30 mai 2022 1 30 /05 /mai /2022 07:32

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? T’ZEE

 

 

C'est de qui ? Appollo & Brüno

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Dargaud

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, les deux, ensemble même.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans un pays d’Afrique Centrale, le dirigeant, T’Zee, un dictateur mégalo et cruel comme le continent en a, hélas, trop connu, vient d’être arrêté, laissant place au chaos.

 

Dans son palais et dernier bastion, Bobbi sa -trop- jeune femme accompagnée de sa suite d’un côté, et, de l’autre, Hippolyte, son fils, plus attiré par les études et la culture que par la politique, flanqué de deux amis, cherchent comment se sortir de cette situation catastrophique.

 

Entre les deux jeunes gens, opposés depuis des années, un amour impossible se révèle, mais probablement bien trop tard, surtout, que, plus grand que sa légende, T’Zée revient dans son palace, bien décidé à ne pas partir sans un dernier sursaut.

 

 

Prenant comme sujet les multiples dictatures africaines, le Zaïre et Mobutu en tête, Appolo, familier de l’Histoire de son pays, écrit avec T’zée  une fiction qui mixe avec brio la tragédie grecque (intéressante construction en 5 actes, quoiqu’un brin déséquilibrée parfois), le vaudou, le catch, et la géopolitique, influences affirmées et assumées.

 

On pense aussi, bien sur, au Cœur des Ténèbres de Conrad et, si la romance entre les deux jeunes gens est finalement un peu mise de côté au profit des évènements, plus grands que les hommes il faut dire, le mélange des genres fonctionne à merveille.

 

 

Pour mettre en image son histoire sauvage il retrouve Brüno, son collaborateur sur Commando Colonial entre autres, qui met toute sa science des cadrages cinématographiques et de la narration au cordeau, le tout dans son style graphique inimitable, magnifié par les couleurs de la toujours talentueuse Laurence Croix, donnant vie avec force à cette évocation fictionnelle mais ô combien ancrée dans une réalité immuable.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :MISSISSPI BURNING

 

 

C'est de qui ? T.Jones

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD?

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? S’il y a bien une expression qui peut décrire la filmographie de Trevor Jones c’est « en dent de scie ».

En effet, le compositeur d’origine sud-africaine a, au milieu de séries B voire Z, une grosse poignée de pépites musicales qui font partie de modèles du genre (quel qu’il soit).

Citons au hasard Excalibur, Angel Heart, Le Dernier des Mohicans, ou encore Dark City.

 

Mississippi Burning est sa seconde collaboration avec Alan Parker, après le très sombre Angel Heart, et Jones y reprend certaines des bonnes idées de ce précédent score : nappes synthétiques menaçantes rythmées par une batterie électronique syncopée, solo déchirant de saxo très jazzy et, underscoring incisif.

 

Il piochera encore une fois, peut être par facilité, dans ce registre pour le thriller pseudo-érotique Sea Of Love l’année suivante, mais avec moins de réussite.

 

L’ambiance générale oscillant entre mélancolie noire, suspense et tragédie de la B.O de Mississippi Burning est de fort bon ton avec ce brulot africain sauce grecque !

 

 

 

 

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19 juin 2020 5 19 /06 /juin /2020 08:08

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  L’HOMME QUI TUA CHRIS KYLE

 

 

C'est de qui ? Nury et Brüno

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Dargaud

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, ensemble même.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Le regretté David Bowie affirmait il y a déjà 15 ans qu’il avait peur des américains. Le présent lui a évidemment donné raison (remarquez c’était déjà clairement le cas à l’époque aussi) et l’escalade n’est probablement pas terminée.

Le nouvel album en commun du duo magique Nury et Brüno vient enfoncer un peu plus le clou en relatant, avec un soucis du détail qui touche au documentaire, l’assassinat de Chris Kyle, ex soldat américain reconverti dans la protection, sniper au tableau de chasse qui fait froid dans le dos, érigé en figure légendaire par une société américaine qui glorifie les armes au point d’en avoir fait le second point de sa constitution.

 

L’histoire de Kyle a marqué les esprits américains et a même traversé les océans via un biopic tourné par Cint Eastwood, réalisateur aux affinités républicaines affichées (qui a entre autre soutenu publiquement l’actuel président des Etats Unis) parfois taxé tour à tour de fasciste ou de réactionnaire mais dont l’humanisme pointe cependant souvent tout au long de sa filmographie.

