22 janvier 2021 5 22 /01 /janvier /2021 11:26
 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  DONJON PARADE. GARDERIE POUR PETIOTS.

 

 

C'est de qui ? Nesme dessine sur le scénar de Traondheim et Sfar.

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, les scénaristes ensemble et le dessinateur seul.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Les aventuriers font un peu défaut au Donjon, faut dire que garder la marmaille et terrasser du monstre c’est difficilement conciliable.

Qu’à cela ne tienne, Herbert propose au gardien de faire la nounou pour les rejetons des futurs aventuriers. L’idée va vite se révéler catastrophique, notre Canard n’ayant probablement pas passé son BAFA,  les gamins étant presque plus vicieux et hargneux que leurs parents et les habitants du donjon peu enclins à participer à la garderie monstrueuse.

 

Si le précédent Donjon m’avait laissé assez de marbre, l’humour « rôlesque » de ce nouveau parade m’a agréablement surpris et j’ai retrouvé avec délectation le fun de lecture des premiers opus. Franche déconnade, scènes gores voire limite trash et souvent fort décalées, comique de situation et autres bons mots… le duo de scénaristes s’est visiblement fait plaisir et ça transpire quasiment à chaque page.

 

 

Bien évidemment le dessin de Nesme (qui succède à Larcenet sur la série), que l’on a déjà vanté à juste titre dans nos pages, est de toute beauté et ajoute au plaisir que l’on a sur ces –rapides- 32 pages de Garderie Pour Petiots.

Une récréation intergénérationnelle des plus recommandables !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :DISENCHANTMENT SEASON 2.

 

 

C'est de qui ? M. Mothersbaugh

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

Ca donne Quoi ? Si je n’avais pas été plus loin que le premier épisode de la série décalée de Fantasy du papa des Simpsons, il faut croire que j’ai peut-être eu tort puisque celle-ci voit sa troisième saison arriver sur Netflix.

Mark Mothersbaugh, toujours derrière le pupitre, persiste et signe dans le brocardage en règle des canons musicaux du genre qu’il panache de touches humoristiques bien tournées.

 

Ses arrangements sont variés, son utilisation des instruments (pas toujours réels mais peu importe) intelligente dans le sens qu’elle lui permet de passer d’un thème épique grandiloquent à une ritournelle plus mélancolique voire à un air plein de bonhomie communicative.

 

Cuivres, cloches, accordéon, piano et j’en passe, le compositeur américain conjugue fantasy, animation, cirque, musique folklorique…le résultat est enthousiasmant et si la série animée l’est ne serait-ce qu’à moitié autant il va falloir que je me repenche dessus. En attendant profitons de la B.O de cette saison 2pour lire avec ce Donjon Parade.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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18 janvier 2021 1 18 /01 /janvier /2021 10:54

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  CREATURES 1. LA VILLE QUI NE DORT JAMAIS.

 

 

C'est de qui ? Betbeder et Djief

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Dupuis

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, ensemble même.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans une Grosse Pomme post apocalyptique des enfants abandonnés doivent rivaliser d’ingéniosité pour survivre et ne pas tomber entre les pattes d’étranges créatures faites d’une substance noirâtre qui dominent les adultes, devenus des loques affamées.

 

Un petit groupe d’entre eux, organisés en bande, rencontrent Vanille et son petit frère à l’étrange pouvoir, qui avaient réussi à préserver leur maman de l’influence de monstres mais pour combien de temps encore?

 

Un étrange vieillard réfugié avec ses livres va également croiser leurs route et semble en savoir long sur les créatures hostiles.

 

 

Un nouveau récit d’anticipation à la croisée des genres, flirtant avec la SF, le fantastique et la série jeunesse (dont certains fleurons de chez Dupuis d’ailleurs), aux influences lovecraftiennes avouées qui ne seront pas pour déplaire aux lecteurs adultes.

 

 

Ce premier tome est plein de qualités à commencer par son rythme nerveux, et son suspense bien dosé, le tout servi par le trait semi réaliste détaillé aux teintes adéquates de Djief.

