1 juillet 2020 3 01 /07 /juillet /2020 11:11

 

Dernier mercredi avant les vacances scolaires (sauf pour ceux - nombreux!- qui y sont déjà!), cela valait bien une double chronique jeunesse!

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? WONDERPARK 1

 

 

C'est de qui ? Colin et Brivet

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Jungle

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui il y a peu pour le scénariste mais aussi pour le dessinateur 

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Wonderpark est un concept de parc d’attractions géant qui n’a jamais ouvert et entretient, auprès des enfants de la ville voisine, divers fantasmes et racontars. Grace à Orage, la nouvelle de l’école qui possède un mystérieux bracelet d’invisibilité, Mervin, Jenn et Zoey vont pouvoir y pénétrer et découvrir un incroyable secret mais rapidement la petite Zoey est enlevée par un étrange individu.

 

Le parc d’attraction, pourtant propice, a finalement donné lieu a peu d’œuvres de ficition. Disney en avait fait le cadre d’un film fantastique il y a quelques décennies et Arthur De Pins une version fun pleine de créatures dans Zombillénium, aujourd’hui c’est Fabrice Colin qui s’y colle avec ce Wonderpark , adaptation en BD de son propre roman, où chacun des 6 mondes ludiques cache en fait un véritable univers où une fratrie de 3 enfants et leur étrange copine vont vivre de grandes aventures.

 

 

Rajoutez à ce postulat de départ un soupçon d’Harry Potter, et, pour ce premier volet, se déroulant à Libertad, une larme de Peter Pan voire une pincée de Pirates des Caraïbes et vous obtenez un mélange rythmé et bon enfant  dessiné dans un style coloré très axé jeunesse qui plaira beaucoup aux lecteurs jusqu’à 10-11 ans.

 

 

 

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LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? LES VACANCES DE NOR

 

 

C'est de qui ? M& I Surducan

 

 

La Couv':

 

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de L’Etrange

 

 

Déjà lues chez nous? Oui pour Maria Surducan

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? On sait qu’une BD pour enfants (voire une BD tout court) est réussie quand ces derniers y reviennent alors même qu’ils l’ont déjà lue, même plusieurs fois.

Les Vacances de Nor traîne dans le salon depuis une poignée de jours et mon plus jeune, 5 ans et demi- ne se lasse pas de la parcourir, déchiffrant consciencieusement les phylactères, me commentant un extrait voire me spoilant la fin.

 

Du coup, forcément, je l’ai lu avec lui et force est de reconnaître que les sœurs Surducan ont fait mouche avec cette histoire d’un garçon obligé d’aller en vacances chez ses grands-parents dans un trou paumé où il est persuadé qu’il va s’ennuyer sans ses jeux vidéos mais va rapidement être confronté à un univers hors du commun où créatures fantastiques et nouveaux camarades vont rendre ces vacances inoubliables.

 

Les thématiques abordées le sont avec savoir-faire, on connaissait déjà le talent de Maria Surducan, (croisée à quelques reprises chez nous, déjà chez les Aventuriers de L’Etrange) il faut croire que c’est dans les gènes dans leur famille car cette association se révèle des plus efficace.

Coté graphismes, c’est Ilena qui est aux commandes et  là aussi on appréciera une certaine fraîcheur dans le traitement, où les influences sont multiples mais la personnalité indéniable et le tout est bien mis en couleurs par sa sœur.

 

 

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Deux Chroniques de Fab

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27 mai 2020 3 27 /05 /mai /2020 13:47

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LA NUIT DE L’HORUS

 

 

C'est de qui ? P. Wininger

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de l’Etrange

 

 

Déjà croisé sur le site? Oui, sur les tomes précédents.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Le problème avec la montée des eaux c’est que parfois elles charrient de biens dérangeantes cargaisons. Comme par exemple ces cadavres qui refont surface le long de la Seine, en crue en ce début d’année 1910, chacun agrémenté d’un colifichet égyptien authentique.

Il n’en faut pas plus pour que Charles-Hyppolite et Victor soient mandés par la police.

Nos deux inhabituels héros vont mettre le doigt dans un engrenage aussi dangereux qu’embrouillé de médiums malintentionnés et autres adorateurs illuminés dont la lutte prend des proportions vite disproportionnées.

