15 juillet 2024 1 15 /07 /juillet /2024 09:41

 

 

LA BD:





 

C'est quoi ? UN SOMBRE MANTEAU




 

C'est de qui ? J. Martin




 

La Couv':

 


 

C’est édité chez qui? Dupuis



 

Déjà croisé sur le site? Oui.




 

Une planche: 

 



 

Ca donne Quoi ? Dans les Pyrénées espagnoles, Serena une jeune femme rousse en proie à ses démons, erre sans but avant de rencontrer une ermite qui vit seule dans une cabane où elle concocte potion et onguents à base de plantes qu’elle échange ou vend aux villageois du coin.



 

L’arrivée de Serena est vue d’un fort mauvais œil par les paysans qui n’apprécient déjà pas des plus la vieille guérisseuse et, bientôt, alors qu’une maladie frappe les bêtes et les gens, les bouc émissaires semblent tout trouvés!




 

Exit les chroniques historico familiales pour ce nouvel opus de Jaime Martin, même s’il est question de famille(s) et que le récit se déroule toujours en Espagne.

 

Ici l’auteur complet nous livre un conte aux accents fantastiques qui fleure bon le terroir, avec ses paysans soupçonneux et aigris, deux héroïnes aussi marginales qu’ atypiques et des thématiques fortes -et cruellement d’actualité- comme la peur de celui qui est différent et le rejet de l’autre.



 

Les graphismes du barcelonais se font plus anguleux, ses colo plus ocres, afin de servir son scénario pessimistes qui n’est pas sans faire penser  à des choses comme la Mare au Diable, aux nouvelles fantastiques de Maupassant ou, plus proche de nous à celles d‘un  Claude Seignolle.



 

LA MUSIQUE:





 

C'est quoi : LE PHARE



 

C'est de qui ? M. Korven

 

 

La Couv':

 



 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui



 

On peut écouter ?

 

 


 

Ca donne Quoi ?  Après avoir mis un bon coup de pied dans la fourmilière de la musique de film d’épouvante grâce à son travail léché sur The Witch, le canadien Mark Korven collabore à nouveau avec le réalisateur du film sus-cité pour The Lighthouse, huis clos où Robert « Twilight » Pattinson affronte le monument Willem « Dernière Tentation du Christ, mais pas que » Dafoe, au sein d’un phare.

 

Spécialiste de la word music, Korven a poussé le vice jusqu’à créer un instrument spécifique, mélange de choses diverses (orgue indien, vielle à roue, sitar, teremin, violoncelle et j’en passe) qu’il a sobrement baptisé « The Arprehension engine ». Ce redoutable hybride dont aurait rêvé des gens aussi divers –et talentueux- que Gyorgi Ligeti,  Jimmy Page ou David Gilmour, crée des sons assez ahurissants, comme tout droit sortis d’un cauchemar musical.

 

Le compositeur a mis son invention à profit donc sur la musique de The Lighthouse, tissant des thèmes aux harmoniques aussi sombres que crispants parfois, des grincements sonores personnifiant le vent, la marée, les craquements du bois. Les cuivres quant à eux, nombreux et variés semblent imiter les sirènes de bateau, les hurlements des créatures marines étranges.

B.O quasi organique aux mélodies rares et arides, jouant plus sur la tension sonore que sur la musicalité, The Lighthouse traduit par ses atmosphères plaintives et menaçantes toute la noirceur et la mélancolie qui règne dans Un Sombre Manteau.

 

 

 

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10 septembre 2022 6 10 /09 /septembre /2022 08:11

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? SERIAL

 

 

C'est de qui ? T. Moore

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt comics

 

 

Déjà croisé sur le site? Oui

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Zoé est une fillette très particulière puisque sous son apparence enfantine elle est possédée par un démon depuis un demi-siècle.

 

Quan sa seule amie est assassinée, Zoé enquête sur le meurtre et découvre une qu’une jeune femme rend la justice elle-même de manière aussi efficace que glaçante. La prédatrice va alors devenir la proie.

 

 

Si ce nouveau récit signé Terry Moore est bien mené et qu’on sent l’américain bien dans son scénar, force est de reconnaître que l’auteur reste en terrain connu.

 

Abonné aux héroïnes atypiques -je pense pouvoir avancer sans me tromper que l’intégralité de ses séries ont des personnages principaux féminins- il fait tourner ses recettes habituelles.

