22 novembre 2017 3 22 /11 /novembre /2017 08:31

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : SERVITUDE. V. SHALIN.

 

 

C'est de qui ? David et Bourgier

 

 

La Couv':

 

Fantasy en Série  /  Servitude V  Vs.  Shadow Of Mordor

 

Déjà croisés sur B.O BD? Oui

 

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

 

Une planche:

 

 

Fantasy en Série  /  Servitude V  Vs.  Shadow Of Mordor

 

 

Ca donne Quoi ? Le roi Akanor et ceux qui ont survécu à la bataille du 3° tome (il y à 6 ans déjà !) poursuivis par une alliance –fragile-  menée par Othar de Vériel.

Des deux côtés des hauts murs les tensions entre factions et peuplent sont au plus haut et, alors que le siège commence, on sent que la moindre étincelle mettra le feu aux poudres dans un camp comme dans l’autre.

 

Evidement dire que Servitude est une série qui aura pris son temps est un euphémisme mais la qualité est au rendez-vous, que ce soit du coté d’un scénar qui nous propose ici un cas de siège classique mais bien mené avec en trame de fond les luttes de pouvoir des différentes factions, comme de celui d’un dessin réaliste aux proportions épiques et aux personnages bien campés (même si quelques visages sont assez semblables parfois).

 

 

 

Ce tome V, qui devait être le dernier fait monter la tension en se recentrant plus sur l’action et on sent que la fin –que l’on espère voir venir plus rapidement que le reste de la série- sera aussi tragique que brutale.

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? SHADOW OF MORDOR

 

 

C'est de Qui ?  Garry Schyman & Nathan Grigg

 

 

La couv' 

 

Fantasy en Série  /  Servitude V  Vs.  Shadow Of Mordor

 

 

Déjà entendu chez nous? Non

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Les connaisseurs auront compris que le jeu vidéo dont nous avons utilisé la B.O pour ce nouveau tome de Servitude est dérivé de l’univers de Tolkien.

Of course c’est dans la lignée de l’adaptation par Peter Jackson qu’est sorti Shadow Of Mordor et ce dernier, tout comme la société Wetta, ont même été consultés pendant le développement du soft ; on peut donc considérer que la franchise est respectée.

Pour être tout à fait complet, l’action du jeu se déroule entre les deux grands textes de Tolkien (Le Hobbit et le Seigneur des Anneaux pour ceux qui viendraient de se réveiller d’un siècle d’hibernation).

 

Coté B.O on sent que les moyens ont également été mis en place.

Plus d’une heure de musique (sans compter l’illustration sonore « accessoire »), composée à quatre mains par deux américains au répertoire pas forcément très glorieux mais à qui l’on ne pourra pas reprocher de d’être impliqués dans leur tâche.

En effet, au sein d’une orchestration résolument grandiloquente avec force explosions de cuivres et de chœurs  guerriers, l’utilisation de choses aussi surprenantes que le Waterphone et ses sonorités inharmoniques rythmiques ou encore la Boîte à tonnerre rajoutent une dose d’originalité bienvenue en mêlant effets sonores réalistes (si l’on peut dire) à une B.O de fantasy burnée et réussie.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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20 novembre 2017 1 20 /11 /novembre /2017 12:48

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : LA HORDE DU CONTREVENT

 

 

C'est de qui ? E. Henninot

 

 

La Couv':

 

 

Grand air sur l'adaptation BD  /  La Horde Du Contrevent  Vs.  The Wrath of Khaan

 

Déjà lu chez nous? Oui

 

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt

 

 

 

Une planche:

 

 

Grand air sur l'adaptation BD  /  La Horde Du Contrevent  Vs.  The Wrath of Khaan

 

 

Ca donne Quoi ? Dans un monde post-apocalyptique, ravagé par des vents aussi destructeurs qu’incessants, un peuple forme des groupes d’élite afin d’essayer de joindre le bout de la terre et de découvrir l’origine des vents.

 

Il y a de ça presque 20 ans, j’ai fait la connaissance d’Eric Henninot, à l’époque où il n’avait pas encore percé dans la BD mais qu’il y croyait déjà dur comme fer et avait un vrai talent de dessinateur en devenir (et une passion pour Caza si mes souvenirs sont bons).

 

De loin en loin j’ai suivi sa carrière, avec la série Alister Kayne , les Chroniques de Légion ou encore Fils du Soleil , j’attendais donc de voir ce qu’il allait donner, enfin en cavalier seul, sur l’adaptation de longue haleine du  roman d’Alain Damasio semble t-il culte auprès de ses fans.

