie qui règne dans cette évocation de la jeunesse de la Baba Yaga.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 11:26

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : LENINE

 


C'est de qui : Ozanam & Rodier

 

 

La Couv' :

 

Il s'est fait la Russie  /  Ils Ont Fait L'Histoire: Lénine  Vs.  October Cantata

 

Déjà lu chez B.O BD? Ozanam fort souvent, pas Rodier par contre.

 

 

C’est édité par qui ? Glénat.

 

 

Une planche:

 

Il s'est fait la Russie  /  Ils Ont Fait L'Histoire: Lénine  Vs.  October Cantata

 

Ca donne Quoi ? Il y a un moment que je ne m'étais plus penché sur la collection Ils ont fait l'Histoire mais le sujet même de l'un des deux nouveaux volets s'est imposé de lui même.



En effet si j'évite fort soigneusement de parler politique sur un blog dédié à la - possible- alliance entre la Bd et à la musique de film, l'époque troublée dans laquelle nous vivons, faite de scandales et autres malversations en hauts lieux, me porte à croire qu'un album qui évoque des événements qui ont eu lieu il y a un siècle de l'autre côté de l'Europe, et qui seraient presque de mise aujourd'hui quand on voit les similitudes entre les situations, est quasiment d'utilité publique.
 


En effet demandez aujourd'hui à n'importe quel jeune de moins de 20 ans s'il sait qui était Lénine, il y a fort peu de chance qu'il vous réponde par l'affirmative. Pourtant, et même si, on le sait, le bonhomme ne fut pas exempt de reproches, loin de là même, c'est en grande partie grâce à son action que le communisme a pu voir le jour dans un empire dirigé par les tsars depuis des siècles (et si une éventuelle ressemblance entre des hommes d’état  au train de vie princier dirigeant  une nation de citoyens de plus en plus précaires vous apostrophe, elle n’est peut être pas fortuite et -devrait?- vous faire réfléchir sur la possible conduite à tenir dans quelques semaines...).


Mais revenons à nos moutons: Antoine Ozanam, adepte de sujets aussi divers qu'éloignés mais avec une constante dans la qualité, s'est attelé à la difficile tâche de raconter la biographie du dirigeant soviétique en y insufflant un maximum de "vie" via la narration graphique et le trait réaliste de Rodier.

 

Connaissant la culture et l’amour du scénariste pour le médium je suis quasiment sur qu’il connaît les précédentes BD consacrées au bonhomme dont le Lénine et la  grande Révolution que Poïvet a réalisé à la fin des années 60 dans Vaillant, récit aux graphismes réalistes prenants (même si évidement désuets) mais à la partialité quelque peu appuyée ...

 

Il s'est fait la Russie  /  Ils Ont Fait L'Histoire: Lénine  Vs.  October Cantata

 

ou encore le guère plus objectif Lénine dans la collection Les Grandes Biographies en BD et son format poche.

 

Si forcément très riche en texte, l'album d'Ozanam et Rodier ne tombe pourtant que très rarement dans le récitatif de ceux cités ci desus et n'est jamais pesant.

Si j'ai moins apprécié certains passages comme l'évocation de la vie amoureuse de Lénine par exemple, le scénariste a su parfaitement montrer par exemple l'opposition entre le train de vie du révolutionnaire, adepte d'un certain confort et voyageur infatigable, et  ses convictions politiques jusqu'au-boutiste.


La révolution d'Octobre et ses suites aurait peut être gagné à être un peu plus longuement évoquée au détriment d'autres passages, tout comme l’exécution du propre frère de Lénine qui aurait été à l’origine de ses velléités révolutionnaires, mais dans l’ensemble et au vu d’un probable cahier des charges forcément restrictif, le boulot est plus qu'honorable, que ce soit sur la partie scénar comme dessin avec un trait réaliste propre et au dessus de la moyenne de ce que la collection à pu proposer jusqu’ici.

 

Il s'est fait la Russie  /  Ils Ont Fait L'Histoire: Lénine  Vs.  October Cantata

 

Le volume est, comme à l’accoutumée, complété par un dossier sur Lénine, rédigé par Marie Pierre Rey spécialiste de la Russie et de son histoire.

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? CANTATE D’OCTOBRE.

 

 

C'est de Qui ? S. Prokoviev

 

 

La couv'

 

Il s'est fait la Russie  /  Ils Ont Fait L'Histoire: Lénine  Vs.  October Cantata

 

Déjà entendu chez nous?  Fort souvent.

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Si évidement propagandiste et grandiloquente à souhait, la Cantate pour la célébration du vingtième anniversaire de la Révolution d’octobre (oui, j’ai opté pour le titre court) est une œuvre à part dans la discographie pourtant déjà magistrale de son auteur.

 

Ecrite avec enthousiaste pour glorifier la naissance de l’Union Soviétique, de la révolution de 1917 jusqu’à la mainmise de Staline sur le pays, elle permet au compositeur de se voir allouer des  moyens plus que conséquents, cette pièce en dix mouvements comporte un ensemble aussi diversifié qu’original d’instruments : à toute une batterie de cuivres et un chœur fourni viennent s’ajouter un ensemble d’accordéons, un orchestre militaire, des harpes et des claviers et même des sirènes, un véritable canon et un mégaphone (qui clame les discours de Lénine).

 

Si la composition est contrastée et originalement variée, on regrettera son caractère un peu trop « patriotique » (même si Prokoviev –qui reviendra vite de son engouement pour la politique de Staline- ne la proposera pas finalement pour la cérémonie d’anniversaire en question) mais là, reconnaissons-le, c’est de circonstance.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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24 mars 2016 4 24 /03 /mars /2016 14:44

 

 

 

LA BD:

 


C'est quoi : PRINCESSE CARABOO

 


C'est de qui : Ozanam & Bax

 

 

La Couv':

 

 

Déjà lu chez B.O BD? Oui pour le scénariste, pas la dessinatrice par contre.

