LA BD:
C'est quoi ? FREAKS SUEELE FUNERAILLES 6
C'est de qui ? F. Maudoux
La Couv':

C’est édité chez qui ? Ankama
Déjà croisés sur le site? Oui sur les tomes précédents entre autre.
Une planche:

Ca donne Quoi ? Alors que la flotte aérienne de la XIII° Légion approche de Rem pour un affrontement qui s’annonce dantesque, Funérailles expérimente une solution pour ramener les tombés au combat, se basant sur l’expérience de mort de son amie (et compagne commune à son frère) .
Scipio quant à lui, s’il souhaite venger la mort de Spartacus, son père, va se révéler plus tacticien voire pacifiste, profitant de la politique jusqu’au-boutiste de Rem sur la circonscription des enfants dans l’armée.
Fin de cycle chargée pour le spin off de Freaks’ Squeele avec un sixième tome qui propose un bel équilibre entre psychologie des personnages et scènes chocs ; le tout toujours dans un style graphique sombre, hybride et foisonnant !
Si j’évoquais, entre autre, les Chevaliers du Zodiaque dans mes chroniques des tomes précédents de Funérailles, ce n’était pas pour rien. En effet, les parallèles entre l’œuvre riche et dense de Forent Maudoux et la série animé sont nombreux et d’ailleurs, en fin d’album, l’auteur se livre à une analyse intéressante des personnages de Saint Seya.
Une boucle est bouclée, la prochaine peut débuter !
LA MUSIQUE:
C'est quoi : SAINT SEYA. ASGARD.
C'est de qui ? S. Yokoyama
La Couv':

Déjà entendu chez B.O BD?
On peut écouter ?
Ca donne Quoi ? Comme beaucoup (comme Florent Maudoux probablement) J’ai découvert vers 12/13 ans les Chevaliers du Zodiaque sur le Club Dorothée.
Mon arc favori reste sans hésitation celui d’Asgard où la bande à Seya affronte dans des combats aussi épiques qu’interminables une poignée de chevaliers badass aux patronymes empruntés au petit bonheur à la mythologie nordique.
Je me souviens encore fort bien que les illustrations musicales de cette saison m’avaient marqué par leur puissance évocatrice, la variété des thématiques et les instruments utilisés (même si pour la plupart ils n’étaient probablement que virtuels).
Le piano et les cordes penchaient ostensiblement vers des choses plus noires, plus tragiques tandis que les scènes de combat voyaient un retour certes discret mais bien présent de l’électricité. La harpe et la flute avaient également une place intéressante dans la partition.
Si la B.O de Saint Seya peut paraître datée aux standards d’aujourd’hui, l’influence de l’anime sur l’œuvre de Maudoux et le coté décalé qu’elle lui apporte en ont fait une compagne musicale très fun.
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Une Chronique de Fab