29 juillet 2022 5 29 /07 /juillet /2022 14:10

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? BATMAN CHRONICLES 1987

 

 

C'est de qui ? Miller, MAzzuchelli, Moore et d’autres.

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Déjà croisés sur le site? Pour certains oui.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Alors que l’année précédente il a flanqué un bon coup de pied dans la fourmilière du monde du comics avec son Dark Knight, narrant les exploits d’un Batman vieillissant violent et extrémiste, Frank Miller revient aux origines du personnages en 87 pour un Year One amené lui aussi à entrer dans la légende du Chevalier Noir.

 

S’il laisse la partie graphique à un David Mazuchelli visiblement inspiré dans un style à la fois classique mais innovant, Miller se régale visiblement à replonger l’univers du Batman dans le pulp dont il est issu, montrant en parallèle la naissance du justicier via son alter-égo Bruce Wayne, qui a vu ses parents abattus dans une ruelle et décidera de combattre le crime grâce à sa fortune, et la difficile ascension de Jim Gordon au sein du commissariat de Gotham, gangréné jusqu’à la moelle.

 

Si visuellement le titre est peut-être moins frappant que le DK et ses influences Kirbyennes, Année Un (titre choisi pour la VF) est un modèle de récit noir et de récit initiatique et c’est celui dont les graphismes ont, à mon goût, le mieux vieilli, les autres étant très marqués années 80.

 

 

C’est donc en grande partie pour cet arc que l’on s’intéressera à ce Chronicle 1987 que vient de sortir Urban Comics (avec un choix étrange de couverture semi rigide qui risque d’avoir du mal à tenir l’épreuve du temps vu la pagination généreuse du tome) où figurent également cela dit d’autres récits marquants puisque l’on y croise le Pingouin, les premiers pas de Jason Todd et de Clay Face, sous la plume notamment d’un certain …Alan Moore.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : EDGE OF DARKNESS

 

 

C'est de qui ? H. SHORE

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? S’il n’est jamais meilleur que quand il travaille sur des projets ambitieux, que ce soit avec Cronenberg, dont il a mis qusi l’intégralité des films en musique, ou sur la gargantuesque adaptation du Seigneur des Anneaux, Howard Shore ne bâcle cependant jamais un travail.

 

Ce thriller de seconde zone avec un Mel Gibson en caricature de lui-même, en est un exemple probant : le compositeur, appelé en dernière minute sur le film après que son prédécesseur se soit vu remercié, occupe l’espace avec conviction, jouant sur les dissonances, installant une tension quasi continuelle via des cordes malmenées et un orchestre au diapason.

 

Si l’ensemble n’est pas ce que Shore a fait de plus mélodique, ni même original, l’efficacité est de mise -un peu trop peut-être d’ailleurs sur la longueur !- et appuie là où ça fait mal sur les récits les plus « gritty » de ce Chronicles, Année Un en tête.

 

 

 

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22 juin 2020 1 22 /06 /juin /2020 08:42

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  BATMAN LAST KNIGHT ON EARTH

 

 

C'est de qui ? Snyder & Capullo

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban

 

 

Déjà croisés sur le site? Snyder oui.

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Arriver à écrire quelque chose d’original sur un personnage aussi emblématique (et ancien, l’Homme Chauve Souris a soufflé ses 80 bougies il y a peu) relève de la gageure. C’est pourtant le défi qu’a relevé Scott Snyder il y a de ça une décennie, alors que son American Vampire venait de le faire connaître du grand public.

Si son apport à la mythologie du Chevalier Noir est intéressant – il a par exemple crée la Cour des Hiboux- force est de reconnaître que, comme sur la série citée ci dessus, le scénariste a tendance à s’essouffler.

 

Ce Last Knight on earth, avec son titre en jeu de mot un brin téléphoné, partait plutôt bien, avec un Bruce Wayne à qui tout le monde –Alfred y compris !- semble vouloir faire croire que le monde de Batman et de ses nemesis n’existe que dans sa tête malade, et qui se retrouve dans une sorte de future post apocalyptique avec comme compagnon de route la tête du Joker dans un bocal !

 

 

Mais ça part assez vite dans tout les sens, avec un défilé de (trop de) figures connues du casting batmanien qui font un brin fan service, des tenants et aboutissants peu clairs et un Lex Luthor en tireur de ficelles attendu …le tout parsemé de  combats et autres explosions.