 

 

Les amateurs et/ou les nouveaux lecteurs apprécieront ce récit extrêmement glauque (pour ce derniers cependant ils ne connaîtront pas l’origine de la fillette, issue d’une précédente série- c’est dommage) qui soulève un concept intéressant -peut on faire justice soi-même – mais pas mal exploité en littérature, cinéma, BD, etc…

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :BLACK PHONE

 

 

C'est de qui ? M. Korven

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Avec un bagage qui intimerait le respect (ou devrait en tout cas !) à plus d’un faiseur de scores, le canadien Mark Korven, inventeur on l’a vu chez nous de l’ « aprhension engine », sorte d’instrument diabolique aux sonorités cauchemardesques,  risque, malgré son bagage dans la world-music et l’expérimental, de se retrouver cantonné aux films d’épouvante s’il continue à œuvre -aussi efficacement- dans la genre.

 

 

Il prouve sur cette adaptation d’une nouvelle de Joe Hill que le genre n’a -déjà- plus de secrets pour lui, naviguant entre orchestration classique sur des passages obligés bien appréhendés, et tentatives sonores certes discrètes mais assez marquantes pour faire sortir la B.O d’un lot fort pourvu.

 

 

Juste ce qu’il faut de frissons et de tension pour finir de faire de Serial l’égal de ces séries TV à sensation qu’on voit fleurir sur les chaines payantes ces dernières années.

 

 

 

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22 août 2020 6 22 /08 /août /2020 15:39
 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  YAGA

 

 

C'est de qui ? Ozanam & Rodriguez.

 

 

La Couv':

 

 

Déjà croisés sur le site? Pour le scénariste comme le dessinateur, on a du couvrir la plus grosse partie de leurs carrières respectives.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ça donne Quoi ? Dans la Russie des Tzars une jeune femme malmenée par la vie va, auprès d’une ermite des bois, apprendre les secrets des plantes et des potions. Mais bientôt la méchanceté et la bêtise des hommes la rattrape, la perte de son mentor et de sa meilleure amie la mèneront à pactiser avec le diable et à devenir la terrible Baba Yaga !

 

Antoine Ozanam, scénariste touche à tout à l’aise dans tous les genres qu’il aborde -et notamment les biographies- a imaginé l’origine de cette créature issue du folklore russe et (quelque peu) popularisée par Mike Mignola il y a quelques années quand il en a fait l’une des adversaires de son personnage fétiche : Hellboy. Si ce récit initiatique est dans l’ensemble construit sur une trame classique il est narré avec talent, présentant des protagonistes travaillés et attachants et une intrigue prenante.

 

 

L’autre particularité du scénariste est de savoir s’entourer de dessinateurs aussi orignaux que talentueux, pour Yaga il a choisi le trait cartoony hybride de Pedro Rodriguez qui, après ses adaptations de nouvelles fantastiques, se frotte à nouveau au genre avec réussite. Que ce soient les paysages de toundra, le bestiaire ou la galerie de personnages, c’est un sans-faute !

 

Financée via le crowdfunding, l’édition est soignée, la taille de l’album, un peu plus grande que le classique franco-belge, permet du coup d’apprécier les planches colorées de l’artiste espagnol à leur juste valeur.

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :THE LIGHTHOUSE

 

 

C'est de qui ? M. Korven

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Une paire de fois oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Après avoir mis un bon coup de pied dans la fourmilière de la musique de film d’épouvante grâce à son travail léché sur The Witch, le canadien Mark Korven collabore à nouveau avec le réalisateur du film sus-cité pour The Lighthouse, huis clos où Robert « Twilight » Pattinson affronte le monument Willem « Dernière Tentation du Christ, mais pas que » Dafoe, au sein d’un phare.

 

Spécialiste de la word music, Korven a poussé le vice jusqu’à créer un instrument spécifique, mélange de choses diverses (orgue indien, vielle à roue, sitar, teremin, violoncelle et j’en passe) qu’il a sobrement baptisé « The Arprehension engine ». Ce redoutable hybride dont aurait rêvé des gens aussi divers –et talentueux- que Gyorgi Ligeti,  Jimmy Page ou David Gilmour, crée des sons assez ahurissants, comme tout droit sortis d’un cauchemar musical.

 

Le compositeur a mis son invention à profit donc sur la musique de The Lighthouse, tissant des thèmes aux harmoniques aussi sombres que crispants parfois, des grincements sonores personnifiant le vent, la marée, les craquements du bois. Les cuivres quant à eux, nombreux et variés semblent imiter les sirènes de bateau, les hurlements des créatures marines étranges.