 

Si coté dessin et narration  graphique je n’ai clairement pas été déçu, je suis un peu plus réservé sur l’histoire en elle-même.

Avec des planches souvent chargées de texte (pour ne pas dire bavardes), chose assez courantes me direz-vous dans le cas d’une adaptation littéraire, on est dans un contexte où l’on manque un peu je trouve d’informations sur le background pour vraiment accrocher. Les personnages font aussi un peu manichéens pour vraiment les apprécier même si certains se détachent clairement.

 

Reste une partie graphique très aboutie, au réalisme parfois prenant tellement il est poussé, avec des protagonistes expressifs et des grandes cases et pleines pages à couper le souffle (c’est le cas de le dire).

 

Je serais je pense de la suite afin de voir si j’arrive à rentrer un peu plus dans l’histoire.

 

 

 

 

LA MUSIQUE :

 

 

 

 

 

C'est quoi : LA COLERE DE KHAN

 

 

C'est de qui ? J. Horner

 

 

La Couv':

Grand air sur l'adaptation BD  /  La Horde Du Contrevent  Vs.  The Wrath of Khaan

 

Déjà croisé sur B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Bon nombre de fans, dont je n’ai pas l’honneur de faire partie, sont d’accord pour affirmer que cet épisode sur grand écran de Star Trek est le meilleur de la franchise.

Ce qui est certain c’est qu’il possède une B.O de genre remarquable composée par James Horner, qui n’avais pas encore 30 piges et arrivait en lieu et place de Goldsmith devenu trop cher pour la prod’.

 

Horner propose une musique sombre et chargée d’émotions, loin de l’aspect héroïque du premier film, ses arrangements sont plus complexes et amènent une dose de tension et de danger aux pistes traditionnellement dédiées à l’action et l’aventure propres à Star Trek.

 

S’il utilise le cor et d’autres cuivres, il évite cependant de les faire sonner comme une fanfare (si l’on excepte les traditionnels rappels au thème principal), jouant même ensuite sur des plages sonores de cordes agrémentées d’effets électroniques atmosphériques d’un plus bel effet.

 

Horner n’hésitera pas à réutiliser des éléments de ce score (qui marque son entrée dans la cour des grands) sur ses futurs succès que sont Aliens ou Cocoon.

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

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19 novembre 2017 7 19 /11 /novembre /2017 17:27

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : ELRIC. LE LOUP BLANC.

 

 

C'est de qui ? Blondel, Telo, Recht, Cano.

 

 

La Couv':

 

Fantasy en série (culte)  /  Elric  Vs.  The Dark Knight Rises

 

Déjà lus sur le site? Oui.

 

 

C’est édité chez qui ? Glénat

 

 

Une planche:

 

 

Fantasy en série (culte)  /  Elric  Vs.  The Dark Knight Rises

 

 

Ca donne Quoi ? L’Albinos le plus célèbre de la fantasy s’est fait la malle de Melnibonée afin d’échapper à la haine de son cousin l’usurpateur. Incognito, le voici qui, connu comme le Loup Blanc ( !) parcourt les mers et les terres, abreuvant au besoin l’inextinguible soif de sa damnée compagne, Stormbringer.

A l’occasion d’une gorgée d’âmes pour cette dernière, notre anti-héros fait la connaissance de celui qui va devenir un fidèle compagnon, Smiorgan Tête Chauve, avec qui il va se rendre à Dakhos où une énigmatique jeune femme va l’entrainer dans un voyage  spatio-temporel dont il se serait bien passé.

 

A peu près à la même époque où j’ai découvert dévoré les nouvelles du Conan de R. E Howard, j’ai également lu la saga d’Elric de Michael Moorcock. Si bien moins emballé par les mésaventures de l’atypique mélnibonéen que par celles du farouche barbare (question d’âge et de sensibilité je présume), presque 30 ans après je garde pour l’Albinos une sympathie toute particulière.

 

Les quelques tentatives d’adaptations BD sorties de par le passé (dont une fort belle de P. Craig Russell) ne m’ayant jamais convaincu, je dois dire que la dream team rassemblée par Glénat me fait, depuis le début de leur série, plutôt bon effet, même si c’est, soyons honnête, plus par la partie graphique que par l’histoire en elle même (qui fait ici un brin accessoire  d’ailleurs) bien que les modifications proposées soient intéressantes (gageons en effet qu’à l’époque de ma première lecture, une Cymoril impératrice à la poitrine généreuse offerte aux regards m’aurait surement plus accroché que la version des romans).