Le trait de Capullo par contre est fort sympa, avec des réinterprétations de certains personnages bienvenues et autres poses et découpages qui fleurent bon l’hommage au Frank Miller de la grande époque (celle où, justement, il ravivait la flamme du Dark Knight).

 

Un opus à réserver  aux fans hardcore de la Chauve Souris.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : ENEMY LINES

 

 

C'est de qui ? P. Jakko

 

 

La Couv':

 

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Non

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Nul n’est prophète en son pays affirme l’adage. Cela pourrait s’appliquer à Philippe Jakko, compositeur français qui n’a, en presque 9 ans, jamais eu les honneurs de B.O BD (si toutefois apparaître dans ces colonnes peut être considéré comme un honneur, ce dont je doute).

 

Il faut avouer que le cinéma français de ces 25 dernières années et moi c’est un peu-beaucoup - « je t’aime, moi non plus ». Il est donc compréhensible –tout autant que dommageable je l’entends- que je sois passé à côté de choses intéressantes coté B.O.

Revenons-en à nos moutons, et à Philippe Jakko donc, que j’ai découvert via le score d’Enemy Lines, un film de guerre qui sort cette année où un groupe de commandos est envoyée en Allemagne nazie pour exfiltrer un scientifique (un scénario aussi classique qu’efficace en général).

 

Nonobstant le budget assez réduit du tournage, Jakko prend à contre-pied la tendance actuelle dans le cinéma de genre américain qui multiplie les scores à base de drones et autres sons électroniques d’ambiances bourdonnants.

Le français opte en effet ici pour une approche symphonique traditionnelle, avec pas mal de passages où l’émotion est à fleur de peau et des thèmes lyriques bien ficelés même si assez lambda. Pour la lecture de ce Batman on leur préfèrera les pistes dédiées à l’action et au suspense tout aussi réussies.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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1 octobre 2019 2 01 /10 /octobre /2019 09:58
 
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? JOKER L’HOMME QUI RIT

 

 

C'est de qui ? Brubaker, Rucka, Larke, Mahnke.

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Urban comics

 

 

Déjà croisés sur le site? Certains oui.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Un désaxé grimé en clown aux cheveux verts, au visage couvert de  blanc et au complet mauve s’en prend aux riches de Gotham City en les empoisonnant. Contre ce nouvel adversaire aussi retors que psychopathe, le capitaine Gordon, peu apprécié de sa hiérarchie, et Batman, le justicier nocturne, vont devoir associer leurs efforts.

 

Alors que l’emblématique méchant de chez DC comics est sous les projecteurs, avec la sortie imminente du long métrage avec Joaquin Phoenix dans le rôle-titre, Urban Comics propose une sélection de titres phares de sa mythologie.

 

Au scénario de L’Homme qui Rit (qui, hormis le faciès du Joker n’a aucun rapport avec l’œuvre de Victor Hugo), Ed Brubaker, grand spécialiste du Noir s’il en est, propose une nouvelle « origine » à l’éternel ennemi du Dark Knight sous la forme d’un polar qui tire les ficelles des classiques du genre, voix off omniprésente en tête.

 

Le récit est sombre à souhait et présente une alternative intéressante même si loin des canons du genre. Coté graphismes on sent encore une certaine influence des années 90, au niveau des couleurs notamment, sans pour autant que cela soit dérangeant

 

Urban Comics a eu la bonne idée d’ajouter un long arc de l’excellente série Gotham Central à la suite de l’Homme qui Rit, scénarisée également par Brubaker avec son collègue Greg Rucka en coscénariste. Gotham Central (dont l’intégralité est également publiée par Urban) est un petit bijou dans la catégorie mariage de genres que je ne peux que vous conseiller de découvrir si ce n’est pas déjà fait,  c’est un peu comme lire un mélange entre du comics de super héros adulte et The Wire.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : GOTHAM SEASON 5

 

 

C'est de qui ?

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD?

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Après 5 saisons en dent de scie mais avec de forts bons moments (même si souvent complètement hors chronologie/canon) la série TV Gotham, qui s’est achevée il y a peu, a tenu ses promesses.

 

S’intéressant aux débuts de Gordon au sein du GCPD et à la jeunesse de Bruce Wayne, les scénarios ont mis l’accent sur le côté « série policière avec des super héros dedans », c’est également l’angle qu’a choisi David Russo, responsable du score sur l’ensemble de la série.

