26 août 2020 3 26 /08 /août /2020 13:01

 

Quasiment aussi anciens que remontent les traditions orales, les contes et légendes ont souvent des origines communes. Ainsi il n’est pas rare de retrouver des éléments similaires aux récits, peu importe leur provenance.

 

Cette rentrée nous propose deux albums de contes qui vont ravir les plus jeunes lecteurs – ainsi que leurs parents, croyez-moi sur parole- qui nous viennent de l’est où l’on retrouve nombres de points communs avec les classiques de notre enfance.

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LE ROI DES OISEAUX

 

 

C'est de qui ? Alexandre Utkin

 

 

La  Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Gallimard

 

 

Déjà croisé sur le site? Non

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Dans Le Roi des Oiseaux une petite souris, ayant refusé de partager une pomme d’or avec son compère l’oiseau, va déclencher une guerre entre les animaux et les oiseaux dont les bêtes  sortiront grandement affaiblies. Le souverain des volatiles sera secouru par un marchand qui, après l’avoir nourri pendant trois longues années, se verra offrir un coffre en or renfermant une maison magique qui lui coûtera cependant son premier né.

 

Vous l’aurez compris, les péripéties en série sont le lot de ce fort bel album inspiré du folklore russe illustré avec un talent rare par Alexandre Utkin dont c’est la première incursion dans le 9° Art. On peut dire que ce coup d’essai est un coup de maître tant sa narration est entraînante, et son coup de crayon - à mi chemin du style jeunesse et de la caricature amusante – aux couleurs chatoyantes, rend ce conte fantastique à plus d’un titre !

 

 

 

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LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LE CONTE DU GENEVRIER

 

 

C'est de qui ? N. Tamarit

 

 

La  Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de L’Etrange

 

 

Déjà croisé sur le site? Oui

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Autre album à destination d’un large public, celui-ci   librement adapté d’un récit des frères Grimm, Le Conte du Genévrier   rappellera clairement Blanche Neige avec cette femme souhaitant avoir un enfant au teint blanc et aux joues rouges qui, une fois son vœu exaucé, va trépasser et laisser son petit garçon aux mains d’une marâtre qui ira jusqu’à s’en débarrasser d’une assez horrible façon, avant de le faire cuire et le donner à manger à son père (oui hein !).

 

Comme souvent dans les histoires de ce genre les thèmes abordés sont multiples et si les enfants apprécieront  le livre pour son coté fantastique et ses multiples rebondissements, les plus grands goûteront l’alliance du fond et de la forme que propose  l’auteure espagnole qui nous avait déjà ravi ici avec son adaptation du jeu du Loup Garou (déjà chez le même éditeur) ou encore le plus récent et très maîtrisé Géante.

 

Son graphisme rond et coloré, lui aussi aux confluents des genres, rend à merveille ici, et vient faire  du Conte du Genévrier une nouvelle pépite dans la collection des Merveilleux Contes de Grimm chez les Aventuriers de l’Etrange.

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : KRIMHILD RACHE

 

 

C'est de qui ? G. Huppertz

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Fritz Lang se lance au début des années 20 dans l’adaptation de la légende des Nibelungen avec une envie de grand spectacle qui se sent à chaque séquence de son double film fleuve (4 heures en tout). Quasiment un siècle après sa sortie le long métrage du réalisateur allemand pourrait encore servir d’exemple à pas mal de faiseurs actuels.

 

Pour la musique Le message est clair d’emblée : elle ne doit pas rappeler celle de la version de Wagner, Lang n’en étant pas du tout amateur.

Huppertz, dont c’est la première incursion dans le 7° Art, va livrer une partition épique à souhait qui s’inspire certes de ses prédécesseurs compatriotes mais lorgne aussi sur les travaux des compositeurs russes –Prokoviev en tête-  tout en optant pour une dimension foncièrement descriptive.

 

Il est vrai que la grandeur, pour ne pas dire grandiloquence de certains passages colle bien mieux au Roi des Oiseaux qu’au Conte du Genévrier, la galette durant près de deux heures il y a largement de quoi trouver chaussure au pied du conte de Nuria Tamarit, notamment dans les passages plus dramatiques où les cordes reprennent un peu du poil de la bête après avoir été dominées par les cuivres sur une grande partie des pistes.