 

Je ne saurais que vous conseiller de relire les tomes précédents avant de vous lancer dans l’aventure de La Nuit de l’Horus Rouge, les protagonistes et évènements de ce troisième et dernier tome des Aventures de Victor Billetdoux étant assez étroitement liés aux récits déjà réédités.

 

Les amateurs de ligne claire et de BD Franco-Belge d’aventure classique apprécieront une fois encore cette aventure, à la croisée des chemins du Tintin de Hergé, de Black et Mortimer et, last but not least, d’Adèle Blanc-Sec (et pas que pour la partie graphique), dans une version restaurée avec soin par Les Aventuriers de l’Etrange, que ce soit dans la nouvelle colo, la maquette bien plus au goût du jour ou encore l’intéressante préface.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :THE MUMMY’S GHOST

 

 

C'est de qui ?

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD?

 

 

On peut écouter ?

 

Ca donne Quoi ? Avec beaucoup de scènes se déroulant dans des décors d’Egypte antique (et je dis décors puisqu’il s’agit bien de cela), j’ai opté, comme je l’avais fait pour le premier épisode de la trilogie, pour un score d’épouvante de la série des films sur la Momie des studios Universal où Lon Chaney joue le rôle de l’emmailloté.

 

Ici c’est Frank Skinner que l’on retrouve derrière le pupitre, même s’il n’est pas crédité au générique de cette suite assez peu inspirée mais dont le timing plutôt court (1heure !) fait que l’on a pas le temps de s’ennuyer, bien aidés, donc, par une musique qui, si elle reprend des ingrédients classiques au genre, à grand renfort notamment de cuivres imposants, sait tirer son épingle du jeu.

On y appréciera les parties de cordes et de vents en canon ou en écho qui amènent une fraicheur bienvenue et expriment aussi bien les méandres du suspense que les poussées d’adrénaline du scénario.

 

Finalement assez peu grandiloquent et agréablement varié, The Mummy’s Ghost contrebalance en originalité et en expression ce son suranné qui aurait pu sonner décalé avec la Nuit de l’Horus rouge mais qui le rend finalement encore plus tendu et mystérieux.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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21 mai 2020 4 21 /05 /mai /2020 10:41
 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LES OISEAUX LUMINEUX

 

 

C'est de qui ? Andrei Puica

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de l’Etrange

 

 

Déjà lu sur le site? Non (et pour cause !)

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans une étrange cité en apesanteur, les derniers habitants normaux sont pourchassés  par d’étranges êtres aux têtes remplacés par des cages qui cherchent à capturer leur âme –symbolisée par un oiseau- afin de nourrir celle de la ville viciée.

 

Mais dans les tréfonds, là où sont envoyés les corps des sacrifiés, une résistance s’organise, menée par un homme idéaliste.

 

Ce résumé, si relativement juste, rend néanmoins peu justice au foisonnement poétique et narratif de cet album hors norme, tout droit venu de Roumanie.

Les Oiseaux Lumineux est resté plusieurs années en gestation, évoluant au gré des influences et découvertes d’un  auteur complet qui livre un récit à la fois référencé et terriblement original.

 

 

Si l’on pensera évidement à Druillet, voire à La Planète Sauvage –le film d’animation adapté d’un roman de Wul dans les années 70- les dessins de Puica regorgent de détails et d’idées qui défient le temps et les modes, faisant de son one-shot un objet définitivement visuel, une véritable claque graphique à la narration inventive.

Le scénario n’est pas en reste, avec ses paraboles sur la liberté, l’oppression, et l’espoir, le tout baigné dans une sorte de S.F intemporelle.

 

Une fois encore Les Aventuriers de l’Etrange, structure aussi modeste que passionnée, nous offre une belle découverte et prouve que l’on peut encore proposer des choses intéressantes qui se démarquent d’un certain immobilisme ambiant qui, je ne vous le cache pas (vous l’aviez d’ailleurs peut être remarqué) commence à m’emmerder royalement.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :FULL CIRCLE

 

 

C'est de qui ? Colin Towns

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Une décennie après avoir donné naissance à l’antéchrist dans le Rosemary’s Baby de Polanski, Mia Farrow, décidément habituée aux rôles – et aux compagnons de route - tendus, joue une mère ravagée par la mort de sa fille qui croit être hantée par son fantôme.

