20 février 2017 1 20 /02 /février /2017 10:05

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : SAUVAGE TOME 2

 

 

C'est de qui : Yann et Meynet

 

 

La Couv':

 

Griffes sauvages  /  Sauvage. Dans les griffes de Salm Salm   Vs.  Commancheros

 

Déjà lus sur le site? Oui.

 

 

C’est édité chez qui ? Casterman

 

 

Une planche:

 

Griffes sauvages  /  Sauvage. Dans les griffes de Salm Salm   Vs.  Commancheros

 

Ca donne Quoi ? Dire que l’on aura attendu ce second tome de Sauvage est un doux euphémisme. Le voici enfin et la relecture du précédent n’aura pas été du luxe pour remettre les évènements de ce récit d’aventure bariolée en mémoire.

 

Pour rappel, on suit Félix Sauvage, un jeune officier idéaliste pendant la campagne mexicaine menée par Napoléon 3 (enfin façon de parler, l’Empereur est resté bien tranquille à Paris pendant que ses soldats se font étriller par les hommes de Maximilien) qui, on l’apprend enfin ici, cherche à venger la mort de ses parents dont le Marquis de  Trazégnies, gradé de l’armée française en poste au Mexique, est responsable.

 

Après avoir essuyé un sanglant assaut, voilà notre héros en route vers le camp du chef du corps expéditionnaire Achille Bazaine à qui il doit remettre un bâton de Maréchal, flanqué malgré lui d’une femme de tête, Angélique de Salm-Salm, à la recherche de son époux disparu pendant une escarmouche.

 

Entre les priorités de chacun, les missions d’espionnage et les aléas des affrontements, la vengeance de Sauvage va être disons…retardée !

 

Si coté dialogues Yann a comme souvent un peu trop tendance à tomber dans ses tics habituels, le scénar est un habile mélange d’aventure, de western et de grand spectacle le tout semble bien documenté et, surtout, bénéficie du trait fin (et sensuel !) de Meynet, aussi habile à croquer les uniformes de ses soldats que les formes de ses héroïnes.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? THE COMMANCHEROS

 

 

C'est de Qui ? E. Bernstein

 

 

La couv'

 

Griffes sauvages  /  Sauvage. Dans les griffes de Salm Salm   Vs.  Commancheros

 

Déjà croisé dans le coin?  Souvent oui.

 

 

On peut écouter?

 

 

Ca donne Quoi ? Chant du cygne de Michael Curtiz, tourné au tout début des années 60, les Commancheros, si clairement classique dans son scénario, son interprétation et ses décors, donne à Elmer Bernstein l’occasion, après le coup d’éclat des Sept Mercenaires, de se re-frotter au genre.

 

Tout en gardant le coté aventure héroïque du film de Sturges avec un thème porté par les cuivres,  il laisse tomber les couleurs hispanisantes pour des accents amérindiens prononcés aux multiples percussions auxquelles il en a ajouté d’autres, peu communes dans le genre –à la manière d’un Goldsmith- et qui, pour le coup, le dynamitent.

 

La présence de pas mal d’instruments à vent, eux aussi pas forcément souvent présents dans le western, adoucissent cette B.O très rythmique, la rendant très écoutable en tant que telle et assez variée et riche pour faire une bande son impeccable pour cette suite de Sauvage.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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29 janvier 2017 7 29 /01 /janvier /2017 15:48

 

Suite de notre cycle thématique du week-end; après les horreurs de la Guerre au Japon, voici un album qui évoque le drame de la vie sous l'occupation durant la Seconde Guerre Mondiale.

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : COLLABORATION HORIZONTALE

 


C'est de qui : Carole Maurel & Navie

 

 

La Couv':

 

Guerre et BD  /  Collaboration Horizontale  Vs.  Kings Go Forth

 

Déjà croisé sur le site? Oui pour la dessinatrice.

 

 

C’est édité chez qui ? Delcourt

 

 

Une planche:

 

Guerre et BD  /  Collaboration Horizontale  Vs.  Kings Go Forth

 

Ca donne Quoi ? Je vais probablement faire grincer des dents dans les chaumières mais je serais parfois tenté de reprendre l'affirmation de Lalo Schifrin qui disait que 70% de la réussite d'un film est dû à sa musique, et à l'appliquer à la partie dessin dans la BD.


Certes ce serait un peu extrême mais je reste persuadé que tout fan intégral du médium comme moi ne serait pas loin du 50% voire 60% même en faveur des graphismes.


Forcément en attaquant ma chronique sur ce laïus vous pourriez penser, et je ne vous jetterais pas la pierre, que l'album du jour se résume à cette proportion. Il n'en n'est rien. Son scénario est même, c'est une évidence, à l’ origine de l'inspiration de la dessinatrice; c'est une histoire de femmes, une histoire d'amour, un récit fictif certes mais nourri d'éléments historiques.

