14 février 2020 5 14 /02 /février /2020 15:15
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LES SPECTACULAIRES DEPASSENT LES BORNES

 

 

C'est de qui ? Hautière et Poitevin

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, ensemble sur les précédents tomes.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Voilà que le président himself enjoint notre équipe de ( plus ou moins) super héros de prendre part à une course automobile entre Paris et Berlin qu’ils doivent de plus impérativement remporter afin qu’Arsène Lapin, le tristement célèbre  monte en l’air, restitue les documents compromettants qu’il a subtilisés dans le coffre de l’édile.

 

Déjà au volant des véhicules improbables de Pipolet c’est une gageure, si en plus un étrange individu mal intentionné vient leur mettre des bâtons dans les roues (c’est le cas de le dire), les Spectaculaires ne sont pas encore arrivés dans la capitale teutonne !

 

Un nouveau tome de cette fort sympathique série en forme de road movie décalé, riche en rebondissement et truffé de clins d’œil à tout un pan de la BD Franco-belge avec des caméos à foison, mais pas que, et qui, cerise sur le gâteau, se clôt sur un cliffhanger qui remet une pièce dans la machine pour la suite !

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

C'est quoi : THOSE MAGNIFICENT MEN IN THEIR FLYING MACHINES

 

 

C'est de qui ? Ron Goodwin

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui quelques fois.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Avec un titre aussi explicite que farfelu, qui doit probablement être l’un des plus longs sinon le plus long de toute l’histoire du 7° Art, ces Merveilleux fous Volants est un des fleurons de la comédie britannique décalée, toutes époques confondues.

 

On y assiste à une course de divers engins volants (enfin en théorie) plus improbables les uns que les autres, dirigés par des pilotes de toute nationalité.

 

Vous aurez évidement noté les points communs entre le scénario du film et celui de ce nouveau tome des Spectaculaires et il va s’en dire qu’avec ses mélodies digne des plus enjouées fanfares, ses thèmes très « années folles », ses emprunts à des choses aussi inattendues que les hymnes nationaux de certains des pays représentés dans la course ou à des œuvres classiques détournées avec humour, le score de Ron Goodwin fait une B.O idéale pour notre lecture !

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 


 

 

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4 mars 2018 7 04 /03 /mars /2018 10:33

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : PETRA CHERIE

 

 

C'est de qui ? Micheluzzi

 

 

La Couv':

 

Fatale espionne  /  Petra Chérie

 

 

Déjà lu chez nous? Oui

 

 

 

C’est édité chez qui ? Mosquito

 

 

 

Une planche:

 

 

Fatale espionne  /  Petra Chérie

 

 

 

Ca donne Quoi ? L’Europe est enlisée dans la Première Guerre Mondiale, en Hollande, Pétra, jeune femme idéaliste autoproclamée espionne, descend des avions allemands, déjoue des trahisons d’envergure ou encore élimine des ennemis dérangeants.

Aventurière de fortune, accompagnée de son mentor asiatique, elle sillonne les contrées et les mers, tout en ayant le chic de se fourrer dans des situations tendues dont elle arrive toujours à se sortir tant bien que mal. Elle visitera également le Moyen orient et l’Afrique, et nous la laissons en bien mauvaise posture à Jérusalem, dans un récit qui restera donc inachevé.

 


C’est en 77 que Micheluzzi débute la publication des aventures de son héroïne au look empruntée à Louise Brooks.

 

 

Fatale espionne  /  Petra Chérie

 

Après quelques épisodes où il cherche le rythme de son récit, le dessinateur italien s'amuse avec les lignes avec les ombres mais également dans sa narration puisqu'il n'hésite pas à prendre à partie le lecteur voir même ses personnages; personnages dans lesquels, chez les seconds rôles, on croit reconnaître les anciennes stars du septième art, Eroll Flyn, Valentino, Marlène Dietrich…  .
 

C'est à partir de 1980 que les histoires courtes comment à se suivre pour en former de plus longues.
 

Je pense que si Pétra n'a pas eu le succès d'un Corto Maltese c'est peut-être parce qu'elle s'est arrêtée trop tôt et que le manque de matériau pour justement proposer des histoires  en album lui a fait défaut.

 

Louons les éditions Mosquito d’avoir sorti à l’époque en intégrale ce petit chef d’œuvre, aujourd’hui difficilement trouvable à un prix raisonnable semble t-il les éditions Mosquito ayant d'ailleurs perdu les droits ssur l'auteur),  que j’ai redécouvert avec plaisir.