 

Après un thème principal aux accents héroïques marqués, plus ou moins réutilisé de ci de là dans cette ultime saison, il met l’emphase à la foi sur les ambiances tragiques et sur le futur de l’histoire (l’avènement du Batman).

 

Les cuivres sont évidemment le corps d’instrument le plus présent, qu’ils soient en sourdine pour  créer une atmosphère menaçante ou survoltés pour un effet plus épique.

 

Une B.O au final plus nuancée et intéressante que beaucoup de ses grandes sœurs du grand écran et qui va aussi bien sur l’Homme Qui Rit que sur Gotham Central.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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28 décembre 2018 5 28 /12 /décembre /2018 08:54

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  BATMAN WHITE KNIGHT

 

 

C'est de qui ? Sean Murphy

 

 

La Couv':

 

On l'appelle le chevalier Blanc  /  Batman White Knight  Vs.  Venom

 

Déjà lu sur le site? Oui

 

 

C’est édité chez qui ? Urban Comics

 

 

Une planche:

 

On l'appelle le chevalier Blanc  /  Batman White Knight  Vs.  Venom

 

Ca donne Quoi ? Après une énième et particulièrement destructrice baston, Batman passe le Joker à tabac avant de lui faire avaler une poignée de pillules qui, rapidement, vont annihiler la personnalité psychotique du bonhomme et faire ressortir l’homme derrière le sourire : Jack Napier.

 

Ce dernier –et premier surpris- va alors décider de « sauver » Gotham de sa pire menace : Batman.

Et si les moyens employés sont peu catholiques, force est de reconnaître que, du GCPD aux bas fonds, en passant par Nightwing et Batgirl, toute la ville semble pencher du coté de l’ex Némésis de l’Homme Chauve-Souris.

Mais, of course, le Chevalier Noir n’a pas dit son dernier mot.

 

Bon, si vous avez un sentiment de déjà-vu, peut être est ce dû au fait que ce bon vieux Joker, redevenu sain d’esprit pour un temps, semble être frappé du syndrome de Lex Luthor, qui, de loin en loin, fait valoir le fait que Superman est une menace pour l’humanité et prend le rôle du héros.

 

Après peut être que ça n’a pas été fait dans le batmanverse, je ne lis du super héros que de loin en loin donc ne pourrait pas l’affirmer ; mais Murphy, s’il excelle coté dessin, propose ici un scénar qui, s’il tient la route, ne fait pas dans la folle originalité et aligne un peu de fan service.

 

Ce White Knight reste une lecture divertissante, à conseiller aux fans de la Chauve Souris, notons qu' Urban propose une version standard et une spéciale en noir et blanc.

 

On l'appelle le chevalier Blanc  /  Batman White Knight  Vs.  Venom

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :VENOM

 

 

C'est de qui ? Ludwig Göransson

 

 

La Couv':

 

On l'appelle le chevalier Blanc  /  Batman White Knight  Vs.  Venom

 

Déjà entendu chez B.O BD? Non

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? Le suédois au look de guitariste metal revient au genre super héroïque après la B.O de Black Panther (on la croisera peut être à l'occasion chez nous) avec ce Venom, film plus que moyen par ailleurs.

 

Sacrifiant à la mode actuelle (et, soyons honnêtes, à la nature même du personnage central du film) il fait dans le rentre dedans, avec des thèmes sombres qui n'hésitent pas à aller marcher sur les plates bandes du film d'épouvante à grand renfort de sursauts instrumentaux, dans les cordes surtout.

 

L'omniprésence de l'électronique, une surenchère symphonique attendue et des effets de post prod rendront néanmoins ce score difficilement écoutable en tant que tel.

 

Par contre avec le feu d'artifice quasi continuel de ce White Knight, entre les combats et les courses poursuites explosives, ça donne un air de blockbuster apocalyptique sans concessions.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

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4 mai 2018 5 04 /05 /mai /2018 08:15

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi : BATMAN MEURTRIER ET FUGITIF

 

 

C'est de qui ? Rucka, Brubaker et pas mal d’autres.