 

L’année prochaine Glénat enfonce le clou (à coup de marteau de guerre !) en proposant des associations de la crème de la crème des scénaristes/dessinateurs du moment qui adapteront…Conan.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ?   THE DARK KNIGHT RISES

 

 

C'est de Qui ?  H. Zimmer

 

 

La couv' 

 

Fantasy en série (culte)  /  Elric  Vs.  The Dark Knight Rises

 

Déjà entendu sur B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Vous devez vous dire : De deux choses l’une, ou le rédac’ chef de B.O BD nous prend pour des jambons quand il affirme abhorrer Hans Zimmer ou alors il est clairement maso.

En effet, pour quelqu’un qui clame à qui veut l’entendre que je ne peux pas encadrer les compositions du rouleau compresseur teuton, je trouve qu’on croise un peu trop souvent ses œuvres dans ces colonnes

 

Avec la multiplication des films de super héros ces dernières années force est de constater que les musiques de ces longs métrages sont au moins toutes aussi bâclées, attendues et codifiées que les films proprement dit.

Et donc qui de mieux que le patron de Remote Control (ou l’un des quelconques membres interchangeables de son écurie) pour remplir le job ?

 

Ainsi, sur le troisième volet de la reprise du Batman sur grand écran, le mot d’ordre est à l’efficacité basique et froide, au grand spectacle conjuguant avec une application forcenée métronomique et pyrotechnique. Cuivres écrasants, rythmiques marteau piqueur et autres effets de bourdonnements électroniques sont donc de la fête pour une absence d’originalité dans les thématiques aussi criante que possible.

 

Néanmoins on ne peut nier l’impact évocateur de la fabrique Zimmer, surtout sur du divertissement burné, que celui-ci soit cinématographique ou…bédéphilique.

Dont acte.

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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19 novembre 2017 7 19 /11 /novembre /2017 08:53

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

 

 

C'est quoi : LES MONDES DE THORGAL : LA JEUNESSE /KRISS DE VALNOR.

 

 

C'est de qui ? Yann, Surzenkho, Dorison, Mariolle & Vigneaux

 

 

Les Couv':

 

Fantasy en série (sans fin!) /  Les Mondes de Thorgal  Vs.  Journey
Fantasy en série (sans fin!) /  Les Mondes de Thorgal  Vs.  Journey

 

 

Déjà croisés sur B.O BD? Tous oui.

 

 

Des planches:

 

 

La Jeunesse de Thorgal. Slive.

La Jeunesse de Thorgal. Slive.

Kriss de Valnor. La Montagne du Temps.

Kriss de Valnor. La Montagne du Temps.

 

 

Ca donne Quoi ? Alors que d’un coté, sur la Jeunesse de Thorgal,  Yann, en roue libre, continue de s’amuser avec le vivier de personnages d’une série mère passée du coté mercantile de la force voilà bien des années, en mélangeant pistes éventuellement intéressantes mais aux développement maladroits (et autres jeux de mots bien inutiles), Dorison et Mariole, pour leur second Kriss de Valnor, semblent avoir bien du mal à se dépêtrer des fils narratifs amorcés en amont.

 

Outre un Deus-ex-machina en la présence du poignard coupeur de temps, le procédé pourtant éculé narrativement du (des) double, fait ici encore plus artificiel et n’apporte pas à l’histoire une quelconque tension (même si semble t-il c’était la volonté). En fait de Kriss, la moitié de l’album est consacrée à Jolan et son affrontement avec Magnus ; là aussi on tombe dans du cliché de duel à mort dans un environnement hostile (et surréaliste !) et les scénaristes nous font un Predator/Rambo 1 à la sauce Thorgal.

 

Au final ce sont les dessinateurs qui tirent le mieux leur épingle du jeu ici ; Sur la Jeunesse, Surzenkho, avec deux séries en moins sur les épaules, rend une copie plus appliquée que les précédentes tandis que sur Kriss de Valnor, Fred Vigneaux, pour son arrivée dans le Thorgal-Verse ne démérite pas face à ses prédécesseurs avec un trait certes parfois inégal (le visage de Thorgal est assez étrange par exemple) mais qui a un petit coté old-school/fiumetti qui n’est pas pour me déplaire.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? JOURNEY

 

 

C'est de Qui ?  A. Wintory

 

 

La couv' 

 

Fantasy en série (sans fin!) /  Les Mondes de Thorgal  Vs.  Journey

 

 

Déjà entendu dans le coin? Deux ou trois fois

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Vaguement inspiré au départ sur le bouquin de Joseph Campbell, Journey est un jeu vidéo relativement abstrait dont le succès a été quasi unanime.

