17 mars 2019 7 17 /03 /mars /2019 13:15

 

 

 

LA BD:

 

 

 

 

C'est quoi ?  INFINITY 8. JUSQU'AU DERNIER.

 

 

C'est de qui ? Trondheim et Killofer

 

 

La Couv':

 

Huit à l'infini  /  Infinity 8. Jusqu'au dernier.  Vs.  Rollerball.

 

Déjà croisés sur le site? Oui pour le scénariste.

 

 

C’est édité chez qui ? Rue de Sèvres.

 

 

Une planche:

 

Huit à l'infini  /  Infinity 8. Jusqu'au dernier.  Vs.  Rollerball.

 

Ca donne Quoi ? Point d'héroïne sexy pour cet ultime volet de la saga SF déconnante de Trondheim et ses compères puisque c'est le bedonnant et libidineux lieutenant Refo qui va dévoiler au grand jour le pot aux roses et tenter de sauver les meubles.

Il a découvert que le capitaine Tonn Chars - l'espèce de pieuvre géante au pouvoir de reboot- cherche en fait à se venger du reste de la galaxie pour avoir éradiquer sa race 30 ans auparavant.

 

Refo se révèle un sacré meneur d'homme, ou plutôt de femmes puisque nos agentes des précédents épisodes vont rempiler pour lui filer un coup de main salvateur.

 

Bon, voici donc la conclusion du concept Infinity 8 que d'aucuns avaient qualifié de « Donjon, mais dans l'espace ! ». Si cette série s'avère moins aboutie que cet imposant prédécesseur elle ne manque pas d'atouts comme on a pu le voir au fil des tomes précédents et comblera les amateurs du scénariste.

 

Killofer rend une copie des plus honorable, dans le top 3 de la série; avec des passages assez impressionnants de ci de là, bien mis en valeur par les couleurs de Tanja Cinna.

 

 

 

 

 

LA MUSIQUE:

 

 

 

 

C'est quoi :ROLLERBALL

 

 

C'est de qui ? Previn et divers

 

 

La Couv':

 

Huit à l'infini  /  Infinity 8. Jusqu'au dernier.  Vs.  Rollerball.

 

Déjà entendu chez B.O BD? Certains oui.

 

 

On peut écouter ?

 

 

Ca donne Quoi ? Pour ajouter au décalage de cette conclusion d'Infinity 8 j'ai choisi la bande originale de Rollerball qui comporte une poignée d’œuvres classiques plus ou moins célèbres (dont certaines plus que moins, le Tocata en Ré mineur qui ouvre la galette par exemple) alternées avec des compositions d'André Previn qui va d'une musique descriptive aux accents assez baroques à un psychédélisme funky très début des années 70 ou guitares wah-wah et synthé sidéral se côtoient dans un groove des plus planant.

 

Le contraste entre des pièces de Shostakovitch, Tchaikovsky et le score à proprement, parler, contre toute attente, fonctionne plutôt pas mal, surtout avec un album comme celui du jour.

 

 

 

 

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Une Chronique de Fab

 

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