 

 

La Couv':

 

Chauve souris dans le pétrin /  Batman meurtrier et fugitif  Vs.  Red Sparrow

 

 

Déjà lus dans le coin? Certains peut-être

 

 

C’est édité chez qui ? Urban Comics

 

 

Une planche :

 

Chauve souris dans le pétrin /  Batman meurtrier et fugitif  Vs.  Red Sparrow

 

Ca donne Quoi ? Alors que notre taciturne super héros rode dans la rues de Gotham, accompagné de sa nouvelle recrue, Sasha Bourdeaux, la garde du corps de son alter-égo qui a découvert le pot aux roses et qui du coup fait également super-héroïne en heures supp’, une de ses récentes conquêtes, journaliste de surcroît (et, on l’apprend bientôt, elle aussi pas mal avancée dans la supercherie Batman/Bruce Wayne) est sauvagement assassinée dans le manoir (où Alfred ne bosse plus d’ailleurs).

 

C’est le duo qui la découvre mais la GCPD ! (Police de Gotham pour les non-initiés) arrive au même moment, appelé en détresse par la victime elle même alors qu’elle se faisait tirer dessus, ni une ni deux, Wayne et Sahsa sont embarqués et mis en garde à vue, suspects numéros un (et deux) du meurtre.

 

Quelqu’un cherche à piéger le Dark Knight mais c’est sans compter la fidélité sans failles (ou presque !) de ses innombrables side-kicks qui vont tenter de découvrir ce qui s’est passé.

 

Chauve souris dans le pétrin /  Batman meurtrier et fugitif  Vs.  Red Sparrow

 

 

Si ce qui m’a attiré sur ce Batman sont les noms de deux des scénaristes (Brubaker et Rucka) spécialistes du Noir (le genre), force est de reconnaître que mes lacunes dans la mythologie DC, approchée prudemment de temps à autre, m’ont réservé quelques surprises.

Heureusement qu’Urban a la bonne idée de présenter une frise chronologique en début d’album, résumant succinctement les innombrables et surréalistes reboot de l’univers de la Chauve-Souris (et des autres).

Cela m’a permis de n’être ni trop perdu ni trop décontenancé en découvrant par exemple trois Robin ! (Enfin un seul puisque l’original est mort et l’autre s’appelle maintenant Nightwing et a été adopté par Bat’), ou encore une nouvelle Batgirl mutique (la précédente étant devenu Oracle suite aux bons soins du Joker), et quelques autres personnages inconnus jusqu’alors.

 

Coté scénar c’est pas mal même si quelques « épisodes » rallongent inutilement la sauce, je serais plus réservé pour la partie graphique car assurée par pléthore d’artistes, certains intéressants (Burchett et son style dans la lignée d’un Cokke ou Sale), d’autres bien trop lambdas à mon goût, certains coloristes n’arrangeant pas les choses.

L’intérêt de ce genre de recueil est aussi de réunir en un seul arc les différents épisodes disséminés entre les multiples parutions aux States, chaque héros –ou presque-ayant sa série dédiée, quand ce n’est pas plusieurs (Ici on n’a pas moins de 8 titres ! )

 

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :RED SPARROW

 

 

C'est de qui ? J. N. Howard

 

 

La Couv':

 

Chauve souris dans le pétrin /  Batman meurtrier et fugitif  Vs.  Red Sparrow

 

Déjà entendu sur le site? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Commençons par établir que J. N. Howard n’est pas Clint Mansell (ce qui pouvait en effet paraître évident !). Musicalement s’entend (ah, d’accord !). A savoir que, quand son réal (qui l’a déjà copieusement by-passé lors d’une de leurs précédentes collaborations –I am Legend- en faisant sauter une grosse partie de ses compositions) lui demande de baser sa partition sur l’Oiseau de Feu de Stravinsky, le résultat est loin d’égaler l’intelligence du travail de Mansell sur le Lac des Cygnes d’un autre russe (Tchaikovsky pour les moins soviets –ou les plus incultes !- de nos lecteurs).

 

Il faut dire que Howard, on l’a souvent vu chez nous, a une certaine prédilection pour l’underscoring, préférant la discrétion atmosphérique (ou presque) à la grande pompe évidente. Néanmoins, respectant les désidératas de la prod, il s’inspire de l’écriture classique, rajoute, scénario oblige, pas mal de couleur de musique soviétique (fort attendue au demeurant) sans pour autant se départir de son sens du suspense sournois et de l’action parfois musclée.

 

Un mélange qui prend rarement, sans pour autant être raté ni même désagréable, et qui apporte une ambiance inattendue sur ce récit batmanien choral en diable.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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