Ce sont d’ailleurs des citations tirées de films d’Eastwood qui ponctuent le récit de L’Homme qui tua Chris Kyle, lui-même emprunté à un classique du western (et qui, pour l’anecdote, m’a fait m’intéresser au livre au départ).

 

 

Chris Kyle donc, est un personnage aux multiples facettes, américain jusqu’au bout des revolvers, n’exprimant par exemple aucun remords sur ses nombreuses victimes, et ayant été même jusqu’à se rendre à la Nouvelle Orléans dévastée par l’ouragan Katarina où il aurait abattu des pillards (sans pour autant être inquiété par la suite par la justice américaine).

A l’autre extrémité du prisme, Eddie Ray Youth est lui aussi un ex-soldat mais qui n’a jamais connu les combats, qui a été traumatisé par une mission de ramassage de cadavres en Haiti et qui, souffrant d’un PTSD, trouve refuge dans l’alcool, la drogue et l’isolement.

Sa mère demandera à Kyle d’aider Youth à s’en sortir, idée qui se révélera fatale pour le héros américain.

 

Nury décortique les faits, présentant l’histoire sous toutes ses facettes en pointant souvent du doigt l’absurdité du mode de pensée américain, le jusqu’au-boutisme de certains des protagonistes, le cirque médiatique et les excès qui entoureront l’affaire. S’il ne prend pas réellement partie, on sent qu’il tente néanmoins de montrer l’assassin comme un être démuni, dépassé par les événements, incapable de faire face à l’échec de son existence ; le revers de la médaille dorée de Chris Kyle, le cauchemar américain.

 

Brüno quant à lui s’il ne se départit bien évidement pas de tout ce qui fait le charme de son trait, tend ici vers quelque chose de plus réaliste, de bien moins décalé et expressif que sur ses précédentes œuvres.

 

Peut-être un peu long parfois, ce docu-BD touche néanmoins sa cible en plein dans le mille, critique acerbe et éclairée d’une société gangrenée et victime de ses propres démons.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : HORS DE CONTROLE

 

 

C'est de qui ? H. Shore

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Pour le projet de base c’est le –trop rare- compositeur John Corigliano qui est en charge de la musique, mais après pas mal de remous avec au programme notamment un changement de ton et plusieurs scènes retournées, Edge of Darkness n’a  plus grand-chose à voir avec ce sur quoi Corigliano a travaillé plus d’un an auparavant.

 

Ce dernier est passé sur un autre projet est n’est pas plus disponible que ce qu’il est intéressé par la direction qu’a pris le

Shore est probablement l’un des compositeurs les plus influents de sa génération, celui qui a donné une identité musicale imparable à l’adaptation du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson, celui qui a rendu les films de Cronenberg aussi prenants via des scores taillés dans le diamant.

 

Il s’y connaît en thriller puisqu’on lui doit entre autre celui de Seven, d’Eastern Promises, etc… . Ici, série B oblige, il tire des ficelles assez attendues, alternant la tension sourde via des motifs épurés et l’action massive à grands coups d’explosions de cuivres et de crescendos de violons à la limite de l’hystérie (le tout n’étant d’ailleurs pas sans faire penser à certains thèmes de la trilogie de Tolkien)

B.O symphonique s’il en est, le nombre fait la force ici et l’ambiance est lourde tout du long. Ce qui, vous l’auriez compris est fort le cas également sur la BD de Nury et Brüno.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

 

 

 

 

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19 mars 2018 1 19 /03 /mars /2018 08:40
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  TYLER CROSS. MIAMI

 

 

C'est de qui ? Nury et Brüno

 

 

La Couv':

 

Deux truands à Miami  /  Tyler Cross. Miami  Vs.  The French Connection

 

Déjà lus chez nous? Oui, ensemble et séparément

 

 

 

C’est édité chez qui ? Dargaud

 

 

 

Une planche:

 

 

Deux truands à Miami  /  Tyler Cross. Miami  Vs.  The French Connection

 

 

Ca donne Quoi ? Quand Tyler échappe de peu à un guet-apens, il comprend que son avocat l’a balancé ; pour sauver sa peau, ce dernier rencarde Tyler sur un plan supposé juteux dans l’immobilier qui va s’avérer encore pire que prévu.

Mais à Miami come ailleurs, les truands n’ont pas d’honneurs, les flics sont sur les dents et les cadavres s’amoncellent autour d’un Tyler froid comme la lame d’un rasoir et mortel comme une balle de magnum.

