LA BD:
C'est quoi ? LES REINES DE SANG. AGRIPPINE.
C'est de qui ? Blengino & Ali
La Couv':
/image%2F0995309%2F20250521%2Fob_379ebf_9782413042297-001-x.jpeg)
C’est édité chez qui? Delcourt
Déjà croisés sur le site? Probablement pour le scénariste, pour le dessinateur j’ai un doute.
Une planche:
/image%2F0995309%2F20250521%2Fob_5c7ac0_capture-d-ecran-2025-05-21-170623.png)
Ca donne Quoi ? La Rome Impériale, ses manigances, ses complots, ses alliances et mariages forcés, ses trahisons familiales et autres relations incestueuses… j’en passe et des meilleurs.
C’est dans cette période trouble que naît Agrippine, soeur de Caligula et future mère de l’un des pires empereurs qu’ait connu la cité éternelle, Néron le pyromane.
Dans ce premier volet d’une nouvelle trilogie des Reines de Sang, nous suivons la jeunesse de la future épouse de Claude, son oncle, au travers des déboires que sa famille doit subir, persécutée à la fois par par Tibère qui a quelque peu usurpé la descendance d’Auguste; et par ses opposants.
Mais Agrippine la Jeune fait déjà preuve d’un solide tempérament et porte en elle les germes qui en feront l’une des dirigeantes -en coulisses- les plus redoutées de Rome.
Un tome d’”introduction” assez classique qui ferait presque passer la terrible Agrippine pour une enfant de coeur, avec un dessin réaliste solide à la fois dans son casting et dans sa reconstitution historique.
Comme je le disais il y a peu, si la collection des Reines de Sang m’a beaucoup plu au départ avec de belles mini-séries comme Frédégonde ou Alienor, mon intérêt pour les autres personnages choisis a lentement mais surement décliné.
Malgré ses qualités évidentes, ce n’est pas cette Agrippine qui me fera changer d’avis, les BD sur la Rome Antique étant nombreuses et beaucoup étant à mon sens plus marquantes que celle- ci.
LA MUSIQUE:
C'est quoi ? THE COLOSSUS OF RHODES
C'est de qui ? Lavagnino
La Couv':
/image%2F0995309%2F20250521%2Fob_d902d7_ob-0deeec-eemvjma.jpg)
Déjà entendu chez B.O BD? Oui
On peut écouter ?
Ca donne Quoi ? Avant de devenir mondialement célèbre pour une poignée de …westerns spaghettis, Sergio Léone se faisait les dents sur l’autre genre très en vogue à l’époque en Italie : le Péplum.
Le Colosse de Rhodes est un film qui ne manque pas de charme, de par sa réalisation soignée, ses décors certes kitschs mais fournis et son scénario à intrigue.
Lavagnino a mis en musique, une paire d’années auparavant, les Derniers jours de Pompeï, déjà réalisés par Leone. Ici, si la couleur historique est toujours de mise, elle est néanmoins bien panachée de thèmes plus passe partout dédiés soit au suspense soit à l’action, où un hautbois, une flûte et des percussions assez inattendues apportent une variété bienvenue, que ce soit au film comme à ce premier tome d’Agrippine.