21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 17:23

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : BLANCHE NEIGE. LA FILLE A LA CHEVELURE MAGIQUE.

 


C'est de qui : Trif

 

 

La Couv':

 

Cycle BD X  /  Blanche Neige  Vs. Portrait of terror

 

Déjà croisé sur le site? Oui.

 

 

C’est édité chez qui ? Tabou

 

 

Une planche:

 

Cycle BD X  /  Blanche Neige  Vs. Portrait of terror

 

Ca donne Quoi ? On a croisé pas mal de versions dites « adultes » des contes classiques dans nos pages et, comme on l’a souvent fait remarquer, si l’on efface les interprétations de tonton Walt, devenues hélas pour beaucoup la norme, il s’avère que ces récits ne sont truculents que dans leurs formes d’origine, bien souvent loin d’être des histoires pour enfants.

 

L’italien Trif l’a bien compris puisque, depuis quelques années, il s’est attaché à réécrire des indémodables comme Cendrillon ou Blanche Neige en version érotique dans lesquelles il ne manque pas une occasion d’afficher la plastique affolante de ses héroïnes.

 

Si la trame reste foncièrement la même que celle que l’on connaît, l’artiste au trait semi réaliste sensuel a développé le rôle du Prince et mélange subtilement deux histoires puisque ce n’est rien moins que Raiponce qui s’invite à la fête, ce qui donne lieu à une poignée de scènes saphiques et autres ménages à trois excitants et parfois forts drôles.

 

Ajoutons à cela une utilisation maligne de Simplet, un prince pas des plus charmants,  ou encore la réhabilitation de Grimilde dans son rôle de marâtre (doublée d’un nympho sadique et, forcément, narcissique) le tout saupoudré d’une bonne dose d’humour et de pas mal d’action, on peut dire que la Blanche Neige made in Tabou est une réussite du genre.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? PORTRAIT OF TERROR

 

 

C'est de Qui ? J. Ottman

 

 

La couv'

 

Cycle BD X  /  Blanche Neige  Vs. Portrait of terror

 

Déjà entendu sur B.O BD? Oui.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Celui qui deviendra le composeur quasi-attitré de Bryan « les films de Super-héros, c’est moi » Singer s’est également fait une spécialité des scores de films d’horreur.

 

Un an après avoir écrit une B.O inspirée pour une version sombre de …Blanche Neige (tiens !), il est mandaté pour mettre en musique un nouveau chapitre de l’éssouflée franchise Halloween qui, le septième tout de même, n’a vu le jour que parce que le réalisateur en vogue Kevin Williamson (Scream) et l’actrice has-benn Jamie Lee Curtis sont associés à son nom.

 

Faute de temps, le projet cafouille un peu niveau post-prod et ce ne sont qu’une partie des pistes d’Ottman qui seront retenues pour le film, mélangées hasardeusement à des chutes de scores d’autres films de Marco Beltrami à qui échouera la tâche ingrate de tout assembler au mieux (enfin le cas échéant on devrait écrire « au pire »).

 

Et c’est bien dommage car le travail original d’Ottman, qui porte les séquelles de la B.O du Blanche Neige sus-cité notamment dans les chœurs et murmures féminins, pendants sombres des gimmicks de Elfman, s’il sacrifie bien évidemment aux codes du slasher, n’en reste pas moins fort varié et ne se cantonne pas à n’être qu’une bête illustration de genre.

 

Ce mélange d’ambiances est à redécouvrir dans sa forme originale, pourquoi pas en lisant cette version débridée des contes de Grimm ?

 

 

 

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Une chronique de Fab

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21 janvier 2017 6 21 /01 /janvier /2017 08:36

 

 

Si en temps normal je ne suis pas attiré par tout ce qui est "financement participatif", j'avais fait une exception pour le recueil de courts X de Joel Jurion qui je viens de recevoir.

Le voici donc en ouverture d'un cycle consacré -encore! ^^- à la BD X ce week-end.

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : CENT PUDEURS

 


C'est de qui : J. Jurion et Scebha

 

 

La Couv':

 

Cycle BD X  /  Cent Pudeurs  Vs.  Delta Of Venus

 

Déjà croisé sur le site? Non

 

 

Une planche:

Cycle BD X  /  Cent Pudeurs  Vs.  Delta Of Venus

 

Ca donne Quoi ? Si je ne suis pas forcément adepte/favorable à la grande mode de ces dernières années du financement participatif (essentiellement à cause de la dérive mercantile du procédé, mais ceci est une autre histoire), certains projets ne verraient peut être jamais le jour sans le crowdfunding.