 

En pleine Seconde Guerre Mondiale, dans un immeuble parisien, véritable microcosme de la société d’alors, avec ses sympathisants silencieux limite collabos, ses résistants de l’ombre qui luttent contre l’envahisseur et ces messieurs et mesdames tout le monde qui tente de continuer à vivre, Rose jeune femme dont le mari est au front et qui vit avec son fils, va commettre l’irréparable, tomber amoureuse d’une bel officier allemand.

 

Guerre et BD  /  Collaboration Horizontale  Vs.  Kings Go Forth

 

Une alliance rare du fond et de la forme font de ce drame historique une très belle réflexion tout en pudeur (et ce malgré son titre finalement assez cru) sur l’amour, la différence, le prix à payer pour assumer ses fautes. Certes on verse parfois dans le mélo et quelques lieux communs, mais la partie graphique finit d’emporter l’adhésion.

 

Après l ‘Apocalypse selon Magda l’an passé, Carole Maurel livre en effet une copie sans fautes, avec une narration graphique inspirée et innovante, toute en nuances, véritable plus value de Collaboration Horizontale.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

C'est Quoi ? KINGS GO FORTH

 

 

C'est de Qui ? E. Bernstein

 

 

La couv'

 

Guerre et BD  /  Collaboration Horizontale  Vs.  Kings Go Forth

 

Déjà entendu sur B.O BD? Pas mal ouais.

 

 

On peut écouter?

 

Ca donne Quoi ? Au milieu d’une année chargée en B.O variée, Bernstein écrit une de ses partition les plus aboutie pour ce film de guerre qui, comme l’album BD du jour, se déroule durant les dernières heures de la Seconde Guerre Mondiale.

 

Si l’on passe le thème d’ouverture, un brin trop martial pour nous intéresser, l’éventail que propose le score de kings Go Forth est aussi riche que vaste. Du suspense, de la romance, des bon sentiments, de la musique illustrative où les groupes d’instruments jouent en solo ; on a même une poignée de pistes jazzy très agréables.

 

Le Bernstein des débuts, déjà touche à tout mais encore plein de fraicheur et pas encore roué aux ficelles du métier, ça ce ne se refuse pas, surtout quand c’est pour écouter avec un album original que celui chroniqué ci- dessus.

 

 

 

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Une chronique de Fab

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13 juin 2016 1 13 /06 /juin /2016 13:32

 

 

 

 

LA BD:

 

 


C'est quoi : LOUISE. LE VENIN DU SCORPION.

 


C'est de qui : Van Der Heuvel & Alessandra

 

 

La Couv':

Loulou? Oui, c'est elle  /  Louise.Le Venin du Scorpion  Vs.  Summer and Smoke

 

Déjà croisé sur le site? Non

 

 

C’est édité chez qui ? Casterman

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Si vous venez dans le coin depuis un petit moment j'ai déjà du vous parler de mes  (lointaines!) études d'audiovisuel durant lesquelles j'ai, entre autres choses passionnantes (sans second degré pour une fois je précise), visionné du film à la pelle, tous genres et époque sur confondus. L'expressionnisme allemand reste une de mes périodes préférées et j'ai également toujours eu un faible pour les vamps de l'âge d'or hollywoodien. Vous vous doutez donc que je ne pouvais pas passer à côté de cette évocation de la vie et de la carrière de Louise Brooks, qui, au même titre que Marléne Dietrich ou la Garbo, est une icône du 7eme Art.

 

Brooks est pus connue pour le parfum de scandale qui a entouré sa carrière que pour les longs qu’elle a tourné. Le parti-pris des auteurs de cette bio est d’évoquer son esprit rebelle, sa fureur de vivre envers et contre tous les diktats de la société et d’Hollywood quitte à y laisser des plumes.

 

 

On découvre aussi dans Le Venin du Scorpion le trauma de son enfance, ses relations houleuses avec sa mère et avec les hommes, le culte que certains (Pabst en tête) pouvaient lui vouer, mais également ses choix parfois hasardeux de tournage et de vie.

 

Le style graphique réaliste et la colo old school d’Alessandra servent bien un scénario qui évite les écueils inhérents à ce genre d’exercice, un bel hommage à une actrice éternelle.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? SUMMER AND SMOKE

 

 

C'est de Qui ? E. Bernstein

 

 

La couv' 

 

 

Déjà croisé chez nous? Oui

 

 

On peut écouter?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Si j’admets sans soucis que Tenesse Williams, d’une ça a bien vieilli et, de deux, déjà à l’époque c’était pas à la portée de tout le monde, le bonhomme savait quand même vous poser un drame aux thématiques multiples dont aucun écrivain ou cinéaste français de ces vingt dernières années (ni probablement des vingt à venir) n’approchera jamais l’ombre d’une esquisse.