B.O quasi organique aux mélodies rares et arides, jouant plus sur la tension sonore que sur la musicalité, The Lighthouse traduit par ses atmosphères plaintives et menaçantes toute la noirceur et la mélancolie qui règne dans cette évocation de la jeunesse de la Baba Yaga.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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5 août 2019 1 05 /08 /août /2019 11:43
 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  BLACK HAMMER 3

 

 

C'est de qui ? Lemire & Ormston.

 

 

La Couv':

 

Si j'avais un marteau  /  Black Hammer 3  Vs.  Our House

 

Déjà croisés sur le site? Oui, sur le premier tome.

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Une planche:

 

Si j'avais un marteau  /  Black Hammer 3  Vs.  Our House

 

 

Ca donne Quoi ? Alors que Lucy, la fille du défunt Black Hammer, erre dans des dimensions aussi parallèles qu’improbables, tombant de charybde en scylla ou plutôt de bar démonique miteux en enfer surréaliste, le reste de la troupe de la ferme voit son quotidien passablement modifié.

Que ce soit les relations amoureuses qui évoluent en bien ou les révélations post mortem qui choquent, nos super héros exilés vont devoir faire face à une situation difficilement acceptable qui va tout remettre en question.

 

Cette suite de Black Hammer propulse la série à des hauteurs rarement atteintes dans le genre –super héroïque- qui permet à Lemire de se hisser au rang des Alan Moore et Autre Neil Gaiman (si, si !) que ce soit sur un plan scénaristique, avec des études de personnages poussées et des rebondissements aussi inattendus que bien amenés, que sur le plan de la narration et de la mise en page.

 

Dean Ormston, assisté de Peter Gross sur des story-boards détaillés, livre lui aussi une copie plus que convaincante avec certaines idées de composition de page qui ne sont pas sans faire penser parfois à celles de Kevin O’Neill sur la Ligue des Gentleman extraordinaires.

Ce troisième tome se conclue sur un cliffhanger qui laisse présager une conclusion en apothéose !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : OUR HOUSE

 

 

C'est de qui ? M. Korven

 

 

La Couv':

 

Si j'avais un marteau  /  Black Hammer 3  Vs.  Our House

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Korven avait attiré notre attention avec l’excellent score de The Witch il y a une paire d’années et a continué de faire parler de lui en créant –entre autres choses- avec un luthier un instrument dédié à la musique d’épouvante.

 

On le retrouve ici derrière le pupitre pour ce film d’horreur qui modernise tant bien que mal le mythe de Frankenstein et pour lequel le compositeur, s’il n’opère pas une approche aussi radicale que sur le précédent long, sors néanmoins des sentiers battus en mélangeant l’électronique et l’acoustique afin de créer des passages hypnotiques effrayants non pas par leur intensité mais par le suspense sous-jacent qui affleure constamment.

 

Une poignée de pistes est plus radicale dans l’expression de la peur, avec des thématiques un brin plus traditionnelles mais qui ne rendent pas l’ensemble moins original, loin s’en faut.

 

Un score rafraichissant dans sa catégorie et qui intensifie la qualité de ce nouveau Black Hammer.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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14 avril 2017 5 14 /04 /avril /2017 07:34

 

 

 

Retrouvez, après la chronique, une interview "Musique et BD" de Jules Stromboni, son sympathique auteur, rencontré au festival d'Aix en Provence.

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : MAZZERU

 


C'est de qui : J. Stromboni

 

 

La Couv' :

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

Déjà lu chez nous? Oui, une paire de fois.

 

 

C’est édité par qui ? Casterman

 

 

Une planche:

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

Ca donne Quoi ? Le Mazzeru est un être atteint d’une malédiction qui le fait rêver des décès à venir dans sa communauté via la chasse et la mise à mort d’animaux.

 

Césario jeune homme mal dégrossi qui garde les chèvres pour un père bourru et violent tombe amoureux de la jeune Chillina, qui vit également avec son père, veuf.

 

Un jour, le père de Chillina, pris de folie, tente d’abuser de sa fille, cette dernière le blesse et s’enfuit dans les bois. Cru morte par les villageois, elle va vivre une vie de chasseresse sauvageonne, s’adonnant parfois à des crimes violents, tous rêvés par Césario.

 

Ce dernier tente d’échapper à sa malédiction et à son amour impossible en allant vivre sur le continent, où il travaille dans une  mine. Mais le destin le ramènera sur l’Île qui n’a pas que la Beauté et la tragédie finira évidement mal.

 

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

Outre son sujet très sombre et mené de main de maître, le one-shot de Jules Stromboni se distingue également  par son traitement graphique.