 

Ainsi le recueil qui nous intéresse aujourd’hui est né grâce à la plateforme ulule sur laquelle il a connu un succès assez colossal (plus de 200% du but initial).

 

On y trouve 9 récits courts de Joel Jurion, dessinateur de Klaw entre autres, qui se livre ici à l’exercice périlleux de l’anthologie érotique, voire carrément pornographique, dans un style graphique hybride intéressant.

 

Comme à la grande époque des mythiques Eerie, Métal Hurlant et autres, Cent Pudeurs tape dans tous les genres : post apocalyptique, Fantasy, SF, humour… le dénominateur commun étant une sexualité exacerbée donnant lieu à des scènes X parfois fort crues. 

 

 

Cycle BD X  /  Cent Pudeurs  Vs.  Delta Of Venus

 

Comme souvent dans le concept même du récit court, si certains fonctionnent très bien comme ils sont, une poignée des histoires du recueil sont bien trop brèves, créant une certaine frustration (ce qui, pour une BD érotique est un peu un comble !) et l’on se prend à espérer que, au vu du succès de cette campagne, Joël Jurion aura l’occasion d’en développer quelques unes sur la longueur d’un récit complet (les choix évidents étant La Cause, Le Monde D’après mais surtout La Bataille de Tombe Rouge).

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? DELTA OF VENUS

 

 

C'est de Qui ? G. S. Clinton

 

 

La couv'

 

 

Déjà entendu sur B.O BD?  Pas plus d’une paire de fois je dirais.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Ce n’est évidemment pas le nom de Zalman King, réalisateur de navets érotiques soft, qui m’a attiré vers cette B.O mais bien celui de Georges S Clinton (rien à voir avec le gourou du P Funk).

 

Pourquoi me demanderez vous, vu qu’au palmarès du bonhomme on trouve les deux Austin Powers (ouch !) et un Mortal Kombat (re-ouch !) ? Et bien tout simplement car il est également responsable de la musique O combien réussie de Wild Things (Sexcrimes en VF, mention spéciale au traducteur n’est ce pas !), élément clé de la réussite d’un film qui, autrement, aurait pu ne rester que la série B qu’il aspirait à être.

 

Pour cet improbable relation sexuelle SM entre une écrivain américaine et un compatriote dans le Paris des années 40, Clinton cultive son goût pour les musiques atmosphériques à base de nappes bariolées entre l’ambiant électro et le folklore new-age sans pour autant tomber dans le maniérisme ou la facilité commerciale.

 

Nous l’avons déjà dit, trouver de la musique adéquate pour un ensemble de récits de genre différents n’est certes pas chose facile, il s’avère que le choix d’un underscoring racé est une option des plus viable !

 

 

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Une chronique de Fab

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18 décembre 2016 7 18 /12 /décembre /2016 11:31

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : IRONWOOD

 


C'est de qui : B. Willingham

 

 

Une Couv':

 

Cycle BD X  /  IronWood  Vs.  Camelot

 

Déjà croisé chez nous? Plutôt oui, c'est le scénariste de Fables!

 

 

Une planche:

Cycle BD X  /  IronWood  Vs.  Camelot

 

Ca donne Quoi ? Dix ans avant Fables, fleuron du comics, s’il en est, toutes catégories confondues, Bill Willingham s’essayait avec Ironwood, et avec une certaine réussite, à la BD X multi-genres.

 

Dans un monde fantasy, un héros hâbleur et sur de lui est engagé par une capitaine  de vaisseau pour retrouver un sorcier qui doit ôter la malédiction qui pèse sur elle. En cours de récit la jeune femme rencontre une golem nymphomane qui va également lui porter assistance…dans tous les domaines !

 

Si les scènes de sexe sont nombreuses et explicites, le titre est néanmoins rempli d’humour, que ce soit dans les répliques à double sens, les situations loufoques ou encore les personnalités de certains second rôles.

 

Coté graphisme Willingham s’en sortait plutôt bien, son trait semi réaliste en noir et blanc, parfois très détaillé (non je ne parle pas que de l’anatomie des protagonistes !) est agréable et bien dans l’esprit de l'époque et du titre.

 

Cycle BD X  /  IronWood  Vs.  Camelot

 

Les amateurs de fantasy qu’elle soit basique ou un peu décalée ( que ce soient les pastiches de la BD franco-belge ou les trips cinématographiques, de Tygra à Ronal Le Barbare), ceux qui ont passé des heures autour d’une table de jeu de rôle (AD&D en tête), trouveront cette lecture fort divertissante et si le scénario n’est clairement pas aussi fouillé que celui de Fables, il n’en reste pas moins très fun à suivre et, surtout, n’est pas qu’un prétexte à la gaudriole.