 

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? OPERATION CROSSBOW

 

 

C'est de Qui ?  Ron Goodwin

 

 

La couv' 

 

Fatale espionne  /  Petra Chérie

 

 

Déjà entendu chez nous? Oui.

 

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Quasi spécialiste du score de film de guerre, le britanique Ron Goodwin dévelope pour Opératio Crossbow tout le savoir faire acquis sur des classiques comme Battle of Britain  ou Where Eagles Dare.

 

Pour ce film qui emprunte pas mal au genre espionnage (des soldats anglais doivent saboter un projet nazi d’armes à longue portée) ; Goodwin débute avec un thème aux accents très patriotiques avant d’enchainer sur des passages plus dynamiques aux rythmiques martiales pour illustrer les passages avec l’armée allemande.

 

Une poignée de pistes aux accords plus romantiques (sur les scènes où figure notamment  Sophia Loren) fait office de respiration bienvenue au milieu d’une B.O par ailleurs assez rugissante, surtout pour quelques uns des récits de cette intégrale de Pétra, plus axés sur le suspense.

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

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3 mars 2018 6 03 /03 /mars /2018 14:58
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  INFINITY 8.  ET RIEN POUR FINIR

 

 

C'est de qui ? Boulet, Trondheim

 

 

La Couv':

 

 

La fin approche!  /  Infinity 8. Et rien pour finir  Vs.  The Trap

 

Déjà croisés dans le coin? Oui pour Trondheim

 

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres

 

 

 

Une planche:

 

 

La fin approche!  /  Infinity 8. Et rien pour finir  Vs.  The Trap

 

 

Ca donne Quoi ? Exit les agents sexys des 6 premiers volets, remplacés par une sorte de créature extraterrestre reptilienne qui se retrouve incorporé à une escouade chargée d’aller voir ce qui se trame dans la mausolée géante sur la route de l’Infinty.

 

Sauf que sur cet épisode, enfin, on sort du schéma des précédents et avons droit à une variation inspirée et plus conséquente de la boucle spatio-temporelle avec une intrigue qui court sur toute l’existence du héros et influe réellement sur le scénario.

 

Est-ce que Trondheim, associé ici à Boulet qu’il retrouve ici 10 ans après Donjons, s’est dit qu’il fallait une trame à la hauteur de son dessinateur (scénariste lui aussi) ? On ne saura le dire (et je pense plutôt que l'intégralité de la trame était écrite dés le départ de la saga) mais le fait est que la série passe un cap, monte d’un cran même, que l’on aurait peut être aimé voir venir plus tôt.

 

Reste un ultime tome qui devrait donc lever le voile sur l’idée de départ et vérifier si le concept est ambitieux ou si Infinity 8 est surtout une série fun et référentielle.

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

 

C'est quoi : THE TRAP

 

 

C'est de qui ? R. Goodwin

 

 

La Couv':

 

La fin approche!  /  Infinity 8. Et rien pour finir  Vs.  The Trap

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Etonnant comme une B.O écrite pour un film se déroulant dans les grands espaces canadiens peut également bien coller aux ambiances d’un mausolée géant flottant dans l’espace infini.

 

Les montées de cordes luttant contre les cuivres rutilants et les cymbales explosives semblent annoncer la couleur dans un thème d’ouverture sautillant mais le reste du score est plus métissé avec des passages plus sombres où des nappes instrumentales expriment une tension palpable.

 

Goodwin laisse libre cours à sa fantaisie, inspiré par un scénario bien écrit et des plus original et livre là un de ses travaux les plus réussis à bien des égards ; un des meilleurs accompagnement musicaux que l’on ai trouvé pour la série Infinty 8, pour probablement son tome le plus abouti…jusqu’ici !

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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17 août 2017 4 17 /08 /août /2017 13:15

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : SHELTON & FELTER

 

 

C'est de qui ? J. Lamontagne

 

 

La Couv':

 

Duo de choc!  /  Shelton & Felter  Vs.  One of our dinosaurs is missing

 

 

Déjà croisés sur B.O BD? Oui.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Kennes

 

 

 

Une planche:

 

 

Duo de choc!  /  Shelton & Felter  Vs.  One of our dinosaurs is missing

 

 

 

Ca donne Quoi ? On avait perdu de vue Jacques Lamontagne depuis son excellent boulot sur la série Aspic qu’il avait dû abandonner en cours de route, faute semble t-il de temps pour  mener de front tout les travaux qu’il avait en cours à l ‘époque.

