5 janvier 2018 5 05 /01 /janvier /2018 13:20

 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : ALWILDA TOME 1.

 

 

C'est de qui ? Mitton

 

 

La Couv':

 

 

La dernière des Vikings?  /  Alwilda 1  Vs.  Le Dernier des Vikings

 

Déjà lu sur B.O BD? Oui

 

 

Une planche:

 

 

La dernière des Vikings?  /  Alwilda 1  Vs.  Le Dernier des Vikings

 

Ca donne Quoi ? Il semblerait que Jean Yves Mitton, vieux routard de la BD franco-belge n’ait pas encore réglé tous ses comptes avec les vikings.

Plus de vingt ans après les Chroniques Barbares il nous revient avec l’adaptation d’une légende nordique contant la saga d’une jeune femme hors du commun qui, refusant de se plier aux lois ancestrales et injustes du Norglaw se révolte contre l’époux brutal que lui a imposé son père et s’enfuit avec un drakkar chargé d’or, d’armes, et d’une cargaison de jeunes vierges qui deviendront son équipage de pirates.

 

Les amateurs des séries pseudo-historiques de Mitton seront en terrain connu ; Awilda est une femme forte, aux formes généreuses (qui passe deux bons tiers de l’album à les exposer d’ailleurs), qui n’est pas sans faire penser à celle de Vae Victis, et l’album se lit d’une traite comme un bon récit d’aventures héroiques classique.

 

Au rayon des bémols on regrettera l’emploi incessant de termes nordiques qui oblige (au départ au moins) à se référer au lexique en fin d’ouvrage (comme c'était déjà le cas dans Chroniques Barbares d'ailleurs)

 

L’album, présenté dans un grand format soigné, est complété d’un petit cahier graphique avec des croquis de personnages.

Les amateurs complétistes fortunés pourront même jeter leur dévolu sur une version « Artiste Edition » ; néanmoins pour leur éviter toute mauvaise surprise notons pour être tout à fait honnête que  le concept même de ces éditions, fort répandues aux States n'est pas le même que chez nos amis d'Outre Atlantique où, à des prix équivalents, la pagination est multipliée par 15 voir 20. 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? LE DERNIER DES VIKINGS

 

 

C'est de Qui ?  R. Nicolosi

 

 

La couv' 

 

La dernière des Vikings?  /  Alwilda 1  Vs.  Le Dernier des Vikings

 

 

Déjà croisé dans le coin? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? En parrallèle des westerns et des péplums, un autre genre en vogue en Europe du sud dans les années 60 est le film de vikings.

Par exemple, cette année 1961 verra Mario Bava en réaliser deux coup sur coup, tous deux mis en musique par Roberto Nicolosi (avec de flagrantes ressemblances entre les deux scores avouons le).

 

S’inspirant évidement du film de Fleischer avec Kirk Douglas, que ce soit à la mise en scène comme à la musique, ce Dernier des Vikings est plein de cuivres dans des registres graves, cherchant à sonner comme des cors ou je ne sais quel autre instrument que les producteurs de cinéma pensaient être en vogue à l’époque des vikings, on y trouve aussi force percussions et pas mal de pistes dédiées à l’action et au suspense bien plus passe partout.

 

A défaut d’originalité ou d’une quelconque véracité historico-folklorique on appréciera la variété des atmosphères et l’esprit grand spectacle de l’ensemble, bien agréable avec ce premier volet d’Alwilda.

 

 

 

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4 janvier 2018 4 04 /01 /janvier /2018 17:35

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : L’AIMANT

 

 

C'est de qui ? L. Harari

 

 

La Couv':

 

Etrange Attraction  /  L'Aimant  Vs.  Gone Girl

 

Déjà lu chez nous? Non

 

 

C’est édité chez qui ?  Sarbacane

 

 

Une planche:

 

 

Etrange Attraction  /  L'Aimant  Vs.  Gone Girl

 

 

 

Ca donne Quoi ? Un jeune homme, étudiant en architecture, obnubilé par les thermes de Vals, en Suisse, après avoir échoué à rédiger sa thèse, décide de se rendre sur place afin de se confronter au lieu.

 

Entre l’étrangeté de la construction, un centenaire acariâtre, une légende locale fantastique, un spécialiste suspect ou encore une jeune femme décidée, il est loin d’être prêt à affronter son destin.

 

Pour un premier album, Lucas Harari ne passe pas loin du coup de maître. Sur un scénario ambitieux où les genres s’entremêlent, il livre une partie graphique diablement intéressante où –là aussi- les influences se mélangent. Au réalisme poussé des décors et –surtout- de l’architecture de son lieu principal (étonnants thermes !) il associe des personnages croqués dans un style ligne claire assez années 90.