 

Beaucoup des futurs thématiques de la série (Fables donc !) sont, en substance, déjà présents dans Ironwood qui est probablement l’une des BD X les plus « recommandables » que l’on ait croisées dans nos cycles.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? QUEST FOR CAMELOT

 

 

C'est de Qui ? P. Doyle

 

 

La couv'

 

Cycle BD X  /  IronWood  Vs.  Camelot

 

Déjà croisé par ici ? Oui.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Mettons évidemment tout de suite de coté la poignée de chansons interprétées par un casting de stars (également responsable des voix du film en V.O) et dignes des plus mauvais Disney de la dernière décennie ce qui, vous le savez, n’est pas chez nous gage de qualité, pour ne nous intéresser qu’au travail musical de Patrick Doyle.

 

Malade à l’époque de la composition, Doyle ne bâclera pas pour autant le travail, mélangeant certains des motifs typiquement shakespeariens que l’on retrouve dans ses admirables collaborations avec Kenneth Branagh aux envolées épiques qu’il a pu écrire pour Shipwrecked.

 

L’enchainement parfois frénétiques des scènes du dessin animé (qui, précisons le, sera un bide mérité, n’est pas tonton Walt qui veut !), handicape fortement l’unité du travail de Doyle que les moments d’éclats (les chœurs mâles lyriques ou les incursions folkloriques recherchées) rattrapent bien.

 

Du score aussi varié que grand spectacle – de qualité – qui ajoute encore à la bonne humeur coquine et potache d’Ironwood.

 

 

 

 

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Une chronique de Fab

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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 19:10

 

 

Suite de notre cycle coquin avec un album complètement déjanté par l'un des auteurs les plus intéressants de sa génération. Un one-shot hommage qui méritait bien une chronique à 4 mains!

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : LORNA

 


C'est de qui : Brüno

 

 

La Couv' :

 

Cycle BD X  /  Lorna  Vs.  The Bogey Man

 

Déjà lus chez B.O BD? Oui.

 

 

Une planche:

Cycle BD X  /  Lorna  Vs.  The Bogey Man

 

Ca donne Quoi ? Savoureux melting pop de la sous culture des années 50 à 70, Lorna est un hommage irrévérencieux de Brüno à toute cette ambiance insouciante et décomplexée.

 

Avec sa bichromie jaune et blanche rappelant les pages défraichies de vieilles revues de gare, ce one shot généreux est une déclaration d’amour  aux vieux nanars de science-fiction et autres films dits Grindhouse sans aucune censure, avec de jolis plans explicites de cul, de sang et de situations incongrues.

 

Difficile de raconter cette histoire d'invasion extra terrestre, de mutation génétique, de savants fous et de pin ups pas farouches (et accessoirement actrices de films pornos) sans se prendre les pieds dans le tapis.

 

Le style hors norme de Brunö est une évidence sur cette association de petits sketchs reliés par un fil rouge et prenant  tout leur sens au fil de pages qui défilent bien vite.

 

On déplorera éventuellement une fin abrupte et sèche qui peut générer une légère frustration tant on aurait aimé en lire encore davantage.

 

Lorna n'est ni plus ni moins que la genèses de Pornopia d'une part pour les nombreuses scènes de… ahem… d'accouplement et de Tyler Cross pour sa violence, le tout enrobé d'un second degré salvateur pour un délire total qui ne plaira certainement pas à tous mais en réjouira beaucoup d'autres dont l'auteur de ces lignes (et le rédac chef également !)

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi THE BOOGEY MAN

 

 

C'est de Qui ? Tim Krog

 

 

La couv' 

 

Cycle BD X  /  Lorna  Vs.  The Bogey Man

 

Déjà entendu par ici? Non.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Ce n’est clairement pas de moi de proposer une B.O où le synthé, surtout le synthé typique des 80’s, pourtant les trois têtes pensantes derrière l’acronyme SST lorgnent sans vergogne vers les premiers travaux de John Carpenter en usant et abusant du Mini-moog alors tout récent et clairement hype.

 

Si The Boogey Man n’est qu’un film d’épouvante de plus parmi les multiples slasher fleurissant durant ces années là, sa B.O reste assez déroutante et fort efficace dans son genre même s’il ne faudra pas y chercher d’instruments live.

 

Cheap est d’ailleurs le premier mot qui vient à l’esprit même si, au fur et à mesure, on reconnaitra aux compositeurs un sens de la mélodie et de la thématique catchy, voire imparable.