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23 août 2020 7 23 /08 /août /2020 15:43
 
 
 
 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  WILDERNESS

 

 

C'est de qui ? Ozanam & Bandini

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Soleil

 

 

Déjà croisés sur le site? Souvent pour le scénariste, au moins une fois pour le dessinateur.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Abel, ancien soldat de la Guerre de Sécession traumatisé par l’expérience, vit en reclus avec son chien.

Lassé de son existence misérable, alors qu’il décide de partir pour un dernier voyage, il est agressé par deux hommes qui lui volent l’animal pour le faire participer à des combats. Entre souvenirs douloureux où les visages et les faits se télescopent, et désir de vengeance, le vieil homme va traquer ceux qui l’ont laissé pour mort.

 

 Wilderness s’inscrit dans la lignée de ces westerns anticonformistes qui ne cherchent pas à idéaliser une époque, un pays, les hommes qui y ont vécu et qui les ont subis. De Jeremiah Johnson à Impitoyable en passant par les deux films cités dans la partie musicale de la chronique, les héros solitaires en proie à la bassesse voire la haine de leurs congénères ont toujours été source de récits âpres et jusqu’auboutiste.

 

Celui-ci ne fait pas exception à la règle et Antoine Ozanam, pour sa seconde excursion dans le genre, s’en sort avec les honneurs, avec une adaptation au cordeau dont le rythme et la narration peuvent surprendre parfois mais tiennent le lecteur en haleine tout au long de cette vengeance quasi cathartique.

 

 

 Pour l’occasion il retrouve Bandini, avec qui il avait déjà collaboré il y a plus d’une décennie maintenant. L’artiste rend une copie d’une beauté graphique impeccable, que ce soit pour rendre la sauvagerie de la bataille de la Wilderness, comme la mélancolie  poétique des paysages  du nord-américain, conférant à Wilderness une seconde vie doté d’une personnalité visuelle qui lui rend justice.

 

La rentrée BD 2020 débute sous de forts bons auspices !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : MAN IN THE WILDERNESS

 

 

C'est de qui ? J. Harris

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Oui

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

Ca donne Quoi ? En marge d’une prolifique carrière comme songwriter et producteur musical dans le show-biz, Johnny Harris –aucun lien de parenté avec Richard, star du film du jour- a aussi un bossé pour le grand écran avec une qualité manifeste.

J’en veux pour preuve le score de ce wetsern survival, ancêtre de l’ampoulé Revenant avec Di Caprio, pour lequel le compositeur britannique écrit une partition variée où, après un générique sous forme de marche un peu trop enjouée, il privilégie l’atmosphère avec l’utilisation d’effets électroniques aussi anachroniques que percutants, dont les sonorités étranges intensifient le suspense.

 

Econome dans ses thèmes, Harris met l’accent sur l’extrême noirceur du scénario qu’il contrebalance avec le motif dédié au personnage principal, joué par…une boîte à musique !

Une petite pépite que cette B.O aux ambiances variées, aussi originale que ce qu’elle est surannée par moments, et souvent surprenante de raccord avec l’adaptation d’Ozanam et Bandini.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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17 août 2020 1 17 /08 /août /2020 12:52
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  20 000 LIEUES SOUS LES MERS

 

 

C'est de qui ? G. Gianni

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Mosquito

 

 

Déjà croisé sur le site? Probable

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? Garry Gianni, artiste de formation classique qui a débuté comme illustrateur pour la presse, s’est frotté aux plus iconiques personnages du comics, dés les années 90, de Batman à Hellboy avant de devenir, pendant presque un décennie, le repreneur officiel de l’un des titres les plus marquants du 9° Art : Prince Valiant.

 

Avec son style graphique old school précis et expressif, hérité des grands de l’illustration, il n’est pas étonnant que, quand il décide de s’orienter vers le comics, il débute par l’adaptation d’un classique de la littérature d’aventure ; le 20 000 Lieues sous les mers de Jules Verne.

 

 

Terrain de jeu idéal pour le crayon de l’artiste américain – fort bien réhaussé par les couleurs du couple Keegan - qui rappelle fortement les livres d’époque, ornés de dessins de Gustave Doré et ses pairs, le texte de Verne retrouve, un peu paradoxalement, une seconde jeunesse avec cet album que tout amateur de BD, tous genre confondus, se doit de (re)découvrir !

 

C’est cette version puissante et évocative que Mosquito a décidé de traduire en VF il y a une paire d’années, après avoir proposé au public francophone le très réussi Corpus Monstrum.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :ORCA

 

 

C'est de qui ? E. Morricone

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Fort souvent.

 

 

On peut écouter ?