 

Mettre en musique une adaptation de Williams, quand on a la carrure et le talent d’Elmer Bernstein, ce doit être du pain béni. Ca vous permet de livrer une musique aussi poétique que ce que le domaine de la B.O le permet, quelque chose de foncièrement organique et intellectuel à la fois. D’écrire des mélodies où la névrose d’une femme frustrée et où la sexualité latente et refoulée sont miraculeusement rendues par des notes, des silences, des rythmiques.

 

Ca vous permet de dépasser vos habituels gimmicks, de prouver qu’en plus d’être l’un des plus doués et diversifié des compositeurs de votre génération, vous êtes également capable de vous remettre en question en écrivant un score en marge du reste de votre (excellente) production qui reste parmi l’un de vos plus originaux.

Et ça nous permet, enfin, d’accompagner avec classe la bio d’une artiste qui n’en méritait pas moins.

 

 

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Une chronique par Fab

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8 mai 2016 7 08 /05 /mai /2016 07:35

 

Dieu peut prendre maints aspects, et même pousser le vice à aller se cacher dans une série Franco-Belge classique, la preuve:

 

 

 

LA BD :

 

 

 

C'est quoi ?  L'ALCHIMISTE SUPREME 

 

 

C'est de qui ? Godard et Ribera

 

 

La Couv’ :

 

Week-end Thématique: Dieu (Le Retour!)  /  L'Alchimiste Suprême Vs.  Les 10 Commandements Co

Déjà vu chez nous? Pas sur

 

 

Une Planche :

 

 

Ca donne quoi ? Axle Munshine a outrepassé une des lois les plus importantes de son univers : il a osé franchir les portes du sommeil. Il est tombé amoureux de Chimeer qu'il ne peut rencontrer que dans ses rêves. Il fuit dans son vaisseau Le Dauphin d'Argent les hommes de la Garde Pourpre qui le poursuivent, accompagné, de son plein gré, par Musky, fils(?) du prince des Eternautes, dont la croissance a été bloquée à l'âge de 13 ans.

 

L'album commence avec la rencontre inattendue des fugitifs avec Robson, ami d'Axle, et son moloss Free'Day. Les moloss sont des créatures mixtes : chien en haut et homme en bas. Free'Day apprend à Axle que Dieu (ou l'Alchimiste Suprême ou le Très-Haut ou le Tout-Puissant) est gardé par sa Grande Meute de moloss sur la planète Bousbbhyr. Il y a juste un petit problème : c'est sur cette planète que les gardes pourpres sont envoyés en "spermission" et on y trouve des prostituées de toutes les races. Axle arrive à retrouver Musky, enlevé par 2 moloss, auprès de Dieu.

Mais Dieu a bien changé, il ne s'intéresse à rien "à part bâfrer, boire et baiser…" comme il l'explique à Musky. Il reconnait avoir été un grand démiurge dans le temps, mais n'avoir plus goût à créer. La guilde le protège parce qu'il fabrique de l'or. À Musky qui est ébranlé par ce qu'il voit, il dit "cette idée de Dieu omnipotent, omniprésent et unique… c'est bien une une idée d'homme, ça… de taré, oui!" Axle défie Dieu de créer celle qu'il aime et c'est un ratage terrible.

 

 

Il fallait le talent de scénariste de Godard pour créer un Dieu quasi anarchiste qui vit dans le souvenir de sa gloire passée en étant conscient qu'il n'a plus le niveau nécessaire… D'ailleurs son laboratoire est clos par le maximum de planches disponibles pour éviter qu'il fasse de nouvelles expériences. La création d'une Chimeer ratée par relation sexuelle avec un tas d'argile le ramène à la réalité : Il a été un grand Dieu, mais il n'est plus bon qu'à faire de l'or.

 

Ribera a bien sûr choisi le modèle de Dieu créateur classique : vieillard à longues chevelure et barbe blanches en tunique (cela se retire plus vite qu'un pantalon!). Sa fantaisie habituelle fait merveille pour créer des prostituées toutes plus étonnantes les unes que les autres comme la matricyale : entité liquide dans laquelle "on plonge tout entier dans le bonheur suprême".

 

Après un tel résumé, vous comprendrez bien que cet album n'est pas vraiment destiné aux plus jeunes lecteur. Pas vraiment à cause du côté débauche que plutôt pour le côté "philosophique" sur Dieu et la création qui demande un peu de recul.

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est Quoi ? LES 10 COMMANDEMENTS

 

 

C'est de Qui ? Elmer Bernstein

 

 

La couv'

 

 

Déjà entendu chez nous ? Certes!