 

C’est donc avec grand plaisir qu’on le retrouve, seul aux manettes  (mais en ayant soin de laisser la colo à Scarlett Smulkowski), avec Shelton et Felter, parue chez Kennes, série en gestation depuis dix ans !

 

On y rencontre un duo improbable composé d’un aspirant pigiste, ex boxeur et d’un libraire plein de tocs mais possédant une faculté d’observation qui rendrait Sherlock Holmes jaloux. Nos deux héros vont, bon gré mal gré, s’associer pour donner un coup de main à la police de Boston pour démasquer un serial killer lié au drame de la Mélasse qui frappa la ville quelques années plus tôt.

 

Comme tout bon premier tome cette Mort Noire sert surtout à présenter les principaux protagonistes et l’enquête, si intéressante et tirée d’un fait réel, m’a semblé passer en second plan par rapport à la mise en place générale. Les personnages sont bien campés et la série s’annonce dores et déjà prometteuse, le second volet emmenant nos enquêteurs sur les traces de vampires !

 

L’album est complété d’un cahier graphique fort bien fait, expliquant la genèse du projet et montrant notamment la technique de Lamontagne à partir de photos.

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? ONE OF OUR DINOSAURS IS MISSING

 

 

C'est de Qui ?  Ron Goodwin

 

 

La couv' 

 

 

Duo de choc!  /  Shelton & Felter  Vs.  One of our dinosaurs is missing

 

 

 

Déjà entendu chez nous? Oui une poignée de fois

 

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Ce fort obscur film « live » de chez Disney qui date du milieu des années 70, s’il est tombé dans l’oubli, comme bon nombre des productions mineures de l’époque du studio aux Grandes Oreilles, a la particularité d’avoir une B.O signée Ron Goodwin qui figure parmi les plus fun du compositeur.

 

Singeant avec subtilité les grands scores d’espionnage de la décennie précédente, il démarre par un thème de générique des plus catchy et insuffle ensuite une dose d’humour potache à grands coups de faits d’armes orchestraux, tout cuivres dehors.

Il nous gratifie  même d’une pincée d’exotisme via des phrasés orientalisants bien incorporés au reste de la partition.

 

Un rien de suspense vient compléter ce score réjouissant qui, si peut être un peu trop enthousiaste par moments sur le tome 1  de Shelton et Felter, l’accompagne plutôt bien dans l’ensemble.

 

 

 

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Une Chronique de Fab

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10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 16:18

 

 

Quelque chose de bien plus old school, avec un duo de stars au casting, et qui s'inscrit dans la continuité du cycle "Blade Runner Blues", initié avec The Long Tomorrow de Moebius et O'Bannon :

 

 

 

LA BD :

 

 


C'est quoi : BLADE RUNNER : A MARVEL SUPER SPECIAL

 


C'est de qui : Al Williamson & Archie Goodwin

 

 

La Couv' :

(Toujours plus) de Science, (une bonne dose de) Fiction  /  Blade Runner : A Marvel Super Special Vs. E2-E4

Déjà lu sur le site ?

 

 

Une planche :

 

 

Ca donne Quoi ? Il y a généralement peu à attendre des adaptations de films en bandes dessinées. Toutefois, comme on a pu le constater dernièrement avec Cabal, lorsque producteurs et éditeurs s'accordent pour mettre sur le coup des artistes compétents, la donne peut se révéler payante. On l'aura compris, c'est donc plutôt à cette seconde catégorie que se rattache la version "papier" du Blade Runner de Ridley Scott. 

 

Publiée par Marvel en 1982, dans sa collection Super Special, agrémentée d'une splendide couverture de Jim "Nick Fury" Steranko, avant d'être rééditée sous la forme d'une mini-série en deux volumes, la BD bénéficie de la double expérience du scénariste Archie Goodwin, jadis pilier de Creepy, et du dessinateur Al Williamson, ancien collaborateur de Frank Frazetta.

 

Les deux hommes n'en sont pas à leur première collaboration, puisque parmi une tripotée de séries, ils ont animé pendant plus de dix ans les aventures de Secret Agent X-9, lancées par Dashiell Hammett et Alex Raymond, le créateur de Flash Gordon... que Williamson reprendra également à la fin des années 60.