 

C’est avec un plaisir intact que l'on retrouve le héros de Nury et Brüno qui continuent dans la veine Noir/Hard Boiled avec ce troisième tome encore plus réussi à mon goût. Le Miami de Nury n’est pas celui clinquant et surfait des clips de hip-hop et des séries TV; si on a bien –un peu- la plage et les jolies filles, ici c’est surtout gangsters torves, plans foireux et autres morts violentes qui font le sel d’une histoire bien sombre où la voix off fait autant d’étincelles que les déflagrations des armes à feu.

 

Le dessin n’est pas en reste, Brüno, lui aussi grand amateur de ciné de genre,  ciselant tel un orfèvre du médium ses protagonistes taillés à la serpe, ses bimbos pulpeuses le tout sur  jeux d’ombres, contrastes et autres à-plats toujours aussi efficaces.

 

Une série déjà classique - que dis-je, incontournable! - dans le genre !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :THE FRENCH CONNECTION

 

 

C'est de qui ? Don Ellis

 

 

La Couv':

 

Deux truands à Miami  /  Tyler Cross. Miami  Vs.  The French Connection

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Probable

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Réussite critique et publique qui lancera la carrière de son réal (Friedkin) et de ses deux principaux interprètes), The French Connection, début des seventies oblige, voit sa B.O très polar mâtinée de jazz voire de funk.

 

Don Ellis, multi instrumentiste, compositeur et arrangeur, n’aimait rien moins qu’à expérimenter sur les rythmiques, les arrangements et la post-prod de ses compositions ; avant de se lancer dans une carrière réussie (mais courte) pour le grand écran, il tourna pas mal avec le groupe qui interprète la musique de The French Connection.

Entre deux pistes riches en tensions, musicales comme évocatives, nous avons droit à un jazz tantôt endiablé, tantôt dissonant,  un groove prenant qui n’a pas grand chose à envier aux travaux de Lalo Schifrin ou Jerry Fielding.

 

A noter que les pistes de Ellis seront réarrangées et déplacées par le réal pour mieux coller aux séquences du film, à la lecture de ce nouveau tome de Tyler Cross il faudra également de temps à autre zapper telle ou telle piste, un peu trop enthousiastes, mais le reste c’est du velours !

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 19:10

 

 

Suite de notre cycle coquin avec un album complètement déjanté par l'un des auteurs les plus intéressants de sa génération. Un one-shot hommage qui méritait bien une chronique à 4 mains!

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : LORNA

 


C'est de qui : Brüno

 

 

La Couv' :

 

Cycle BD X  /  Lorna  Vs.  The Bogey Man

 

Déjà lus chez B.O BD? Oui.

 

 

Une planche:

Cycle BD X  /  Lorna  Vs.  The Bogey Man

 

Ca donne Quoi ? Savoureux melting pop de la sous culture des années 50 à 70, Lorna est un hommage irrévérencieux de Brüno à toute cette ambiance insouciante et décomplexée.

 

Avec sa bichromie jaune et blanche rappelant les pages défraichies de vieilles revues de gare, ce one shot généreux est une déclaration d’amour  aux vieux nanars de science-fiction et autres films dits Grindhouse sans aucune censure, avec de jolis plans explicites de cul, de sang et de situations incongrues.

 

Difficile de raconter cette histoire d'invasion extra terrestre, de mutation génétique, de savants fous et de pin ups pas farouches (et accessoirement actrices de films pornos) sans se prendre les pieds dans le tapis.

 

Le style hors norme de Brunö est une évidence sur cette association de petits sketchs reliés par un fil rouge et prenant  tout leur sens au fil de pages qui défilent bien vite.

 

On déplorera éventuellement une fin abrupte et sèche qui peut générer une légère frustration tant on aurait aimé en lire encore davantage.

 

Lorna n'est ni plus ni moins que la genèses de Pornopia d'une part pour les nombreuses scènes de… ahem… d'accouplement et de Tyler Cross pour sa violence, le tout enrobé d'un second degré salvateur pour un délire total qui ne plaira certainement pas à tous mais en réjouira beaucoup d'autres dont l'auteur de ces lignes (et le rédac chef également !)