Le travail sur les couleurs, notamment les bleus, est également assez impressionnant et participe en plein à l’ambiance de l’album.

 

Dans un registre moins barré et, peut être du coup, un peu moins original, l’irruption du fantastique dans l’enquête du héros n’est pas sans faire penser à la trilogie X’ed Out de Charles Burns (lire notre chronique musicale).

 

Seuls petits bémols de mon coté : une des pistes scénaristique –le chercheur et sa théorie sur les thermes romains- peu exploitée bien qu’intéressante (mais peut-être que de ce coté c’était déjà bien riche), une mise en page parfois difficile à suivre et une fin un rien abrupte qui laisse des questions en suspens.

Pour autant L’Aimant reste une belle découverte à la pagination généreuse et à l’édition fort soignée, curieux de voir ce que Lucas Harari va proposer ensuite !

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? GONE GIRL

 

 

C'est de Qui ?  Atticus Ross et Trent Reznor

 

 

La couv' 

 

Etrange Attraction  /  L'Aimant  Vs.  Gone Girl

 

Déjà entendu sur B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? L’ancien front man de Nine Inch Nails retrouve son collaborateur Atticus Ross pour leur troisième collaboration sur un long de David Fincher et puisqu’il semblerait que l’on ne change pas une équipe qui gagne (qui gagne quoi je ne sais pas mais bon passons), ils gardent la formule de musique quasi-exclusivement atmosphérique, minimaliste au possible.

 

Reznor explique que l’idée de la trame musicale principale, purement tonale, lui est venue d’une musique censée être relaxante ayant finalement l’effet inverse. Et effectivement ce calme apparent dissimule souvent une tension palpable évoquée par de claviers éthérés, une distorsion tendue voire un déchainement musical rare mais efficace.

Ross de son coté rajoute à ce tissu sonore des effets inattendus, crissements métalliques, voix humaines, boucles de guitares trafiquées etc…

 

Si pas forcément ma tasse de thé en tant que tel, il faut reconnaître une certaine réussite dans l’’illustration musicale dérangeante et un effet très intéressant sur l’Aimant.

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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2 janvier 2018 2 02 /01 /janvier /2018 17:39

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : LE SUAIRE

 

 

C'est de qui ? Liberge, Prieur, Mordillat.

 

 

La Couv':

 

Tissu saint?  /  Le Suaire  Vs.  La Passion de Jeanne D'Arc

 

 

Déjà lu chez nous? Oui pour Liberge.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Futuropolis.

 

 

 

Une planche:

 

 

Tissu saint?  /  Le Suaire  Vs.  La Passion de Jeanne D'Arc

 

 

 

Ca donne Quoi ? A l’aube de l’an 2000, athée convaincu, j’ai eu l’occasion de lire un ouvrage intelligemment intitulé Jésus contre Jésus, qui proposait une vision originale du mythe de Jésus, écrit par Gérard Mordillat, et Jérôme Prieur, qui, ensemble ou séparément, en littérature comme à l’écran, ont ensuite continué leurs analyses et travaux sur le sujet.

 

Cette nouvelle année débute avec leur premier scénario commun de bande dessinée, le Suaire, qui, sur la trame d’une histoire d’amour  à travers les époques, évoque, vous vous en doutiez, la religion, la croyance et ce que les hommes sont prêts à faire pour.

 

Ce premier volet se déroule en 1537 en Champagne où un homme d’église va tromper son monde en présentant un faux suaire au peuple afin de récolter des oboles pour la construction d’une église, avec la complicité forcée de Lucie, une jeune religieuse tourmentée par son amour interdit pour son cousin, évèque de Troyes.

C’est ce triangle amoureux que nous retrouverons dans les deux prochains albums se déroulant dans des lieux et époques différents.

 

Tissu saint?  /  Le Suaire  Vs.  La Passion de Jeanne D'Arc

 

Le suaire de Turin, figure scénaristique centrale de la trilogie,  avait déjà fait l’objet d’un album concept, Trois Christs (lire la chronique musicale ici) qui interrogeait le lecteur sur la véracité de la relique et son pouvoir de suggestion.

 

Ici les auteurs ont choisi le parti pris de présenter le linceul comme un faux (ce qu’il est comme la datation au Carbone 14 l’a prouvé) préférant avec subtilité s’intéresser aux relations des hommes avec la religion, l’amour et le pouvoir.