 

Loin de tout sensationnalisme, Colin Towns met en musique cette série B avec parcimonie pour ne pas dire minimalisme parfois, optant pour peu d’instruments.

Si, époque oblige  (nous sommes en 77) les synthétiseurs pointent le bout de leurs claviers sur beaucoup de morceau, rendant cette B.O très datée, on appréciera la force du piano lead, utilisé avec savoir-faire que ce soit sur les pistes où il évoque la mélancolie comme celle où c’est le fantastique qui prend le dessus et où il est fort bien accompagné par des cloches lugubres, des cuivres hauts perchés et des cordes survoltées.

 

Un score d’un autre âge pour aller avec cet album qui marie si bien les époques et les genres, c’est du pain béni (ou presque !).

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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12 février 2020 3 12 /02 /février /2020 12:54
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? LE SCEAU DU DRAGON. IRA L’ECUYERE

 

 

C'est de qui ? Vicente & Gutiérrez

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de l’Etrange

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui, sur le tome 1.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Ira, l’écuyère Skyars héritière d’Anori, s’ennuie ferme dans sa préparation au tournoi qui doit consacrer son règne.

Alors qu’elle s’est offert une escapade incognito hors du palais sur le dos de son dragon, elle tombe sur Ari, chasseur Myrkyr qui a juré de débarrasser le contient des dragons et de leurs cavaliers.

Les deux jeunes gens s’affrontent et si Ira tranche une main à son adversaire, elle ne doit son salut qu’à l’intervention de son dragon qui perd un œil dans l’affrontement.

 

Après maintes péripéties et de retour dans la capitale, notre intrépide héroïne n’a plus qu’un but, se venger d’Ari qui, de son coté, fomente la chute d’Anori.

 

Second tome (sur trois) de haut vol pour cette série fantasy ibérique, avec certes quelques ingrédients forts classiques du genre, mais concoctés avec savoir faire.

Le graphisme quelque peu axé manga plaira aux plus jeunes tandis que les amateurs du genre apprécieront un rythme soutenu, des personnages attachants et un background intéressant.

 

Belle confirmation du talent des auteurs du Sceau du Dragon qui, on l’espère, trouvera l’écho qu’il mérite auprès du public.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :MERLIN’S APPRENTICE

 

 

C'est de qui ? L. Shragge

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Non

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Suite mercantile et improbable d’une série TV déjà pas terrible de la fin des années 90 ; cet Apprenti de Merlin est, contrairement à la BD du jour par exemple, tout ce que le bon fan de fantasy n’apprécie pas.

Ecriture automatique, acteurs approximatifs emmené par un Sam Neil cachetonnant, poncifs du genre éculés s’il en est, bref, rien de bien consistant à se mettre sous la dent si ce n’est, à la rigueur, une B.O elle aussi fort « inspirée » - notamment par le Conan de Poledouris- qui réserve cependant de bons moments épiques comme romantiques.

 

On reprochera peut être au compositeur canadien d’avoir utilisé essentiellement des instruments virtuels par dessus sa section de cordes et ses solistes, le tout sonnant parfois assez bancal dans l’unité mélodique.

 

Néanmoins l’esprit aventureux bon enfant qui se dégage de l’ensemble colle plutôt pas mal à ce second volet du Sceau du Dragon.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

 

 

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19 novembre 2019 2 19 /11 /novembre /2019 15:34
 

 

 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? TROIS CONTES DE FANTOMES

 

 

C'est de qui ? Camille Garoche adapte Maupassant.

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

Déjà croisée sur le site? Non

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Si vous suivez B.O BD depuis longtemps, vous savez qu’aux cotés de gens comme Oscar Wilde et Joseph Conrad, Guy de Maupassant fait partie de mon panthéon personnel d’auteurs incontournables.

 

Découvert, comme probablement beaucoup, via les cours de français je me souviens être tombé amoureux du style de l’auteur normand et avoir avidement dévoré l’intégrale de ses œuvres (sous la forme des 2 gros volumes à couvertures souples de la collection Bouquins de chez Robert Laffont).