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ça donne quoi? Face à un Dieu barbu et chevelu, il fallait mettre un autre barbu et chevelu, un grand prophète et mythe de la Bible : Moïse… joué par Charlton Heston en plus! En pendant de la création ratée de Chimeer, il faut au moins le passage de la mer rouge suivi de la submersion des égyptiens!

 

Changement radical de registre pour Elmer Bernstein qui vient de mettre en musique l'Homme au Bras D'Or de Preminger dans une veine jazzy noire, ici on est dans le biblico-épique à grande échelle mais pas que. En effet De Mille, que la disparition de son compositeur attitré, Victor Young, quelques mois plus tôt, a laissé quelque peu orphelin, "teste" Bernstein en lui demandant d'imaginer sa B.O comme une œuvre classique dans la veine de Pucini et de Wagner (que voilà du grand écart!).

 

Qu'à cela ne tienne, Bernstein s'exécute de bonne grâce, poussant même le vice jusqu'à utiliser de nombreux instruments traditionnels d'époque (et même un théremine) au sein d’un grand orchestre symphonique. Entre son leitmotiv inoubliable, ses thématiques riches et texturées et une ambiance grand-spectacle de qualité nous voilà avec un score pharaonique, parfois même trop pour notre BD !

 

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Une chronique de Gen

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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 11:28

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 


C'est quoi : LE MANGEUR D’AMES TOME 3.

 


C'est de qui   François Lapierre et Patrick Boutin-Gagné

 

 

La Couv':

 

 

Déjà lu chez nous? Oui

 

 

Edité chez qui ? Glénat/ Vent D'Ouest.

 

 

Une  planche:

 

 

 

Ça donne Quoi ?  Dans le tome 1, les villageois de Lac-à-l'Ombre ont réussi à tuer Shoshaminissipeshimini, le monstre du lac et gardien de la porte. Dans le tome 2, ils ont ouvert la porte, croyant qu'elle cachait un trésor, et découvert une grotte. Pendant ce temps se renouait l'alliance entre indiens, chrétiens et celtes.

Voilà comment McChulainn, le prêtre du village et un vieil indien viennent à la rescousse d'Ovide et des villageois survivants pour détruire l'abomination de la grotte. Mais que contient la grotte : le "Graal" des chrétiens ou le "chaudron de renaissance" des celtes? Parce que les morts se relèvent…

François Lapierre et Patrick Boutin-Gagné referment cette série fantastique sur une fin heureuse… même si beaucoup de villageois ne la verront pas. Il faut dire qu'ils ont convoqué du lourd en invités surprises : reine gobelin, lutin, elfe… Heureusement le ton reste léger et humoristique et cela contribue à l'agrément de la série. Les dessins se sont affinés au fil de la série que ce soit pour les humains ou pour les créatures.

Fantastique et humour en scénario et en dessin donnent rarement des séries intéressantes (parce que trop bancales), alors autant profiter de celle-ci qui marie fort bien les deux.

 

 

 

 

LA MUSIQUE

 

 

 

C'est Quoi ? THE BLACK CAULDRON

 

 

C'est de Qui ? E. Bernstein

 

 

La couv' 

 

 

Déjà entendu chez B.O BD ? Souvent (et d’ailleurs déjà avec ce score ci mais là c’est un cas particulier, vous allez comprendre. Ndlr)

 

 

On peut écouter?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Une seule musique m'a semblé pouvoir être associée à ce 3e tome : la BO du dessin animé "Taram et le chaudron magique" ou , en V.O, "The Black Cauldron".

Le côté inquiétant et même stressant des Ondes Martenot chères à Miklos Rozsa et intelligemment utilisée ici par Bernstein contribue à l'atmosphère du film : sans doute l'une des plus sombres et sinistres de tous les films d'animation de Disney. Il  n'a d’ailleurs pas vraiment trouvé son public à l'époque, mais je l'ai adoré immédiatement (pour être honnête, j'avais déjà 30 ans!) justement pour cette atmosphère différente et loin du ronron habituel des Disney. Et aussi pour les pauvres héros de l'histoire face à des "méchants" aussi grandioses que le Seigneur du Mal et ses vouivres ou aussi drôles que les 3 sorcières (3? Serait-ce un clin d'œil à Macbeth?).

Le film est tiré d'un livre (que je n'ai toujours pas lu) : "Les Chroniques de Prydain" de  Lloyd Alexander. Ce cycle de fantasy s'inspire de mythes celtiques comme celui des Tuatha Dé Danann, par exemple. Dans la mythologie celte, le chaudron de la Renaissance permettait de ranimer les guerriers morts. Tiens, comme dans le Mangeur d’Ames !

 

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Une chronique par Gen

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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