 

Au dessin on retrouve un Eric Liberge diablement ( !) inspiré par son sujet qui livre un travail en noir et blanc remarquable que ce soit dans le soucis du détail de décors foisonnants, de paysages enneigés saisissants ou encore de personnages très expressifs qui n’ont plus du tout ce petit rien de figé photo-réaliste que l’on pouvait trouver dans les albums de « jeunesse » (il faudra un jour que je termine Tonnerre Rampant d’ailleurs !).

Son trait est probablement le meilleur vecteur que pouvaient espérer les scénaristes pour ce premier tome fort.

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? VOICES OF LIGHT

 

 

C'est de Qui ?  R. Einhorn

 

 

La couv' 

 

Tissu saint?  /  Le Suaire  Vs.  La Passion de Jeanne D'Arc

 

 

Déjà entendu sur B.O BD? Non.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? A l’époque de la sortie du Jeanne d’Arc de Dreyer les musiques de films étaient jouées en direct dans les salles lors des projections, la version de la vie (et de la mort) de la Pucelle par le réal’ Danois n’en n’avait donc pas de définitive même si, par exemple, une partition écrite par Leo Pouget et Victor Alix accompagnait la diffusion parisienne.

 

Dreyer n’en n’était cependant pas amateur et ne réussit jamais à se décider sur une version définitive malgré pas mal de propositions.

 

Comme on l’a vu déjà par le passe chez nous, pas mal de compositeurs du siècle dernier ont donné leurs versions de B.O pour des films d’avant l’âge du parlant.

 

La Passion de Jeanne D’Arc ne déroge pas à la règle avec cette œuvre par l’américain Richard Einhorn qui, dans les années 80, cherchait un sujet religieux et se vit conseiller l’histoire de Jeanne d’Arc, ses recherches l’amenèrent à visionner le film de Dreyer auquel il décidé de consacrer sa partition.

 

Auteur d’une poignée de B.O de films d’horreur de seconde zone entre 77 et 89 le compositeur, qui a pas mal touché aussi à l’électro (d’époque n’est ce pas), joue ici dans une catégorie bien supérieure puisqu’il s’inspire notamment de manuscrits anciens datant du moyen âge.

Le livret, pour soliste féminine, chœurs et orchestre a rencontré un vif succès lors de projections publiques et sa nature éthérée et solennelle se marie assez bien avec ce Suaire, premier du nom.

 

 

 

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30 décembre 2017 6 30 /12 /décembre /2017 17:35

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : LES LAMES D’APRETAGNE

 

 

C'est de qui ? Monin, Courric, Venries.

 

 

La Couv' du second tome:

 

Fan-Tasy aiguisée!  /  Les Lames d'Apretagne  Vs. L'Epée Sauvage

 

Déjà lu chez nous? Probable.

 

 

 

C’est édité chez qui ? Casterman

 

 

 

Une planche:

 

 

Fan-Tasy aiguisée!  /  Les Lames d'Apretagne  Vs. L'Epée Sauvage

 

 

Ca donne Quoi ? Faire de la fantasy aujourd’hui est un pari risqué, même si, comme c’est le cas ici, elle verse dans la parodie/comédie.

Nous avons vu, plus tôt dans l’année, que la démarche pouvait donner lieu à de franches réussites (lire par exemple notre chronique de Vénosa).

 

C’est également le cas avec les Lames d’Apretagne qui, part sur une base plutôt classique : deux héros que tout opposent deviennent inséparables, l’un d’eux, trahi par sa sœur et spolié de son héritage au trône va tenter de reconquérir son dû en partant dans une quête hautement dangereuse.

 

Les deux tomes déjà parus de cette nouvelle série se défendent  bien sur le créneau avec leurs protagonistes bien campés et attachants, son rythme soutenu, ses nombreux rebondissements, ses twists et références originaux et autres jeux de mots pas mal trouvés (même si certains sont volontairement un peu lourds).

 

Le graphisme dans un style semi-réaliste qui n’hésite pas à verser parfois dans la caricature, est à l’avenant, coloré, riche en détails et très vivant.

Un futur classique ? Peut être, une série qui plaira aux afficionados de fantasy bien ficelée, surement !

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? L’EPEE SAUVAGE

 

 

C'est de Qui ?  O. C Ocampo

 

 

La couv' 

 

 

Fan-Tasy aiguisée!  /  Les Lames d'Apretagne  Vs. L'Epée Sauvage

 

 

 

Déjà entendu sur B.O BD? Non

 

 

On peut écouter?