 

 

 

 

Ca donne Quoi ? Si, forcément, en écrivant des dizaines de scores par années Morricone prenait le risque de s’auto citer voire, dirons les mauvaises langues, de se parodier, la B.O d’Orca, sa seule collaboration avec le réal’ Michael Anderson, échappe à la critique.

 

Certes on y retrouve une voix féminine haut perchée et lyrique qui n’est pas sans rappeler les grands thèmes westerns de l’italien, mais le reste de la musique du film tend plutôt pour des compositions mélodramatiques aux notes qui durent.

Le motif récurrent aux vents est souvent accompagnée de parties de cordes qui virevoltent, rappelant un peu certains passages de Once Upon A Time in America mais en moins marqués.

 

Il aurait peut-être fallu un peu plus de pistes dédiées à l’action ou au suspense pour que cette B.O soit parfaite avec la version du roman de Verne par Gianni mais, en l’état, c’est déjà une très belle musique d’accompagnement où l’ambiance d’aventure quasi héroïque est très agréable sur la vision de l’artiste.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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13 juillet 2020 1 13 /07 /juillet /2020 09:32
 

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  LE JOURNAL DE CLARA

 

 

C'est de qui ? Cherici & Xavier

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Actes Sud/L’An 2

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Clara est encore une jeune fille aussi jolie que spontanée quand elle fait la connaissance de Mussolini, alors déjà engoncé dans le culte de la personnalité qu’il s’est lui-même forgé, Duce belliqueux et fanfaron d’une Italie qui se cherche.

Elle apporte au tyran une bouffée d’air frais dont il a bien besoin, et s’ils deviendront amants, ce sont bien plus que leurs jeux sexuels qui lient ces deux êtres diamétralement opposés puisque notre romantique héroïne suivra le monstre jusque dans sa déchéance ultime et son exécution publique.

 

Clémént Xavier, on l’a vu chez nous déjà, s’est fait une spécialité de la BD dite « docu » sur des sujets forts. Ici, au travers du journal de Clara Pettaci, il évoque les heures les plus sombres de l’Europe du siècle dernier, sans chercher à charger un tableau qui n’en n’a pas besoin. (même s’il profite là aussi pour faire passer une paire de théories aussi peu connues –de votre serviteur en tout cas-  qu’ intéressantes)

 

 

Mussolini et Hitler sont montrés comme les leaders extrémistes qu’ils étaient, cerveaux malades d’adultes qui comparent la taille de leurs sexes (littéralement !). L’entourage du Duce  n’est pas traité différemment, cour de politiques et de militaires attendant le faux pas de leur dirigeant et l’anticipant en coulisses (on pense un peu à la Mort de Staline de Nury et Robin).

Seule Clara tire à peu près son épingle du jeu, dépeinte comme une égérie quelque peu aveuglée par son adoré qui fait à la fois figure d’amant, de père de substitution et de mâle dominant.

 

Au dessin Pauline Cherici, pour sa première incursion dans la cour des grands livre une copie très réussie, dans un style délié en trichromie noire blanche et grise avec de jolis jeux sur les ombres. Son trait s’inscrit dans une certaine école indé franco-belge que l’on pourrait étendre d'Agnès Maupré à Catel (ce qui n’est pas dégeu comme références on en conviendra).

 

Un pavé qui se dévore plus qu’il ne se lit, un témoignage passionnant sur le pouvoir et ses dérives qui résonne durement encore de nos jours !

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi : ROMA

 

 

C'est de qui ? N. Rota

 

 

La Couv':

 

 

Déjà entendu chez B.O BD? Pas mal de fois oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Quand Fellini propose Roma à Nino Rota, les deux compères viennent de passer 20 ans à collaborer aussi étroitement que fidèlement. Le maestro n’en n’est pas à sa première surprise avec son compatriote, la décennie précédente les ayant vus créer des choses aussi marquantes que 8et demi ou Satyricon.

 

La B.O de Roma, sorte de docu fantasmé sur la relation de Felini capitale italienne, s’étalant des années 40 aux années 70, entrecoupé d’interventions du réalisateur et de divers personnages réels, n’est cependant pas la plus barrée de son auteur.

Rota opte pour une approche monothématique, faisant quasiment dans l’underscoring sur une bonne partie de la pellicule, avec une guitare en instrument lead, bientôt rejointe par d’éparses cordes, le tout économe en notes mais pas en émotion.