C’est toujours avec un plaisir non dissimulé que je le relis quand l’occasion m’en est donnée et quand, en plus, elle l’est sous un forme aussi belle que l’album du jour, c’est un régal.

 

Camille Garoche, d’habitude plutôt versée dans l’illustration jeunesse, a choisi trois nouvelles dans le registre fantastique : Apparition, dans laquelle un homme rencontre le spectre de l’aimée d’un de ses amis et doit la coiffer ; Le Tic, effrayant conte d’une jeune fille enterrée vivante et enfin La Morte, probablement l’un des plus gothiques histoires de son auteur où des morts reviennent à la vie le temps de modifier les épitaphes qui ornent leurs tombeaux !

 

Avec un véritable talent d’orfèvre, Camille Garoche les illustre dans un fin mélange de dessins et de créations papier en 3D, le tout arrangé dans des petites mises en scènes qu’elle prend ensuite en photo, voire agrémente d’effets (le tout joliment expliqué en fin d'album d'ailleurs).

 

L’effet est saisissant et fait honneur aux textes de Maupassant, apportant à Apparition, Le Tic et La Mort une autre dimension (c’est le cas de le dire !)

 

Un album magnifique –un de plus dans la collection Métamorphoses- qui fera à n’en pas douter un bien beau cadeau au pied du sapin dans un peu plus d’un mois !

 

 

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LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  HISTOIRE(S) A DORMIR DEBOUT

 

 

C'est de qui ? P. Rodriguez

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de L’Etrange

 

 

Déjà lu chez nous? Oui

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Et puisque l’on parle de Maupassant, c’est en fort bonne compagnie qu’on le retrouve dans le recueil Histoire(s) à dormir debout puisqu’il côtoie d’autres maîtres du fantastique parmi lesquels Edgar Allan Poe, Sheridan Le Fanu, Robert Louis Stevenson ou encore John William Polidori (excusez du peu !).

 

Pedro Rodriguez revisite ici sept histoires qui font froid dans le dos, dans son style graphique si particulier à la croisée des genres (un peu de jeunesse, un peu de cartoon et de franco belge...), fort décalé ici (pour un effet saisissant!)

Si certains textes sont connus, comme le classique Chat Noir de Poe, le Vampire de Polidori –premier récit à faire apparaître les suceurs de sang et probable inspirateur du Dracula de Stoker- la Main de Maupassant ou encore le sinistre Récupérateur de cadavres de Stevenson ; les autres le sont bien moins, et les découvrir dans cette version est fort sympathique.

 

Les Aventuriers de l’Etrange ont encore fait du bel ouvrage avec cette réédition d’un album depuis longtemps indisponible, qui rend justice à ses adaptations via une refonte éditoriale totale bienvenue.

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : A CANDLE FOR THE DEVIL

 

 

C'est de qui ? A. Prez Olea

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Non

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ça donne Quoi ? L’Italie n’avait pas le monopole des films de genre de seconde zone dans les années 60/70 ; en effet de l’autre côté des Pyrénées la production espagnole fut assez florissante, notamment grâce à des capitaux étrangers investis pour certains tournages.

 

Sous couvert d’une pseudo critique du régime franquiste, le réalisateur Eugénio Martin  lorgne, avec ce film où deux sœurs tenancières d’une pension assassine une de leur locataires, vers ses voisins transalpins en reprenant des ingrédients du giallo assez bien utilisés il est vrai.

 

Pour la B.O c’est Antonio Perez Olea qui s’y colle. Compositeur ayant touché un peu à tout dans le monde du cinéma, sa renommée ne dépassera cependant jamais les frontières de son pays d’origine, et c’est assez dommage à l’écoute de sa partition pour A Candle for the Devil où l’on retrouve, au sein de thèmes certes classiques mais bien pensés, des influences de musique folklorique espagnole et de belles mélodies romantico-gothiques qui rendent ce score assez original pour que l’on s’y arrête. Au sein d’un orchestre de cuivres et de cordes un piano entre dissonances et désaccords vient créer un trouble palpable à la limite du malsain.

 

Ce sont d’ailleurs ses qualités qui me l’ont fait retenir pour aller avec les deux albums du jour, auquel elle a ajouté une bonne dose de frissons !

 

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Une Chronique de Fab

 

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