 

https://www.youtube.com/watch?v=PKoQU40f4co

 

 

 

Ca donne Quoi ? Au début des années 80 (non ce n’est pas le début d’un morceau de I am), les resucées du Conan le Barbare de Milius se mirent à fleurir comme un amandier au printemps, espérant surfer sur son succès.

 

Evidement, les 4/5 de ces productions manquaient drastiquement de …tout pour réussir à réitérer l’exploit.

Cette Epée sauvage, co-production americano-argentine qui date de 1983, avec son histoire de quêtes d’artefacts par un guerrier mandaté par une sorcière (sic !) ne déroge pas à la règle et serait probablement restée dans les limbes des séries B oubliables si l’on ne l’avait déterrée aujourd’hui pour profiter (encore que !) de sa B.O.

 

Non content de singer Poledouris, lui même déjà fortement inspiré par le grand Prokoviev, Ocampo y va même de ses petits emprunts à Morricone, proposant l’ultime mash-up entre fantasy et western (le tout passablement cheap of course).

 

L’ensemble avec ses cuivres pompiers, son piano pompeux –mais reconnaissons le original-, ses quelques effets électro d’époque bien dispensables mais heureusement pas trop envahissants,  délivre une ambiance old school assez décalée pour être tout aussi fun que le scénario des Lames D’Apretagne, on ne lui en demandait pas plus !

 

 

 

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26 décembre 2017 2 26 /12 /décembre /2017 08:09

 

En général la fin de l'année, avec ces cadeaux sous le sapin, est synonyme ici de rattrapage coté BD pour lesquelles on serait "passé à coté" (lire "pas reçu en S.P et mis en wishlist pour l'occasion"), c'est le cas  avec cet album hautement original sorti probablement un peu en catimini mais qui mérite qu'on le découvre.

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : PAPA ZOGLU

 

 

C'est de qui ? S. Spruyt

 

 

La Couv':

 

Du médieval...surréaliste!  /  Papa Zoglu  Vs.  The sahpe of Medieval music to come

 

Déjà lu sur B.O BD? Oui.

 

 

Une planche:

 

 

Du médieval...surréaliste!  /  Papa Zoglu  Vs.  The sahpe of Medieval music to come

 

 

 

Ca donne Quoi ? Né d’une vache à la suite d’une manipulation magique qui a mal tourné, élevé par une vieille sorcière, Zoglu, un enfant portant cheveux dorés et…moustache, va parcourir le monde, toujours plus à l’ouest, pour retrouver ses vrais parents.

 

Dans cet ouvrage iconoclaste au possible,  on croise pêle-mêle, des chevaliers teutoniques ouvertement gays, une dame nymphomane en détresse dont le chevalier de mari, jaloux au possible, est mort aux croisades, emportant avec lui la clé de sa ceinture de chasteté, un seigneur sanguinaire, une femme à barbe, une cousine éloignée de la Baba Yaga et sa maison poule, une épouse accouchant de dizaines de veaux, j’en passe et des meilleures !

 

Simon Spuryt, dans un graphisme soigné qui emprunte à l’iconographie médiévale, reprenant les codes visuels des enluminures et illustrations d’époque, nous livre un album hautement réjouissant, à des lieux de Juncker, son précédent, avec lequel il partage cependant une originalité manifeste, loin, très loin, des canons de la BD actuelle.

 

Conte cruel à mi chemin entre ceux de Canterbury (revus par Pasolini) et les classiques du genre, Papa Zoglu est l’ovni de cette fin d’année et l’une de mes lectures les plus dépaysantes de 2017 !

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

C'est Quoi ? THE SHAPE OF MEDIEVAL MUSIC TO COME

 

 

C'est de Qui ?  Vox Vulgaris

 

 

La couv' 

 

Du médieval...surréaliste!  /  Papa Zoglu  Vs.  The sahpe of Medieval music to come

 

 

Déjà entendu chez nous? Jamais

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Quartet qui nous vient de Suède, Vox Vulgaris est composé de musiciens d’horizons fort différents réunis par la passion de la musique médiévale, l’un de ses fondateurs est par ailleurs historien et essayiste.

 

Sur leur seul album à ce jour, qui date de 2003 et qui me laisse à penser qu’il n’y en aura donc pas de second, ils proposent une vision assez enthousiasmante de la musique d’époque puisque leurs compositions sont en fait basées sur le modèle du free jazz ou du jazz fusion, à savoir une improvisation instrumentale continuelle en partant d’une base mélodique et rythmique.

 

La gaieté et l’entrain sont souvent de mise sur cette galette ô combien originale et assez rare et qui fait une bien jolie compagne musicale aux errances décalées de notre Zoglu.

 

 

 

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