 

Certaines séquences du film donnent heureusement l’occasion à Rota de revenir à ce qui a fait son succès, à savoir les mélodies plus entrainantes qui empruntent au répertoire du folklore comme à celui du cirque.

 

C’est tout un pan de l’histoire de la musique du film italien qui s’étale ici, et, d’une certaine manière, les confessions de Clara Pettaci sur sa relation avec le Duce le sont également, les deux media étaient fait pour s’entendre !

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab


 

 

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1 juillet 2020 3 01 /07 /juillet /2020 11:11

 

Dernier mercredi avant les vacances scolaires (sauf pour ceux - nombreux!- qui y sont déjà!), cela valait bien une double chronique jeunesse!

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? WONDERPARK 1

 

 

C'est de qui ? Colin et Brivet

 

 

La Couv':

 

 

C’est édité chez qui ? Jungle

 

 

Déjà croisés sur le site? Oui il y a peu pour le scénariste mais aussi pour le dessinateur 

 

 

Une planche:

 

 

Ca donne Quoi ? Wonderpark est un concept de parc d’attractions géant qui n’a jamais ouvert et entretient, auprès des enfants de la ville voisine, divers fantasmes et racontars. Grace à Orage, la nouvelle de l’école qui possède un mystérieux bracelet d’invisibilité, Mervin, Jenn et Zoey vont pouvoir y pénétrer et découvrir un incroyable secret mais rapidement la petite Zoey est enlevée par un étrange individu.

 

Le parc d’attraction, pourtant propice, a finalement donné lieu a peu d’œuvres de ficition. Disney en avait fait le cadre d’un film fantastique il y a quelques décennies et Arthur De Pins une version fun pleine de créatures dans Zombillénium, aujourd’hui c’est Fabrice Colin qui s’y colle avec ce Wonderpark , adaptation en BD de son propre roman, où chacun des 6 mondes ludiques cache en fait un véritable univers où une fratrie de 3 enfants et leur étrange copine vont vivre de grandes aventures.

 

 

Rajoutez à ce postulat de départ un soupçon d’Harry Potter, et, pour ce premier volet, se déroulant à Libertad, une larme de Peter Pan voire une pincée de Pirates des Caraïbes et vous obtenez un mélange rythmé et bon enfant  dessiné dans un style coloré très axé jeunesse qui plaira beaucoup aux lecteurs jusqu’à 10-11 ans.

 

 

 

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LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ? LES VACANCES DE NOR

 

 

C'est de qui ? M& I Surducan

 

 

La Couv':

 

 

 

C’est édité chez qui ? Les Aventuriers de L’Etrange

 

 

Déjà lues chez nous? Oui pour Maria Surducan

 

 

Une planche:

 

 

 

Ca donne Quoi ? On sait qu’une BD pour enfants (voire une BD tout court) est réussie quand ces derniers y reviennent alors même qu’ils l’ont déjà lue, même plusieurs fois.

Les Vacances de Nor traîne dans le salon depuis une poignée de jours et mon plus jeune, 5 ans et demi- ne se lasse pas de la parcourir, déchiffrant consciencieusement les phylactères, me commentant un extrait voire me spoilant la fin.

 

Du coup, forcément, je l’ai lu avec lui et force est de reconnaître que les sœurs Surducan ont fait mouche avec cette histoire d’un garçon obligé d’aller en vacances chez ses grands-parents dans un trou paumé où il est persuadé qu’il va s’ennuyer sans ses jeux vidéos mais va rapidement être confronté à un univers hors du commun où créatures fantastiques et nouveaux camarades vont rendre ces vacances inoubliables.

 

Les thématiques abordées le sont avec savoir-faire, on connaissait déjà le talent de Maria Surducan, (croisée à quelques reprises chez nous, déjà chez les Aventuriers de L’Etrange) il faut croire que c’est dans les gènes dans leur famille car cette association se révèle des plus efficace.

Coté graphismes, c’est Ilena qui est aux commandes et  là aussi on appréciera une certaine fraîcheur dans le traitement, où les influences sont multiples mais la personnalité indéniable et le tout est bien mis en couleurs par sa sœur.

 

 

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Deux Chroniques de Fab

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  • : Conseils d'écoutes musicales pour Bandes Dessinées
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  • : "...ces illustrations sonores. On apprend toujours quelque chose avec elles. Y compris sur des œuvres qu'on a soi-même écrites." Serge Lehman. (La Brigade Chimérique, Metropolis, L'Homme Truqué)
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