 

 

C’est édité chez qui ? Le Lombard.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ?  Un soir, dans la campagne anglaise, un couple d'aristocrates se voit confier une jeune femme perdue, s'exprimant dans un dialecte étranger et aux us des plus déroutants. Apres maints efforts et autres situations cocasses il semblerait que ce soit une princesse de Java...mais les apparences ne sont elles pas parfois trompeuses?

Décidément ce début d'année 2016 est placé sous le signe des biographies de jeunes femmes pour Antoine Ozanam, même si, avec Princesse Caraboo on est a l'autre extrême du prisme d'Anne Frank. En effet, cette évocation de l'existence de Mary Wilcox via l'une de ses supercheries est une comédie aux accents british bon ton, rendue encore plus agréable par le trait de Julia Bax aux influences mixtes fort bien assimilées, rehaussé par des couleurs chaudes qui le font ressembler à de la peinture. 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ?  THE IMPORTANCE OF BEING ERNEST

 

 

C'est de Qui ? Charlie Mole

 

 

La couv' 

 

 

Déjà entendu chez nous ? Une fois oui.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Comédie aussi fine qu’elle paraît légère, l’Importance d’être Constant (jeu de mot sur le prénom et la signification du mot, Ernest en anglais étant à la fois le prénom et la traduction de « sérieux »), est une des pièces les plus célèbres du génial Oscar Wilde qui virevolte avec le fond et la forme comme peu d’écrivains ont su le faire.

Pour cette énième et très libre adaptation, avec les évidents et so british Rupert Everett et Colin Firth, Parker fait appel à Charlie Mole qui va s’inspirer de Mancini et livrer une musique raffinée et aux accents jazzy, aussi anachronique que distinguée et cool, qui alterne constamment entre le vaudeville haut de gamme et la partition classique gaie. L’orchestration, quoique simple, est fort soignée, sachant mettre en sourdine les instruments quand le réclame l’intrigu ou, au contraire, faire feux de tout bois (et cordes) sur les passages plus enlevés.

Une B.O aussi agréable qu’originale, quelque peu hors de temps qui ajoute une touche de classe supplémentaire à la comédie de Bax et Ozanam.

 

Petit détail amusant, la dernière fois que l’on a écouté une œuvre de Charlie Mole chez nous c’était pour le film Dorian Gray, adaptation de …Oscar Wilde, oui, tout à fait !

 

 

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Une chronique signée Fab

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7 mars 2016 1 07 /03 /mars /2016 16:23

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : JOURNAL D’ANNE FRANK

 


C'est de qui : A. Ozanam adapte et Nadji dessine

 

 

La Couv':

 

 

Déjà lu chez B.O BD? Ozanam souvent, on a du couvrir au moins deux tiers de ce qu’il a écrit. C’est une première pour Nadji.

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Comme des générations de collégiens, j’ai lu le Journal d’Anne Franck pendant ma scolarité, et, si c’était il y a me semble-t-il une éternité, le souvenir du décalage entre le propos et la tragédie de la situation m’avait indélébilement marqué, pour diverses raisons. C’est donc avec un certain recul que j’ai abordé l’adaptation en BD que nous proposent Antoine Ozanam et Nadji chez Soleil, pas parce que je doutais du savoir-faire du scénariste que je sais à l’aise dans des genres forts différents, mais surtout par appréhension de replonger dans le trauma de l’œuvre.

Et bien je n’ai pas été déçu. Si Antoine Ozanam n’est pas à l’origine du projet il s’est approprié le récit de cette jeune adolescente juive cachée avec sa famille pour échapper aux rafles nazies, avec une sensibilité rare, quasi féminine par moment, exacerbant  l’innocence perdue face à l’horreur de l’Histoire. J’ai également  trouvé que le style épuré et décalé du dessinateur –choisi par son scénariste- avec des choix de teintes différentes selon les planches et les ambiances, ajoutait à la puissance d’évocation du message.

L’album se conclue sur une frise « historique » montrant le destin des huit personnes cachées dans la maison, quasiment toutes mortes en déportation alors même que les Alliés défaisaient l’Allemagne.

Comme le dit Antoine Ozanam en introduction, espérons que cette adaptation fera découvrir l’histoire d’Anne Franck à un nouveau public, voir le fera se replonger dans un passé des plus sombre que la jeune génération a hélas trop tendance à oublier de nos jours.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? THE BANISHMENT

 

 

C'est de Qui ? Andrey Dergachev

 

 

La couv' 

 

 

Déjà entendu chez nous ? Non

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Apreté. C’est le premier mot qui vient à l’esprit quand on évoque cette adaptation soviétique de  Saroyan. En même temps dans une histoire où il est question d’isolement, de jalousie, de soupçons, d’avortement, de suicide…bon j’arrête là les frais, vous avez saisi le propos, on ne rigole pas des masses dans The Banishment.

Sa musique, ou plutôt son ambiance sonore, est du même acabit, froide, quasi chirurgicale même par moments. Alors c’est sûr que j’aurais pu choisir quelque chose de moins noir, histoire d’être plus dans l’esprit du choix de l’adaptation qui met en avant les sentiments de la jeune héroïne, l’insouciance bousculée de l’adolescence, mais en filigrane j’ai préféré garder la gravité du propos via un accompagnement musical …âpre.

 

 

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Une Chronique par Fab

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  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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