Les joueurs incarnent des personnages dans un désert qui se dirigent vers une montagne et dont le seul mode de communication est la musique.

 

Wintory qui a déjà collaboré avec les concepteurs du jeu auparavant, conçoit sa musique comme un concerto pour violoncelle à plusieurs instruments solistes : violoncelle donc (l’instrument représentant le personnage du joueur), harpe, viole, flutes alto et basse et serpent, le tout complété par un orchestre de cordes.

Les instruments jouent des variations du thème principal en fonction de l’évolution du jeu, de l’interaction entre les éléments.

 

Si hautement conceptuelle, la musique de Journey n’en reste pas moins très mélodique, variée et, vous vous en seriez douté, originale.

 

Une vraie bouffée d’air frais sur la lecture de ces deux spin offs de Thorgal qui en avaient bien besoin même si il n’y a pas eu de miracles pour autant.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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18 novembre 2017 6 18 /11 /novembre /2017 08:05

 

 

Honte à moi, pas de chroniques musicales hier alors que pourtant j'avais du stock, mais un emploi du temps chargé et les enfants à la maison m'ont détourné de ma mission sacrée!

 

Pour la peine un cycle fantasy avec, minimum, trois chroniques ce week-end, de la nouveauté, de l'indépendant et du classique...

 
 
 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : GAULTIER DE CHALUS 1.

 

 

C'est de qui ? Pelaez & Giraud

 

 

La Couv':

 

 

Fantasy en série (B)  /  Gaultier de Chalus 1  Vs.  The Haunting

 

 

 

Déjà lus chez nous? Jamais.

 

 

 

 

Une planche:

 

 

Fantasy en série (B)  /  Gaultier de Chalus 1  Vs.  The Haunting

 

 

 

Ca donne Quoi ? La France au XIV° siècle, Gaultier de Chalus qui suite aux défaites face à l’anglais et à la disparition de sa femme et de sa fille, n’est plus que l’ombre du chevalier qu’il a été, est devenu traqueur de monstres et autres chimères.

Les habitants d’une petite ville terrorisée par un loup sanguinaire font appel à lui et, s’il y va en renâclant, il va vite réaliser que les vieux démons ne dorment jamais très longtemps.

 

J’étais passé à coté de cette série éditée chez Des Ronds dans l’Océan, et je suis assez content d’avoir eu l’occasion de rattraper ce manque. En effet si ce premier volet introductif n’est pas parfois sans faire penser à d’autres choses (le film Pacte des Loups, la série de Bonhomme & Vehlmann le Marquis D’Ananon) il présente un personnage anti-héros charismatique et énigmatique et le concept porte en soi des possibilités quasi infinies.

 

L’autre très bon point de Gaultier de Chalus c’est son graphisme original, façon illustration à l’ancienne, tout en couleurs directes (le must !), c’est ce qui sort à mon goût la série du lot et apporte une vraie plus value.

 

Un second tome vient de paraître, qui a plutôt confirmer toutes ces bonnes impressions (éventuelle chronique à venir un de ces quatre, quand je me serais dépêtré de tout ce que j'ai en attente en ce moment! )

 

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

 

 

C'est Quoi ? THE HAUNTING

 

 

C'est de Qui ?  J. Goldsmith

 

 

La couv' 

 

Fantasy en série (B)  /  Gaultier de Chalus 1  Vs.  The Haunting

 

 

Déjà entendu chez nous? Oui.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Si on lui préférera évidement les pierres angulaires - dans le même genre - que sont Alien, Poltergeist ou encore La Malédiction, le score de ce remake (par ailleurs peu inventif) prouve s’il était encore besoin que Goldsmith était un maître dans l’art de construire et faire monter la tension et l’effroi musical.

 

Par petites touches, subrepticement, les thèmes se développent et passent d’une ambiance faussement éthérée à un déluge musical parfois tout bonnement effrayant. Le compositeur injecte, comme c’était son habitude à l’époque, une dose d’électronique intéressante à une partition au final assez classique mais efficace, si les violons y ont une place prépondérante les percussions massives et la flute apportent une touche bienvenue.

 

Pourtant il faut bien le reconnaître, si c’est l’un des derniers grands scores du maestro dans le registre on sent déjà une sorte de facilité dans l’écriture, voire de paresse via l’autocitation.

 

Reste une œuvre très recommandable que les fans de B.O d’épouvante ne pourront qu’apprécier et qui est plus que conseillée avec ce premier volet de Gaultier de Chalus.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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