 

Du scénario de David Peoples et Hampton Fancher, lui même basé sur le roman de Philip K. Dick, Do Androids Dream of Electric Sheep ?, Goodwin conserve dans ses grandes lignes la structure principale, mais se voit contraint de l'élaguer pour le faire rentrer dans le format d'une cinquantaine de pages qui lui est alloué.

 

Les puristes crieront sans doute au scandale, mais il faut reconnaître que les choix de coupes opérés par Goodwin se révèlent judicieux et lui permettent de tirer davantage l'intrigue dans le champ du pur roman noir futuriste, option en parfait accord avec l'esthétique du film de Ridley Scott. La voix-off du héros, présente dans la version proposée en 1981 aux spectateurs devient dès lors un élément narratif nullement redondant qui permet même au scénariste d'intégrer quelques anecdotes, absentes du film, sur le passé de Deckard en tant que Blade Runner, les liens qui l'unissent à son supérieur Bryant, ou sur les incroyables capacités physiques de Roy Batty. 

 

 

 

Le dessin de Williamson est au diapason du travail de réécriture de Goodwin. Le grand soin qu'il apporte aux détails architecturaux (la pyramide de la Tyrell Corporation, la chambre d'Eldon Tyrell ou encore la cage d'escalier du Bradbury Hotel où vit J.F. Sébastien) rend justice aux nombreuses recherches artistiques effectuées par Sid Maid sur le design de Los Angeles.

 

Sans aller jusqu'à égaler l'impressionnante photographie du film, ni à retranscrire à la perfection son ambiance sombre et poisseuse, le dessinateur livre une prestation des plus respectables (même si ses personnages ne ressemblent qu'une case sur cinq aux acteurs dont il sont sensés s'inspirer...), réhaussée par un encrage subtile et une mise en couleur à laquelle le passage du temps confère un grain et une patine que Photoshop a peu de chance de nous offrir un jour.    

 

Sans être un chef d'oeuvre insurpassable, le comics de Blade Runner n'a donc nullement à rougir de son statut d'oeuvre de commande et assure, haut la main, la mission qui est la sienne : prolonger, avec style, le plaisir de visionnage du film dont il est tiré. Toutes les adaptations ne peuvent pas en dire autant.

 

 

La BD étant assez difficile à dénicher, voici un lien qui permettra aux curieux de la lire dans son intégralité. 

 

Le cycle "Blade Runner Blues" se poursuit avec Do Androids Dream of Electric Sheep ? de Tony Parker.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? E2-E4

 

 

C'est de Qui ? Manuel Göttsching

 

 

La couv' :

 

 

Déjà croisé sur B.O BD ? Non

 

 

On peut écouter ? Les neufs titres de l'album sont disponibles en... six parties sur le Tube.

.

 

 

Ca donne Quoi ? Enregistré, selon la légende, en une seule prise, la nuit du 12 décembre 1981, par l'ancien guitariste d'Ash Ra Tempel, E2-E4 propose une 1ère partie (à l'époque du vinyle-roi, on parlait de "face") électronique résolument tournée vers l'avenir, qui va progressivement céder la place à une suite pour guitare très 70's. Cette opposition machine vs. humanité n'est évidemment pas anodine dans une proposition d'accompagnement musical à l'adaptation en comics de Blade Runner

 

Poussant plus loin la comparaison avec l'oeuvre de Ridley Scott, Manuel Göttsching offre avec son album un dialogue musicalement novateur entre beats répétitifs qui unissent, dans leurs boucles lancinantes, sonorités synthétiques et analogiques (chants d'oiseaux, ambiances aquatiques) au final très humaines et sons de cordes folks, nostalgiques d'un rock progressif - ou, pour le cas de Göttsching, d'un "Krautrock" - déclinant.  

   

"Chant d'adieu à la jeunesse [...], aux illusions, aux révolutions" (in Electro 100, Olivier Pernot, Ed. Le Mot et le Reste), E2-E4 incarne enfin une certaine conception de la bande-son de demain que quelques musiciens (dont Vangelis...) tentaient d'élaborer à l'époque où Scott s'efforçait d'imposer, à des producteurs obtus, sa vision cinématographique du monde de demain. Trente-cinq ans plus tard, à en juger par l'influence toujours intacte, dans leurs domaines respectifs, des deux oeuvres de l'Allemand et de l'Anglais, on peut parier qu'ils avaient vu juste. 

 

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Une chronique de Lio

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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