 

De la musique vintage et complètement datée qui fera un compagnon aussi psychédélique que surréaliste à une BD cul- hommage des plus délirantes.

 

 

 

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Une chronique de Jet & Fab

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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 08:15

 

 

 

Si on aurait - très justement - pu nous taxer de clientélisme pour le cycle BD X du mois dernier, celui-ci (qui va encore faire exploser les stats) est honnêtement motivé par l’actualité du genre  et par des œuvres atypiques s’il en est…(et puis je doute que qui que ce soit vienne se plaindre de toute façon n’est-ce pas ^^)

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : GARDEN OF FLESH

 


C'est de qui :  G. Hernandez

 

 

La Couv':

 

Cycle Bd X  /  Garden Of The Flesh  Vs.  Salome Last Dance

 

Déjà croisé sur le site? Une paire de fois oui.

 

 

Une planche:

Cycle Bd X  /  Garden Of The Flesh  Vs.  Salome Last Dance

 

Ca donne Quoi ? Le co-auteur de Love and Rockets et d’une poignée de projets persos aussi divers qu’intéressants  revient en cette fin d’année pour une version de la Bible (c’est d’actualité) un peu…particulière !

 

Hernandez a choisi  en effet de présenter le début de l’Ancien Testament sous un jour pour le moins osé puisqu’il le traite sur le modèle de  l’érotisme, limite X.

 

Adam – qui apparaît avec une érection monstre- et Eve – née de la « semence » d’Adam !- s’envoient en l’air allègrement avant de croquer le fruit défendu (oui, ça ça ne change pas), d’être chassé de l’Eden, puis de donner naissance à Abel et Caïn, ce dernier tuant son frère, bla bla bla, Noé se trouve une femme, fait des galipettes dans tous le sens avec elle (fellation et cravate de notaire incluses !) puis leurs enfants font de même. Arrive le déluge, la construction de l’Arche, les couples d’animaux…bla bla bla…rebelote dans le bateau c’est le lupanar…

 

Cycle Bd X  /  Garden Of The Flesh  Vs.  Salome Last Dance

 

Bref, vous l’avez compris ce Garden of Flesh porte bien son nom, c’est une suite quasi ininterrompue de scènes de cul pour le moins explicites et, reconnaissons le assez répétitives. L’auteur s’est visiblement fait plaisir, dans un style minimaliste coloré pas loin de faire penser aux publications cochonnes d’antan, Tijuana Bibles en tête, il dynamite le sacré mais survole tout de même pas mal son sujet ; un juste milieu entre la version de Crumb et ce Garden Of Flesh aurait pu être excellent.

 

Pour conclure on notera la jolie présentation sous forme de petit livre noir, dans le genre carnet Moleskine, peut être un brin cher pour ce que c’est, la petite (aux deux sens du terme) centaines de pages, avec ses deux cases à chaque fois, se lisant fort vite.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? SALOME LAST DANCE

 

 

C'est de Qui ? Divers

 

 

La couv' 

 

Cycle Bd X  /  Garden Of The Flesh  Vs.  Salome Last Dance

 

Déjà entendu sur B.O BD?  Certains oui.

 

 

On peut écouter? Une des oeuvres entendues dans le film puis ce dernier dans son intégralité:

 

Ca donne Quoi ? Après le succès de Gothic, le sulfureux Ken Russell décide d’adapter Salomé la magnifique pièce d’Oscar Wilde (écrite en français pour la petite histoire).

 

Plutôt que de simplement se contenter du texte d’origine (probablement un brin court en tant que tel pour en faire un long métrage), il imagine une mise en scène de la pièce jouée devant Oscar Wilde lui-même en visite dans sa maison close de prédilection.

 

Vous savez, si vous venez nous voir au moins de temps à autre, que je suis un grand amateur du poète irlandais et je considère Salomé comme étant l’une de ses œuvres les plus réussies, Si je ne suis pas forcement amateur de l’œuvre de Russell, que je trouve datée et empruntée parfois, il faut reconnaître qu’il a su capter l’esprit de l’œuvre ‘et du personnage) de Wilde avec réussite.

 

Coté musiques, Rimsky-Korsakov, Satie, Debussy ou le moins célèbre mais tout aussi apprécié - chez nous en tout cas, on l’a croisé à quelques reprises – Jacques Ibert sont les compositeurs dont les œuvres parcourent cet étonnant film, et la légèreté entraînante alterne avec des choses un brin plus austères mais toujours atypiques. Tout ne sied pas à Garden Of Flesh mais quelques-uns des morceaux ont été fort agréables.

 

 

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Une chronique de Fab

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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