 

Créatures confirme le talent touche à tout du duo Betbeder/Djeff qui nous avait déjà pondu un superbe prologue aux Liaisons Dangereuses et livre ici, dans un tout autre domaine, un album qui fait mouche et qui, chez B.O BD a emballé deux générations de lecteurs !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :TENET

 

 

C'est de qui ? Göransson

 

 

La Couv':

 

 

Déjà croisé chez nous? Oui au moins une fois.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Après quelques obscurs travaux sur des films de seconde zone, et/ou dans l’ombre du canonnier Zimmer, le suédois Ludwig Göransson (qui finalement ne partage avec Beethoven que son prénom), tombe tout de suite dans le grand bain avec la bande son de Black Panther pour Marvel/Disney qui lui rapporte dans la foulée une statuette dorée, excusez du peu.

 

S’ensuivent deux autres « grosses » machines  commerciales avant que Christopher Nolan, privé d’Hans Zimmer, parti se promener sur la Dune de Villeneuve, fait appel à l’un de ses poulains les plus doués.

Göransson trouve le challenge intéressant, reprenant le concept de voyage spatio temporel et autre lectures à double sens chronologique dans son écriture musicale.

 

Il fait jouer les partitions à ses musiciens puis inverse les bandes les fait écouter aux musiciens en question puis leur demande de jouer ce qu’ils entendent. Vous avez saisi ? Non, bon les musiciens probablement pas non plus et, si la musique de Göransson n’est pas aussi catastrophique que le film, on retiendra de tout ceci qu’il maîtrise le « braaamm » probablement aussi bien que son mentor mais qu’il sait aussi le jouer à l’envers.

 

 

L’ambiance en tension continuelle de la BO de Tenet a renforcé le côté « adulte » que je recherchais lors de ma lecture de ce premier tome de Créatures, accentuant l’angoisse de certains passages et les scènes d’action réussies de l’album…par contre je n’ai pas poussé le vice jusqu’à l’imposer à mes gamins !

 

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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28 décembre 2020 1 28 /12 /décembre /2020 08:14
 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  FRNCK

 

 

C'est de qui ? Cossu et Bocquet.

 

 

Des Couv':

 

 

 

C’est édité chez qui ? Dupuis

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, le scénariste comme le dessinateur!

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Franck est un ado qui a grandi à l’orphelinat sans connaître ses parents, sachant juste qu’ils sont morts dans un accident. Après une énième « adoption » qui capoté, notre héros décide de se faire la malle et, conseillé par le jardinier de l’orphelinat, se rend dans une grotte où il va hélas tomber dans un lac souterrain qui l’entraîne…dans la préhistoire ! Sans réseau, sans supermarché, sans savon et sans …voyelles ! Franck a bien du mal à se faire à son nouvel environnement, entouré d’une tribu aussi disparate que délirante, il va devoir faire face pèle mêle à des cannibales, des dinos avant l’heure, des lapins hypnotiques, et j’en passe.

 

Mais contre toute attente, Franck va réaliser qu’il n’est pas le seul à avoir été victime de la boucle spatio-temporelle et les révélations et rebondissements vont venir encore enrichir un quotidien déjà chargé !

 

J’avais lu le premier tome de Frnck à l’occasion d’une fête de la BD et avais trouvé ça sympa mais pas révolutionnaire, le principe du héros se retrouvant dans un environnement anachronique n’étant pas neuf.

Pourtant, mes deux gamins ayant beaucoup accroché et ayant demandé les tomes suivants au fur et à mesure de leur parution, je me suis décidé, alors que le 7° volet s’est retrouvé au pied du sapin, à me lancer dans la série.

 

 

Et bien c’est peu dire que j’ai bien fait ! Certes le postulat de base est assez classique mais Olivier Bocquet - scénariste touche à tout s'il en est!- trouve tellement de façon d’en tirer parti que la lecture en est continuellement réjouissante. Le premier cycle de 4 albums se conclue par un cliffhanger de haut vol que j’avoue ne pas avoir vu venir, et le second cycle, si toujours sous le signe de l’humour, multiplie les pistes scénaristiques avec un certain brio, rendant l’intrigue plus ambitieuse.

 

Résolument multi-générationnelle, Frnck bénéficie également du graphisme riche de Brice Cossu, certes axé jeunesse ici, avec des influences manga marquées, mais très soigné, aux décors fournis et colorés et aux protagonistes attachants.