 

Gravure en noir et blanc proche de l’illustration old school et de la carte à gratter parfois, travail sur la matière, sur les à plats de noir et de blanc, incursion ponctuelle de la couleur dans les cauchemars du héros…pas de bulles ou de phylactères, beaucoup de pages muettes, Mazzeru n’est pas un album de BD au sens traditionnel, c’est un livre hors norme aussi prenant que conceptuel.

 

Casterman a soigné l’édition en proposant un livre plus grand que la moyenne, au format et au papier choisis par l’auteur afin que le rendu soit au plus proche de sa réalisation d’origine. Une des belles découvertes de ce printemps.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

C'est quoi : AMBIENT LIGHTS

 


C'est de qui : Mark Korven

 

 

Une Couv':

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

Déjà entendu sur le site? Oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Si The Witch n’est pas le renouveau du film fantastique que tout le monde a voulu nous vendre, sa B.O, que nous avons écoutée l’an passé, fût clairement un vent de fraicheur sur un genre usé jusqu’à la corde.

 

C’est ce qui m’a donné envie d’en savoir plus sur son compositeur, l’australien Mark Korven, spécialisé dans la musique de documentaire, les séries tv et, surtout, passionné de world music.

 

Non content d’explorer les cultures musicales et leurs instruments, Korven n’hésite pas à inventer ou co-créer de nouvelles machines souvent aussi surréalistes qu’efficaces.

 

J’en veux pour preuve cette sorte de vielle amplifiée à laquelle on aurait ajoutée des aimants, des règles en métal à tordre ou à frotter avec un archet, voire un Ebow (archet électronique cher entre autre à David Gilmour de Pink Floyd) une réverb analogique et j’en passe.

 

Elle a été pensée dans le but de mettre en musique des films d’horreur mais le caractère non mélodique des sons produits, les atmosphères dégagées par ses possibilités sonores et rythmiques sont assez étendues pour accompagner une œuvre aussi sombre et atypique que Mazzeru.

 

 

 

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Bonjour Jules et merci d’avoir accepté de te prêter au jeu du questionnaire croisé B.O/BD.

 

 

Commençons par un classique :

 

 

Tes Albums de musique de chevet ?

 

  • "Ya balad" de Bachar Mar-Khalifé
  • "El incendio que se llevo la ciudad" de Radikal Satan
  • "Shitman" Koonda Holaa
  • "Aimer ce que nous sommes" Christophe

 

 

 

 

Et tes Albums de Bd ?

 

 

  • "Là où vont nos pères" Shaun Tan
  • "Mitchum" Blutch
  • "les 4 fleuves" Baudoin/Vargas
  • "L" Benoit Jacques
  • "Prosopopus' De Crecy
  • "Rebetiko" Prudhomme

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

 

Les influences et les goûts :

 

 

Une musique de film qui t’a marqué, que tu affectionnes particulièrement (indépendamment du film) ?

 

 

La B.O de "Pina" de Wim Wenders et celle de l"Appollonide" de Bonnello.

 

 

 

Qui sont tes maîtres à penser en BD, ceux qui t’ont donné envie d’en faire, quelles sont tes influences ?

 

 

Baudoin/ Munoz-Sampayo/ De Crecy

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

 

Ton travail :

 

 

 

Ecoutes tu de la musique quand tu écris/dessine, et plutôt quoi ?

 

 

Oui, en plus des disques pré-cités, j'écoute la radio (fip/France Culture), ou encore Arvo Pärt, Fred Frith, Zoufris Maracas, Van Wissem... Et plein d'autres trucs.

 

 

 

Ce sur quoi tu travaille actuellement, tes prochains projets (si tu as la liberté de les évoquer bien sur) ?

 

 

Une histoire contemporaine qui se déroule à Londres et dont les dialogues sont construits exclusivement avec ceux piochés dans les 39 pièces de Shakespeare. Un cut up.

 

Maledizione !  /  Mazzeru  Vs.  Ambient Lights

 

 

Et si…

 

…en lieu et place de la Bande Dessinée tu avais fait de la musique tu aurais été qui, tu aurais joué quoi ?

 

 

J'ai été batteur dans un groupe de rock/noise/blues : Otto. Il faut que je m'y remette.

 

 

 

Encore un grand merci pour tes réponses, et au plaisir de te retrouver dans les pages de Bandes Originales Pour Bandes Dessinées !

 

 

 

 

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Une chronique et une interview de Fab

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Présentation

  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
  • Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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