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi THE BOOGEY MAN

 

 

C'est de Qui ? Tim Krog

 

 

La couv' 

 

Cycle BD X  /  Lorna  Vs.  The Bogey Man

 

Déjà entendu par ici? Non.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Ce n’est clairement pas de moi de proposer une B.O où le synthé, surtout le synthé typique des 80’s, pourtant les trois têtes pensantes derrière l’acronyme SST lorgnent sans vergogne vers les premiers travaux de John Carpenter en usant et abusant du Mini-moog alors tout récent et clairement hype.

 

Si The Boogey Man n’est qu’un film d’épouvante de plus parmi les multiples slasher fleurissant durant ces années là, sa B.O reste assez déroutante et fort efficace dans son genre même s’il ne faudra pas y chercher d’instruments live.

 

Cheap est d’ailleurs le premier mot qui vient à l’esprit même si, au fur et à mesure, on reconnaitra aux compositeurs un sens de la mélodie et de la thématique catchy, voire imparable.

 

De la musique vintage et complètement datée qui fera un compagnon aussi psychédélique que surréaliste à une BD cul- hommage des plus délirantes.

 

 

 

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Une chronique de Jet & Fab

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30 mai 2016 1 30 /05 /mai /2016 16:18

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : LE NOUVEL HOLLYWOOD. LA PETITE BEDETHEQUE DES SAVOIRS

 

 

C'est de qui ?  Brüno & Thoret

 

 

La Couv':

 

 

Moteur, ça tourne, action  /  Le Nouvel Hollywood  Vs.  Soon Over Babaluma

Déjà croisés dans le coin? Le dessinateur oui, souvent.

 

 

C’est édité chez qui ? Le Lombard.

 

 

Une  planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Vous devez vous douter que, ayant l’habitude de marier musiques de films et BD, le cinéma, comme disait ce bon vieux Omar Sharif, « c’est mon dada ». Biberonné aux westerns de la Dernière Séance et à la programmation du Cinéma de Minuit, mes études d’audiovisuel m’ont ensuite amené à creuser le cinéma US des années 70, de Coppola à Peckinpah en passant par Cimino entre autres.

 

C’est donc avec une attente fébrile que j’attendais ce nouveau tome de la Bédethèque des savoirs, écrit par un spécialiste du genre s’il en est et mis en image par un artiste que l’évidence imposait. Je n’ait clairement pas été déçu tant Le Nouvel Hollywood fait le tour de la question, de manière assez complète pour ne pas dire exhaustive, et ce sous un aspect bien moins « catalogue » qu’avait pu le faire, par exemple, le volume consacré au métal.

 

 

Décortiquant une grosse poignées de films plus ou moins connus, évoquant les grandes figures de l’époque et ce qu’elles sont devenues, analysant le mouvement via le prisme d’autres domaines, Thoret, fidèle à son habitude, livre un compte rendu passionnant d’une période qui ne l’est pas moins et Brüno, en cinéphile averti, illustre avec inspiration les longs proposés.

 

Le meilleur ouvrage de la collection, sans hésitation !

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? SOON OVER BABALUMA

 

 

C'est de Qui ? Can

 

 

La couv' 

 

 

Déjà entendu chez B.O BD ? Oui et non.

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? J’ai une certaine réticence à classer les musiques dans des genres, parfois étriqués, souvent erronés voire faisant parfois office de raccourcis faciles pour des journaleux en manque d’inspiration/connaissance. Ainsi dire de Can qu’ils sont un des pionniers du Krautrock (le nom déjà !) est à mon avis une stupidité.

 

Combo teuton s’aventurant sur les traces de Pink Floyd et des jazzmen free, les membres de Can étaient connus pour composer directement en studio, puis de bidouiller ensuite le résultat afin d’obtenir des morceaux souvent atmosphériques, parfois groove et expérimentaux où l’on retrouvait autant de funk , de world music de ska que de rock psyché, le tout mélangé et servi bien, bien frappé.

 

Soon Over Babaluma, premier album du groupe sans leur chanteur, marque une évolution dans leur style puisque c’est l’un des instrumentistes qui prend le micro et ça se ressent sur leurs compos. En bien.

 

Mais Can était avant tout un groupe de scène, comme l’extrait posté ci dessus pourra vous le confirmer, en live le groupe démultipliait leur sens de l’improvisation et donnait une nouvelle vie à chacun des morceaux, à chaque interprétation. Une liberté d’expression et une nouveauté manifeste qui fait écho à l’âge d’or du Nouvel Hollywood.

 

 

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Une chronique par Fab

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  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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