 

Pour parfaire ce tableau, on appréciera le rythme de parution soutenu qui fait que l’on a droit à quasiment deux tomes par an depuis les débuts et ce sans aucune baisse de qualité, non, décidément, la préhistoire c’est peut être nul mais surement pas Frnck !

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :JUMANJI WELCOME TO THE JUNGLE

 

 

C'est de qui ? H. Jackman

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Habitué des blockbusters tous genres confondus, du film de super héros  au thriller musclé en passant par la comédie de haut vol, Henry Jackman se retrouve avec la lourde tâche de succéder à James Horner, responsable de la B.O du Jumanji d’origine et décédé depuis.

 

Si le remake hollywoodien n’a pas la fraicheur de son modèle on peut cependant avouer que le score sauve les meubles, le compositeur ayant le sens de l’illustration musicale balisée mais efficace.

 

Jackman utilise ici une opposition intéressante entre les ambiances du monde réel, avec pas mal d’instrumentation acoustique pour évoquer un entourage plus calme, et celles du monde du jeu, où l’action se taille la part du lion à grands coups notamment de cuivres vrombissant et autres percussions tribales du meilleur effet sur certaines parties de Franck.

Rien de très original donc mais un travail d’artisan appliqué qui remplit tout à fait son office et qui, en alternance avec d’autres œuvres du même acabit, fait une B.O très en phase avec ces deux premiers cycles de la série de Bocquet et Cossu.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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2 novembre 2020 1 02 /11 /novembre /2020 09:20
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi  LE RENARD DE MORLANGE

 

 

C'est de qui ? L’Hermenier & Moreau adaptent Surget.

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Jungle

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Un nobliau qui use et abuse de son rang (mais ne nous leurrons pas cela devait être monnaie courante à l’époque) se voit frappé par un vieil homme qu’il vient de malmener d’une malédiction qui le fait se changer en renard à la pleine lune jusqu’à ce qu’il retrouve ses vêtements au matin.

Hors un jour, son épouse, malheureuse, découvre le pot aux roses et s’empare des habits de son détestable époux.

Voilà notre triste sire obligé de rester sous sa forme animale et de vivre une existence difficile qui va lui ouvrir les yeux sur ses propres méfaits et défauts.

 

A la manière d’un conte d’antan, d’une fable à morale, Alain Surget, auteur à succès de livres pour la jeunesse, imagine cette histoire de renard garou et de rédemption que Maxe L’Hermenier, qui s’est déjà frotté avec une certaine réussite à l’adaptation de contes comme on l’a vu chez nous, traduit en BD, avec certes un peu de raccourcis coté thématique mais tout en arrivant à garder le fond du propos intact, le tout via une narration sans temps morts.

 

 Mathieu Moreau au dessin livre un travail agréable, avec des décors détaillés et réalistes et des personnages aux traits marqués assez cartoony, le tout dans des couleurs vives qui ne sont pas sans faire penser aux canons de la BD jeunesse.

Impression appuyée par le dossier  éducatif qui vient compléter l’album.

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :LA FAMEUSE INVASION DE LA SICILE PAR LES OURS.

 

 

C'est de qui ? R. Aubry

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Il semblerait que non.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? A l’ère de la course à la 3D toujours plus performante, à des visuels qui cherchent à se rapprocher au plus de la réalité, le monde de l’animation a été parcouru l’an passé par un vent de fraicheur appelé La Fameuse invasion de la Sicile par les ours.

 

Adaptation d’un roman de Buzzati réalisée par l’auteur de BD Lorenzo MAttoti (avec Jean Luc Fromental au scénario), ce dessin animé en deux D délicieusement old school a en plus la chance d’avoir une B.O signée René Aubry, compositeur de musiques essentiellement fonctionnelles, pour le grand écran mais aussi beaucoup pour la scène.

 

Multi-instrumentiste autodidacte et doué, Aubry livre ici une partition inspirée entre autre choses par le folklore de l’Italie du Sud, où la mandoline a une place prépondérante parmi tout un panel d’instruments, le tout respire la joie et l’allégresse, même si quelques passages sont plus mélancoliques.

 

René Aubry s’approprie à merveille les codes de la musique de dessin animé pour mieux les transcender et cette belle B.O s’apprécie bien avec le Renard de Morlange version BD.

