A Travers les mondes / Kairos Vs. Conquest the Planet Of The Apes

LA BD:

C'est quoi : KAIROS. INTEGRALE

C'est de qui : Ulysse Malassagne

La Couv':

Déjà croisé chez nous? Non

C’est édité chez qui ?  Ankama, un lien vers le site :

http://www.ankama-shop.com/fr/182-livres/7433-kairos-integrale

Une planche:

Ca donne Quoi ? Quand il arrive dans la maison des parents de sa petite amie, Nils est loin de se douter de ce qui l’attend. Assailli en pleine nuit par des créatures monstrueuses, les voilà projetés dans un monde fantastique où le jeune homme va devoir faire preuve de beaucoup de courage pour retrouver son élue, quitte à se perdre lui-même en route au fur et à mesure que son corps se transforme ! Une épopée tout publique menée tambour battant qui mêle joyeusement (même si elle ne l’est pas du tout) les genres et les styles graphiques avec bonheur. Ulysse Malassagne, pour sa première œuvre, montrait déjà une belle maîtrise du médium et une belle assimilation de ses multiples influences. La trilogie vient de sortir sous la forme d’une jolie intégrale qui fera un joli cadeau au pied du sapin (faîtes juste attention que rien ne sorte de la cheinée et vous emmène dans une dimension dangereuse !)

LA MUSIQUE

C'est Quoi ? CONQUEST OF THE PLANET OF THE APES

C'est de Qui ? Tom Scott

La couv' 

Déjà entendu par ici?

On peut écouter?

Ca donne Quoi ? Alors qu’il n’a que 24 ans et une carrière pour le cinéma qui débute à peine, le jazzman Tom Scott débarque sur le quatrième film de la franchise à succès, pour un épisode plus sombre que les précédents. Il reprend un peu les idées révolutionnaire de Goldsmith des volets précédents en insistant sur la partie rythmique, et donne à sa partition une dimension clairement contemporaine, voire futuriste (l’action se passe dans un futur dystopien) via une utilisation très free (dans le sens jazzy du terme) des cuivres, notamment quand ceux-ci sont utilisés personnaliser les singes. B.O assez particulière à plusieurs niveaux, elle peut sembler dans un premier temps un rien extrême avec Kairos mais se révèle vite intéressante au fur et à mesure que le scénario s’enfonce dans la noirceur.

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Une chronique par Fab