 

 

 

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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26 août 2020 3 26 /08 /août /2020 13:01

 

Quasiment aussi anciens que remontent les traditions orales, les contes et légendes ont souvent des origines communes. Ainsi il n’est pas rare de retrouver des éléments similaires aux récits, peu importe leur provenance.

 

Cette rentrée nous propose deux albums de contes qui vont ravir les plus jeunes lecteurs – ainsi que leurs parents, croyez-moi sur parole- qui nous viennent de l’est où l’on retrouve nombres de points communs avec les classiques de notre enfance.

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LE ROI DES OISEAUX

 

 

C'est de qui ? Alexandre Utkin

 

 

La  Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Gallimard

 

 

Déjà croisé sur le site? Non

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans Le Roi des Oiseaux une petite souris, ayant refusé de partager une pomme d’or avec son compère l’oiseau, va déclencher une guerre entre les animaux et les oiseaux dont les bêtes  sortiront grandement affaiblies. Le souverain des volatiles sera secouru par un marchand qui, après l’avoir nourri pendant trois longues années, se verra offrir un coffre en or renfermant une maison magique qui lui coûtera cependant son premier né.

 

Vous l’aurez compris, les péripéties en série sont le lot de ce fort bel album inspiré du folklore russe illustré avec un talent rare par Alexandre Utkin dont c’est la première incursion dans le 9° Art. On peut dire que ce coup d’essai est un coup de maître tant sa narration est entraînante, et son coup de crayon - à mi chemin du style jeunesse et de la caricature amusante – aux couleurs chatoyantes, rend ce conte fantastique à plus d’un titre !

 

 

 

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LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LE CONTE DU GENEVRIER

 

 

C'est de qui ? N. Tamarit

 

 

La  Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de L’Etrange

 

 

Déjà croisé sur le site? Oui

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Autre album à destination d’un large public, celui-ci   librement adapté d’un récit des frères Grimm, Le Conte du Genévrier   rappellera clairement Blanche Neige avec cette femme souhaitant avoir un enfant au teint blanc et aux joues rouges qui, une fois son vœu exaucé, va trépasser et laisser son petit garçon aux mains d’une marâtre qui ira jusqu’à s’en débarrasser d’une assez horrible façon, avant de le faire cuire et le donner à manger à son père (oui hein !).

 

Comme souvent dans les histoires de ce genre les thèmes abordés sont multiples et si les enfants apprécieront  le livre pour son coté fantastique et ses multiples rebondissements, les plus grands goûteront l’alliance du fond et de la forme que propose  l’auteure espagnole qui nous avait déjà ravi ici avec son adaptation du jeu du Loup Garou (déjà chez le même éditeur) ou encore le plus récent et très maîtrisé Géante.

 

Son graphisme rond et coloré, lui aussi aux confluents des genres, rend à merveille ici, et vient faire  du Conte du Genévrier une nouvelle pépite dans la collection des Merveilleux Contes de Grimm chez les Aventuriers de l’Etrange.

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : KRIMHILD RACHE

 

 

C'est de qui ? G. Huppertz

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Fritz Lang se lance au début des années 20 dans l’adaptation de la légende des Nibelungen avec une envie de grand spectacle qui se sent à chaque séquence de son double film fleuve (4 heures en tout). Quasiment un siècle après sa sortie le long métrage du réalisateur allemand pourrait encore servir d’exemple à pas mal de faiseurs actuels.

 

Pour la musique Le message est clair d’emblée : elle ne doit pas rappeler celle de la version de Wagner, Lang n’en étant pas du tout amateur.

Huppertz, dont c’est la première incursion dans le 7° Art, va livrer une partition épique à souhait qui s’inspire certes de ses prédécesseurs compatriotes mais lorgne aussi sur les travaux des compositeurs russes –Prokoviev en tête-  tout en optant pour une dimension foncièrement descriptive.

 

Il est vrai que la grandeur, pour ne pas dire grandiloquence de certains passages colle bien mieux au Roi des Oiseaux qu’au Conte du Genévrier, la galette durant près de deux heures il y a largement de quoi trouver chaussure au pied du conte de Nuria Tamarit, notamment dans les passages plus dramatiques où les cordes reprennent un peu du poil de la bête après avoir été dominées par les cuivres sur une grande partie des pistes.

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  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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